Lástima que deba tener el texto terminado en menos de dos horas para enviarlo a la redacción. Nos despedimos. Salgo deprisa, intentando que no se diluya ninguna de las sensaciones que impregnan cada poro de mi piel.
Traduction temporaire :
Quel dommage qu’il faille que je termine mon texte dans moins de deux heures pour l’envoyer à la rédaction. Nous nous disons au revoir. Je sors précipitamment, en essayant de faire en sorte qu’aucune des sensations qui imprègnent chaque pore de ma peau ne se dissolve.
Quel dommage qu’il faille que je termine mon texte dans moins de deux heures pour l’envoyer à la rédaction. Nous nous disons au revoir. Je sors précipitamment, en essayant de faire en sorte qu’aucune des sensations qui imprègnent chaque pore de ma peau ne se dissolve.
Maria Sergia Martin Gonzalez.
RépondreSupprimerQuel dommage qu’il faille que je termine mon texte dans moins de deux heures pour l’envoyer à la rédaction. Nous nous disons au revoir. Je sors précipitamment, en essayant de refouler les sensations qui imprègnent chaque pore de ma peau.
Quel dommage qu’il faille que je termine mon texte dans moins de deux heures pour l’envoyer à la rédaction. Nous nous disons au revoir. Je sors précipitamment, en essayant de refouler [pas ce que dit la V.O.] les sensations qui imprègnent chaque pore de ma peau.
RépondreSupprimerMaria Sergia Martin Gonzalez.
RépondreSupprimerQuel dommage qu’il faille que je termine mon texte dans moins de deux heures pour l’envoyer à la rédaction. Nous nous disons au revoir. Je sors précipitamment, en essayant de préserver les sensations qui imprègnent chaque pore de ma peau pour qu’elles ne s’éteignent pas.
Quel dommage qu’il faille que je termine mon texte dans moins de deux heures pour l’envoyer à la rédaction. Nous nous disons au revoir. Je sors précipitamment, en essayant de préserver [j'insiste : revenez à la V.O.] les sensations qui imprègnent chaque pore de ma peau pour qu’elles ne s’éteignent pas.
RépondreSupprimerMaria Sergia Martin Gonzalez.
RépondreSupprimerQuel dommage qu’il faille que je termine mon texte dans moins de deux heures pour l’envoyer à la rédaction. Nous nous disons au revoir. Je sors précipitamment, en essayant qu’aucune des sensations qui imprègnent chaque pore de ma peau s’affaiblisse.
Quel dommage qu’il faille que je termine mon texte dans moins de deux heures pour l’envoyer à la rédaction. Nous nous disons au revoir. Je sors précipitamment, en essayant [« de faire en sorte »] qu’aucune des sensations qui imprègnent chaque pore de ma peau s’affaiblisse [« ne se dilue / dissolve »].
RépondreSupprimerMaria Sergia Martin Gonzalez
RépondreSupprimerQuel dommage qu’il faille que je termine mon texte dans moins de deux heures pour l’envoyer à la rédaction. Nous nous disons au revoir. Je sors précipitamment, en essayant de faire en sorte qu’aucune des sensations qui imprègnent chaque pore de ma peau ne se dissolve [je trouve ça curieux d'utiliser le verbe "dissoudre" dans ce contexte c'est pourquoi j'ai essayé de trouver une équivalence...].
Quel dommage qu’il faille que je termine mon texte dans moins de deux heures pour l’envoyer à la rédaction. Nous nous disons au revoir. Je sors précipitamment, en essayant de faire en sorte qu’aucune des sensations qui imprègnent chaque pore de ma peau ne se dissolve.
RépondreSupprimerOK.