Pages

samedi 28 février 2015

Projet Nathalie 4 – phrases 9-17

La postiza barba blanca ondea en su nuca como una crin y el rigor del terciopelo rojo de su traje lo hace sudar copiosamente. Llega al Eje Central y lo atraviesa con decisión: Se lo permite el escaso tránsito de la una de la mañana. Siente cada vez más cerca los pasos de sus perseguidores y los gritos que el Moreno brama. Al llegar a 5 de mayo, tropieza. Pierde una bota. Sigue corriendo sin detenerse. El contacto con el suelo frío le hace pensar en la proximidad de la muerte. El pinche suelo.

Traduction temporaire :
Sa fausse barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : cela est possible parce qu'au petit matin, le trafic n'était pas dense.
Il sent les pas de ses poursuivants de plus en plus proches, de même que les cris que Moreno beugle pousse.

En arrivant sur 5 de mayo, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir, sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Putain de sol !

31 commentaires:

  1. Sa barbe blanche flotte sur sa nuque telle une crinière, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination: Le faible trafic d'une heure du matin lui permet. Il sent les pas de ses poursuivants et les cris que Moreno beugle de plus en plus proches. En arrivant sur l'avenue du 5 mai, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Satané sol!

    RépondreSupprimer
  2. Sa barbe blanche flotte sur sa nuque telle une crinière, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : Le faible trafic d'une heure du matin lui permet. Il sent les pas de ses poursuivants et les cris que Moreno beugle de plus en plus proches. En arrivant sur l'avenue du 5 mai, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Satané sol !

    RépondreSupprimer
  3. Sa barbe blanche flotte sur [« dans » ? J'hésite…] sa nuque [virgule] telle une crinière [sûre ?], et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : Le faible trafic d'une heure du matin lui permet [ce fragment ne va pas].

    Faisons déjà ça.

    Il sent les pas de ses poursuivants et les cris que Moreno beugle de plus en plus proches. En arrivant sur l'avenue du 5 mai, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Satané sol !

    RépondreSupprimer
  4. Pour le mot "crin" j'hésitais entre "crinière" ou "comme du crin". Concernant le passage avec l'Axe Central, il est vrai que je trouvais ça très bof, dois-je modifier la syntaxe ou c'est plus une question de vocabulaire?

    RépondreSupprimer
  5. Il arrive sur l'Axe Central et s'y engage avec assurance : cela lui est possible grâce au faible trafic d'une heure du matin.

    RépondreSupprimer
  6. Sa barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et s'y engage avec assurance : cela lui est possible grâce au faible trafic d'une heure du matin.

    RépondreSupprimer
  7. Sa barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et s'y engage [pourquoi vous changez ?] avec assurance [idem ?] : cela lui [nécessaire ?] est possible grâce au faible trafic d'une heure du matin [pas du tout naturel].

    RépondreSupprimer
  8. Sa barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse sans réfléchir : cela est possible grâce au faible trafic du petit matin .

    Je ne suis pas sûre du sens de la locution "con decisión" : j'imagine qu'il ne prend pas le temps de réfléchir malgré l'importance de l'avenue, puisqu'il est poursuivi…

    RépondreSupprimer
  9. Sa barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse sans réfléchir [« avec détermination »] : cela est possible grâce [ce sera sans doute mieux en passant par un « parce que »] au faible trafic du petit matin [espace en trop avant le point].

    RépondreSupprimer
  10. Sa barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : cela est possible parce que le trafic du petit matin est faible.

    RépondreSupprimer
  11. Sa barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : cela est possible parce que le trafic du petit matin est faible [« parce qu'au petit matin, le trafic n'était pas dense » ?].

    RépondreSupprimer
  12. Je mets une virgule à la place des deux points?

    RépondreSupprimer
  13. Sa barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : cela est possible parce qu'au petit matin, le trafic n'était pas dense.

    RépondreSupprimer
  14. Sa barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : cela est possible parce qu'au petit matin, le trafic n'était pas dense.

    OK.

    RépondreSupprimer
  15. Mettez la suite. Pas besoin de remettre le début – je l'ai déjà intégré.

    RépondreSupprimer
  16. Il sent les pas de ses poursuivants et les cris que Moreno beugle de plus en plus proches. En arrivant sur l'avenue du 5 mai, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Satané sol !

