El tráfico estaba paralizado a causa del fenómeno, sin duda. Ni un rumor en la ciudad. Sólo, de cuando en cuando, un vago murmullo de viento sobre los árboles. Era también alarmante la actitud de los pájaros. Habíanse apelotonado en un rincón, casi unos sobre otros. Me dieron compasión y decidí abrirles la puerta. No quisieron salir; antes se recogieron más acongojados aún. Entonces comenzó a intimidarme la idea de un cataclismo.
Traduction temporaire :
La circulation était sans aucun doute paralysée à cause du phénomène. Pas un bruit dans la ville. Rien qu’un vague murmure de vent dans les arbres, de temps à autre. Le comportement des oiseaux aussi était alarmant : ils s’étaient pelotonnés dans un coin, quasiment les uns sur les autres. Comme ils m'inspiraient de la compassion, je décidai de leur ouvrir la porte. Ils ne voulurent pas sortir ; au contraire, ils se recroquevillèrent davantage, encore plus apeurés. À ce moment-là, l’idée d’un cataclysme commença à m’effrayer.
La circulation était sans aucun doute paralysée à cause du phénomène. Pas un bruit dans la ville. Rien qu’un vague murmure de vent dans les arbres, de temps à autre. Le comportement des oiseaux aussi était alarmant : ils s’étaient pelotonnés dans un coin, quasiment les uns sur les autres. Comme ils m'inspiraient de la compassion, je décidai de leur ouvrir la porte. Ils ne voulurent pas sortir ; au contraire, ils se recroquevillèrent davantage, encore plus apeurés. À ce moment-là, l’idée d’un cataclysme commença à m’effrayer.
La circulation était paralysée à cause du phénomène, sans aucun doute. Pas un bruit dans la ville. Rien qu’un vague murmure de vent sur les arbres, de temps à autre. Le comportement des oiseaux aussi était alarmant. Ils s’étaient pelotonnés dans un coin, quasiment les uns sur les autres. Ils m’inspirèrent de la compassion, si bien que je décidai de leur ouvrir la porte. Ils ne voulurent pas sortir ; au contraire, ils se recroquevillèrent davantage, encore plus angoissés. À ce moment-là, l’idée d’un cataclysme commença à m’effrayer.
RépondreSupprimerLa circulation était paralysée à cause du phénomène, sans aucun doute [mets-le avant]. Pas un bruit dans la ville. Rien qu’un vague murmure de vent sur les arbres, de temps à autre. Le comportement des oiseaux aussi était alarmant. [deux points . Comme tu veux…] Ils s’étaient pelotonnés dans un coin, quasiment les uns sur les autres. Ils m’inspirèrent [« M'inspirant » ?] de la compassion, si bien que [tu pourrais supprimer tout ça…] je décidai de leur ouvrir la porte. Ils ne voulurent pas sortir ; au contraire, ils se recroquevillèrent davantage, encore plus angoissés [pour des oiseaux ?]. À ce moment-là, l’idée d’un cataclysme commença à m’effrayer.
RépondreSupprimerSans aucun doute, la circulation était paralysée à cause du phénomène. Pas un bruit dans la ville. Rien qu’un vague murmure de vent sur les arbres, de temps à autre. Le comportement des oiseaux aussi était alarmant : ils s’étaient pelotonnés dans un coin, quasiment les uns sur les autres. M'inspirant de la compassion, je décidai de leur ouvrir la porte [euh, pour moi c'est incorrect, comme construction... / ou : M'inspirant..., ils m'incitèrent à leur ouvrir ?]. Ils ne voulurent pas sortir ; au contraire, ils se recroquevillèrent davantage, encore plus apeurés. À ce moment-là, l’idée d’un cataclysme commença à m’effrayer.
RépondreSupprimerSans aucun doute [ou après « était », pour éviter cette virgule qui rompt la fluidité de la phrase ?], la circulation était paralysée à cause du phénomène. Pas un bruit dans la ville. Rien qu’un vague murmure de vent sur [« dans » ?] les arbres, de temps à autre. Le comportement des oiseaux aussi était alarmant : ils s’étaient pelotonnés dans un coin, quasiment les uns sur les autres. M'inspirant de la compassion, je décidai de leur ouvrir la porte [euh, pour moi c'est incorrect, comme construction... / ou : M'inspirant..., ils m'incitèrent à leur ouvrir ? Supprime « m'incitèrent »…]. Ils ne voulurent pas sortir ; au contraire, ils se recroquevillèrent davantage, encore plus apeurés. À ce moment-là, l’idée d’un cataclysme commença à m’effrayer.
RépondreSupprimerLa circulation était sans aucun doute paralysée à cause du phénomène. Pas un bruit dans la ville. Rien qu’un vague murmure de vent dans les arbres, de temps à autre. Le comportement des oiseaux aussi était alarmant : ils s’étaient pelotonnés dans un coin, quasiment les uns sur les autres. M'inspirant de la compassion, je décidai de leur ouvrir la porte [M'inspirant..., ils m'incitèrent à leur ouvrir ? Supprime « m'incitèrent » Argh... je ne vois pas…]. Ils ne voulurent pas sortir ; au contraire, ils se recroquevillèrent davantage, encore plus apeurés. À ce moment-là, l’idée d’un cataclysme commença à m’effrayer.
RépondreSupprimerBon, neutralisons le problème. Ça te va, comme ça ?
RépondreSupprimerLa circulation était sans aucun doute paralysée à cause du phénomène. Pas un bruit dans la ville. Rien qu’un vague murmure de vent dans les arbres, de temps à autre. Le comportement des oiseaux aussi était alarmant : ils s’étaient pelotonnés dans un coin, quasiment les uns sur les autres. Comme ils m'inspiraient de la compassion, je décidai de leur ouvrir la porte. Ils ne voulurent pas sortir ; au contraire, ils se recroquevillèrent davantage, encore plus apeurés. À ce moment-là, l’idée d’un cataclysme commença à m’effrayer.
Oui !
RépondreSupprimerLa circulation était sans aucun doute paralysée à cause du phénomène. Pas un bruit dans la ville. Rien qu’un vague murmure de vent dans les arbres, de temps à autre. Le comportement des oiseaux aussi était alarmant : ils s’étaient pelotonnés dans un coin, quasiment les uns sur les autres. Comme ils m'inspiraient de la compassion, je décidai de leur ouvrir la porte. Ils ne voulurent pas sortir ; au contraire, ils se recroquevillèrent davantage, encore plus apeurés. À ce moment-là, l’idée d’un cataclysme commença à m’effrayer.