samedi 7 mars 2015

Projet Juliette / Jordane – phrases 90-95

Esta es mi casa —decía el hombre mientras Onel escrutaba todo.
Cuando terminó de visitar la casa, Onel pareció encontrar lo que buscaba. Miró fijamente la puerta bajo la cual estaba incrustada la herradura. No hacía falta decir o inventar otra cosa. Todo estaba claro en su mente.
Yo no puedo irme —dijo el hombre retrocediendo un poco.

Traduction temporaire :
— C’est ma maison, disait l’homme pendant qu’Onel scrutait tout autour de lui.
Quand il termina d’examiner les lieux, Onel sembla trouver ce qu’il cherchait. Il fixa des yeux la porte sous laquelle était accroché le fer à cheval. Il ne restait rien à dire ou à inventer. Tout était clair dans son esprit.

— Je ne peux pas partir, déclare l’homme en reculant un peu.

11 commentaires:

Unknown a dit…

— C’est ma maison, disait l’homme pendant qu’Onel scrutait tout autour de lui.
Quand il termina d’examiner la maison, Onel sembla trouver ce qu’il cherchait. Il fixa la porte sous laquelle était accroché un fer à cheval. Il ne fallait pas dire ou inventer autre chose. Tout était clair dans son esprit.
— Je ne peux pas partir, dit l’homme en reculant un peu.

Tradabordo a dit…

— C’est ma maison, disait l’homme pendant qu’Onel scrutait tout autour de lui.
Quand il termina d’examiner la maison, Onel sembla trouver ce qu’il cherchait. Il fixa [« des yeux » ; sinon, fixer tout seul = attacher] la porte sous laquelle était accroché un [« la » en esp.] fer à cheval. Il ne fallait pas dire ou inventer autre chose [clair ????]. Tout était clair dans son esprit.
— Je ne peux pas partir, dit l’homme en reculant un peu.

Unknown a dit…

— C’est ma maison, disait l’homme pendant qu’Onel scrutait tout autour de lui.
Quand il termina d’examiner la maison, Onel sembla trouver ce qu’il cherchait. Il fixa des yeux la porte sous laquelle était accroché le fer à cheval. Il ne fallait rien dire ni rien inventer de plus. Tout était clair dans son esprit.
— Je ne peux pas partir, dit l’homme en reculant un peu.

Tradabordo a dit…

— C’est ma maison, disait l’homme pendant qu’Onel scrutait tout autour de lui.
Quand il termina d’examiner la maison [« les lieux », pour ne pas répéter], Onel sembla trouver ce qu’il cherchait. Il fixa des yeux la porte sous laquelle était accroché le fer à cheval. Il ne fallait rien dire ni rien inventer de plus [pas plus clair ; quelle est l'idée ?]. Tout était clair dans son esprit.
— Je ne peux pas partir, dit l’homme en reculant un peu.

Unknown a dit…

— C’est ma maison, disait l’homme pendant qu’Onel scrutait tout autour de lui.
Quand il termina d’examiner les lieux, Onel sembla trouver ce qu’il cherchait. Il fixa des yeux la porte sous laquelle était accroché le fer à cheval. Il ne fallait rien s'imaginer de plus. Tout était clair dans son esprit.
— Je ne peux pas partir, dit l’homme en reculant un peu.

Tradabordo a dit…

— C’est ma maison, disait l’homme pendant qu’Onel scrutait tout autour de lui.
Quand il termina d’examiner les lieux, Onel sembla trouver ce qu’il cherchait. Il fixa des yeux la porte sous laquelle était accroché le fer à cheval. Il ne fallait rien s'imaginer de plus [l'idée, c'est qu'on n'a plus besoin de dire ou d'inventer quoi que ce soit… Comment diriez-vous cela naturellement ?]. Tout était clair dans son esprit.
— Je ne peux pas partir, dit l’homme en reculant un peu.

Tradabordo a dit…

Au fait : vous avez « dire » et « dire » pour les deux réplique de l'homme. Trouvez une solution.

Unknown a dit…

— C’est ma maison, disait l’homme pendant qu’Onel scrutait tout autour de lui.
Quand il termina d’examiner les lieux, Onel sembla trouver ce qu’il cherchait. Il fixa des yeux la porte sous laquelle était accroché le fer à cheval. Il ne restait rien à dire ou à inventer de plus. Tout était clair dans son esprit.
— Je ne peux pas partir, s'exclame l’homme en reculant un peu.

Tradabordo a dit…

— C’est ma maison, disait l’homme pendant qu’Onel scrutait tout autour de lui.
Quand il termina d’examiner les lieux, Onel sembla trouver ce qu’il cherchait. Il fixa des yeux la porte sous laquelle était accroché le fer à cheval. Il ne restait rien à dire ou à inventer de plus [pas besoin]. Tout était clair dans son esprit.
— Je ne peux pas partir, s'exclame [« déclare » ?] l’homme en reculant un peu.

Unknown a dit…

— C’est ma maison, disait l’homme pendant qu’Onel scrutait tout autour de lui.
Quand il termina d’examiner les lieux, Onel sembla trouver ce qu’il cherchait. Il fixa des yeux la porte sous laquelle était accroché le fer à cheval. Il ne restait rien à dire ou à inventer. Tout était clair dans son esprit.
— Je ne peux pas partir, déclare l’homme en reculant un peu.

Tradabordo a dit…

— C’est ma maison, disait l’homme pendant qu’Onel scrutait tout autour de lui.
Quand il termina d’examiner les lieux, Onel sembla trouver ce qu’il cherchait. Il fixa des yeux la porte sous laquelle était accroché le fer à cheval. Il ne restait rien à dire ou à inventer. Tout était clair dans son esprit.
— Je ne peux pas partir, déclare l’homme en reculant un peu.

OK.

Jordane ?