    RépondreSupprimer
  17. Il sent les pas de ses poursuivants et les cris que Moreno beugle de plus en plus proches.

    Pas de raison de changer la syntaxe – ça modifie légèrement le sens. LE TEXTE !!!!

    En arrivant sur l'avenue du 5 mai, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Satané sol !

    RépondreSupprimer
  18. Il sent les pas de ses poursuivants de plus en plus proches tout comme les cris que Moreno beugle.
    En arrivant sur l'avenue du 5 mai, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Satané sol !

    RépondreSupprimer
  19. Au fait pour le début : et le « postiza » ????? Bon, du coup, dans le commentaire suivant, vous remettrez également le début (ajout compris).

    Il sent les pas de ses poursuivants de plus en plus proches tout comme [« , de même que »] les cris que Moreno beugle.
    En arrivant sur l'avenue du 5 mai [on ne traduit pas // expliqué en cours], il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir [virgule] sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Satané [plus grossier en V.O. ?] sol !

    RépondreSupprimer
  20. Sa barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : cela est possible parce qu'au petit matin, le trafic n'était pas dense.
    Il sent les pas de ses poursuivants de plus en plus proches de même que les cris que Moreno beugle.
    En arrivant sur 5 de mayo, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir, sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Enfoiré de sol !

    RépondreSupprimer
  21. Nathalie, je vous ai mis un commentaire au début de mon post précédent. Regardez-la. Attention de bien tout voir…

    RépondreSupprimer
  22. Oui, j'avais vu mais je pensais qu'il s'agissait du début de cet extrait… je remets donc tout depuis le début du texte à traduire?

    RépondreSupprimer
  23. Ben si : vous voyez bien que c'est le « postiza » du début de cette section que vous n'avez pas traduit.
    Oui, je vous recoller tout depuis le début pour que je fasse le copier / coller avec la correction.

    RépondreSupprimer
  24. Sa fausse barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : cela est possible parce qu'au petit matin, le trafic n'était pas dense.
    Il sent les pas de ses poursuivants de plus en plus proches de même que les cris que Moreno beugle.
    En arrivant sur 5 de mayo, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir, sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Enfoiré de sol !

    RépondreSupprimer
  25. Sa fausse barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : cela est possible parce qu'au petit matin, le trafic n'était pas dense.
    Il sent les pas de ses poursuivants de plus en plus proches [virgule] de même que les cris que Moreno beugle [« pousse»].
    En arrivant sur 5 de mayo, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir, sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Enfoiré de sol [FS !] !

    RépondreSupprimer
  26. Sa fausse barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : cela est possible parce qu'au petit matin, le trafic n'était pas dense.
    Il sent les pas de ses poursuivants de plus en plus proches, de même que les cris que Moreno beugle pousse.
    En arrivant sur 5 de mayo, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir, sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Ce misérable sol!

    RépondreSupprimer
  27. Sa fausse barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : cela est possible parce qu'au petit matin, le trafic n'était pas dense.
    Il sent les pas de ses poursuivants de plus en plus proches, de même que les cris que Moreno beugle pousse.
    En arrivant sur 5 de mayo, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir, sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Ce misérable [« Putain de »] sol !

    RépondreSupprimer
  28. Sa fausse barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : cela est possible parce qu'au petit matin, le trafic n'était pas dense.
    Il sent les pas de ses poursuivants de plus en plus proches, de même que les cris que Moreno beugle pousse.
    En arrivant sur 5 de mayo, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir, sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Putain de sol !

    RépondreSupprimer
  29. Sa fausse barbe blanche flotte sur sa nuque, comme du crin, et la dureté du velours rouge de son costume le fait transpirer abondamment. Il arrive sur l'Axe Central et le traverse avec détermination : cela est possible parce qu'au petit matin, le trafic n'était pas dense.
    Il sent les pas de ses poursuivants de plus en plus proches, de même que les cris que Moreno beugle pousse.
    En arrivant sur 5 de mayo, il trébuche. Il perd une botte. Il continue de courir, sans s'arrêter. Le contact avec le sol froid lui fait penser à la proximité de la mort. Putain de sol !

    OK.

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.