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lundi 23 février 2015

Projet Noëllia – phrases 10-14

Es una operación pequeña. No hay por qué montar tanto escándalo —dice el capitán del cuerpo especial de basureros.
Sí, capitán —le contesta su suboficial, entre chasquidos de chicle, y sigue mirando al frente con una sonrisa enloquecida.
Estamos en la cabina del camión de recogida que atraviesa la ciudad. Arriba, sobre el techo, se arremolinan y desquician las sirenas.

Traduction temporaire :

— C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi en faire toute une histoire, déclare le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
— Oui, mon capitaine, lui répond son adjudant, entre deux mâchouillements de chewing-gum, regardant devant lui avec un sourire euphorique.
Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent.

15 commentaires:

  1. —C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi en faire un scandale. —dit le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
    —Oui, mon capitaine —lui répond son adjudant, tout en mâchant son chewing-gum grossièrement, et regardant face à lui avec un sourire aberrant.
    Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent.

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  2. Rétablissez les espaces après les tirets du dialogues + :

    —dit-il = , dit-il.

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  3. — C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi en faire un scandale — dit le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
    — Oui, mon capitaine — lui répond son adjudant, tout en mâchant son chewing-gum grossièrement, et regardant face à lui avec un sourire aberrant.
    Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent.

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  4. Cf mon commentaire précédent :

    —dit-il = , dit-il.

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  5. Je crois que j'ai du mal à saisir...
    Je tente quand même

    — C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi en faire un scandale, dit le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
    — Oui, mon capitaine, lui répond son adjudant, tout en mâchant son chewing-gum grossièrement, et regardant face à lui avec un sourire aberrant.
    Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent.

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  6. — C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi en faire un scandale, dit le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
    — Oui, mon capitaine, lui répond son adjudant, tout en mâchant son chewing-gum grossièrement, et regardant face à lui avec un sourire aberrant.
    Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent

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  7. — C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi en faire un scandale [mal dit], dit le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
    — Oui, mon capitaine, lui répond son adjudant [sûre ? Vous avez vérifié ?], tout [nécessaire ?] en mâchant son chewing-gum grossièrement [texte ?], et regardant face à lui avec un sourire aberrant [mal dit + l'ensemble n'est pas très naturel].
    Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent [point]

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  8. J'ai vérifié pour le grade. Dans le groupe des sous officiers le premier grade est adjudant chef puis adjudant. Je peux remplacé par adjudant chef éventuellement?

    — C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi s'affoler, dit le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
    — Oui, mon capitaine, lui répond son adjudant, entre deux mâchouillements de chewing-gum, regardant devant lui avec un sourire bête.
    Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent.

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  9. — C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi s'affoler, dit [« assure » / « déclare » ?] le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
    — Oui, mon capitaine, lui répond son adjudant, entre deux mâchouillements de chewing-gum, regardant devant lui avec un sourire bête [FS].
    Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent.

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  10. — C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi s'affoler, déclare le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
    — Oui, mon capitaine, lui répond son adjudant, entre deux mâchouillements de chewing-gum, regardant devant lui avec un sourire d'euphorie.
    Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent.

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  11. — C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi s'affoler [au fait, vous l'avez mis à la toute fin… Il faut régler ce pb], déclare le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
    — Oui, mon capitaine, lui répond son adjudant, entre deux mâchouillements de chewing-gum, regardant devant lui avec un sourire d'euphorie [plutôt avec l'adjectif, alors].
    Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent.

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  12. — C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi s'agiter, déclare le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
    — Oui, mon capitaine, lui répond son adjudant, entre deux mâchouillements de chewing-gum, regardant devant lui avec un sourire euphorique.
    Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent.

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  13. — C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi s'agiter [il faudrait trouver une version moins familière que « en faire un fromage », mais c'est l'idée], déclare le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
    — Oui, mon capitaine, lui répond son adjudant, entre deux mâchouillements de chewing-gum, regardant devant lui avec un sourire euphorique.
    Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent.

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  14. — C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi en faire toute une histoire, déclare le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
    — Oui, mon capitaine, lui répond son adjudant, entre deux mâchouillements de chewing-gum, regardant devant lui avec un sourire euphorique.
    Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent.

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  15. — C’est une petite intervention. Il n’y a pas de quoi en faire toute une histoire, déclare le capitaine des forces spéciales des éboueurs.
    — Oui, mon capitaine, lui répond son adjudant, entre deux mâchouillements de chewing-gum, regardant devant lui avec un sourire euphorique.
    Nous sommes dans la cabine du camion de ramassage qui traverse la ville. Au-dessus, sur le toit, les sirènes tourbillonnent et s’affolent.

    OK.

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