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dimanche 8 mars 2015

Projet Aurélie O 10 – phrases 13-17

Cerca de ahí, una aparición siniestra avanza rumbo a la ciudadela en ruinas. Los carroñeros y las espinas retroceden ante su paso calmo. En el interior de los salones tétricos, voces fantasmales quiebran aullidos evanescentes, anunciándola. Aquélla asciende hasta la celda más remota donde encuentra al hombre dormido, solitario. Encaneció pero conserva la belleza de sus facciones y aún firme la espada entre sus piernas.

Traduction temporaire :
Près de là, une apparition sinistre avance en direction de la citadelle en ruine. Les charognards et les épines reculent devant son pas posé. À l’intérieur des salons lugubres, des voix fantasmatiques annoncent sa présence en crachant des hurlements évanescents. Elle monte jusqu’à la cellule la plus éloignée, où se tient l’homme endormi, solitaire. Elle a blanchi, mais elle conserve la beauté de ses traits et signe encore l’épée entre ses jambes.

12 commentaires:

  1. Près de là, une apparition sinistre avance en direction de la citadelle en ruine. Les charognards et les épines reculent face à son pas calme. A l’intérieur des salons lugubres, en l’annonçant, des voix fantasmatiques cassent les hurlements évanescents. Celle-ci monte jusqu’à la cellule la plus lointaine où se tient l’homme endormi, solitaire. Elle a blanchi mais elle conserve la beauté de ses traits et signe encore l’épée entre ses jambes.

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  2. Près de là, une apparition sinistre avance en direction de la citadelle en ruine. Les charognards et les épines reculent face à [« devant »] son pas calme [« posé » ?]. A [accentuez vos majuscules ; idem pour le CAPES] l’intérieur des salons lugubres, en l’annonçant [pas bien placé dans la phrase], des voix fantasmatiques cassent les [à mon avis, CS… Pas « los » en V.O.] hurlements évanescents. Celle-ci [?] monte jusqu’à la cellule la plus lointaine [« éloignée » ? Comme vous préférez] [virgule] où se tient l’homme endormi, solitaire. Elle a blanchi [VIRGULE ; est-ce que ça peut être la dernière fois que je vous le dis, s'il vous plaît ?!?!] mais elle conserve la beauté de ses traits et signe encore l’épée entre ses jambes.

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  3. Près de là, une apparition sinistre avance en direction de la citadelle en ruine. Les charognards et les épines reculent devant son pas posé. À l’intérieur des salons lugubres, des voix fantasmatiques cassent des hurlements évanescents, en l’annonçant. Elle monte jusqu’à la cellule la plus éloignée, où se tient l’homme endormi, solitaire. Elle a blanchi, mais elle conserve la beauté de ses traits et signe encore l’épée entre ses jambes.

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  4. Près de là, une apparition sinistre avance en direction de la citadelle en ruine. Les charognards et les épines reculent devant son pas posé. À l’intérieur des salons lugubres, des voix fantasmatiques cassent des [je pense que c'est juste une façon de dire « poussent » ; voyez comment le travailler] hurlements évanescents, en l’annonçant. Elle monte jusqu’à la cellule la plus éloignée, où se tient l’homme endormi, solitaire. Elle a blanchi, mais elle conserve la beauté de ses traits et signe encore l’épée entre ses jambes.

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  5. Près de là, une apparition sinistre avance en direction de la citadelle en ruine. Les charognards et les épines reculent devant son pas posé. À l’intérieur des salons lugubres, des voix fantasmatiques annoncent sa présence en poussant des hurlements évanescents. Elle monte jusqu’à la cellule la plus éloignée, où se tient l’homme endormi, solitaire. Elle a blanchi, mais elle conserve la beauté de ses traits et signe encore l’épée entre ses jambes.

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  6. Près de là, une apparition sinistre avance en direction de la citadelle en ruine. Les charognards et les épines reculent devant son pas posé. À l’intérieur des salons lugubres, des voix fantasmatiques annoncent sa présence en poussant [essayez quand même de trouver un verbe aussi « bizarre » que ce « quiebran » ; d'ailleurs, voyez si vous trouver l'expression sur Google, histoire de ne pas passer à côté de quelque chose…] des hurlements évanescents. Elle monte jusqu’à la cellule la plus éloignée, où se tient l’homme endormi, solitaire. Elle a blanchi, mais elle conserve la beauté de ses traits et signe encore l’épée entre ses jambes.

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  7. Près de là, une apparition sinistre avance en direction de la citadelle en ruine. Les charognards et les épines reculent devant son pas posé. À l’intérieur des salons lugubres, des voix fantasmatiques annoncent sa présence en tonitruant [essayez quand même de trouver un verbe aussi « bizarre » que ce « quiebran » ; d'ailleurs, voyez si vous trouver l'expression sur Google, histoire de ne pas passer à côté de quelque chose…// Je ne trouve pas mieux, j'ai beau cherché, je ne trouve pas d'expression] des hurlements évanescents. Elle monte jusqu’à la cellule la plus éloignée, où se tient l’homme endormi, solitaire. Elle a blanchi, mais elle conserve la beauté de ses traits et signe encore l’épée entre ses jambes.

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  8. (D'ailleurs, désolée pour la faute.)

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  9. Près de là, une apparition sinistre avance en direction de la citadelle en ruine. Les charognards et les épines reculent devant son pas posé. À l’intérieur des salons lugubres, des voix fantasmatiques annoncent sa présence en tonitruant [essayez quand même de trouver un verbe aussi « bizarre » que ce « quiebran » ; d'ailleurs, voyez si vous trouver l'expression sur Google, histoire de ne pas passer à côté de quelque chose…// Je ne trouve pas mieux, j'ai beau cherché, je ne trouve pas d'expression /// « crachant » ?] des hurlements évanescents. Elle monte jusqu’à la cellule la plus éloignée, où se tient l’homme endormi, solitaire. Elle a blanchi, mais elle conserve la beauté de ses traits et signe encore l’épée entre ses jambes.

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  10. Près de là, une apparition sinistre avance en direction de la citadelle en ruine. Les charognards et les épines reculent devant son pas posé. À l’intérieur des salons lugubres, des voix fantasmatiques annoncent sa présence en crachant des hurlements évanescents. Elle monte jusqu’à la cellule la plus éloignée, où se tient l’homme endormi, solitaire. Elle a blanchi, mais elle conserve la beauté de ses traits et signe encore l’épée entre ses jambes.

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  11. Près de là, une apparition sinistre avance en direction de la citadelle en ruine. Les charognards et les épines reculent devant son pas posé. À l’intérieur des salons lugubres, des voix fantasmatiques annoncent sa présence en crachant des hurlements évanescents. Elle monte jusqu’à la cellule la plus éloignée, où se tient l’homme endormi, solitaire. Elle a blanchi, mais elle conserve la beauté de ses traits et signe encore l’épée entre ses jambes.

    OK.

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  12. Vous pouvez relire. Envoyez par mail quand c'est prêt, en rétablissant la mise en page de départ……… bref, comme d'habitude.

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