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samedi 7 mars 2015

Projet Justine 6 – phrases 15-19

 –¿Mamá, por qué no me dejan en paz? Papá sólo piensa en quedar bien con la empresa. Yo no existo para él: me trata como a una de sus calculadoras.
La mujer suspiró profundamente, y luego, sin decidirse a responder, abandonó el comedor para dirigirse a la cocina, murmurando –por lo bajo– contra las ideas absurdas de su hijo.
En la impecable cocina, la criada mecánica apilaba los platos, mientras tarareaba una antigua canción interplanetaria: esas que se cantaban en la época de las sirvientas que emigraron a la Luna en busca de mejores salarios, dejando a las pobres amas de casa abandonadas a su suerte.

Traduction temporaire :

— Maman, pourquoi vous ne me laissez pas tranquille ? Papa ne pense qu'à se faire bien voir dans son entreprise. Pour lui, moi, je n'existe pas ; il me traite comme l'une de ses calculatrices !
Sa mère soupira profondément, puis, décidant de ne rien répondre, sortit de la salle à manger et alla dans la cuisine en maugréant tout bas contre les idées absurdes de son fils.
Dans la cuisine impeccable, la bonne mécanique empilait les assiettes, en fredonnant une vieille chanson interplanétaire – de celles qu'on chantait à l'époque où les domestiques en quête de meilleurs salaires émigraient sur la Lune, abandonnant leurs pauvres maîtresses de maison à leur triste sort.

6 commentaires:

  1. — Maman, pourquoi vous ne me laissez pas tranquille ? Papa ne pense qu'à être apprécié dans son entreprise. Moi, je n'existe pas pour lui : il me traite comme l'une de ses vulgaires calculatrices ! Sa mère soupira profondément, puis, décidant de ne rien répondre, sortit de la salle à manger en direction de la cuisine en maugréant tout bas contre les idées absurdes de son fils.
    Dans la cuisine impeccable, la bonne mécanique empilait les assiettes, tandis qu'elle fredonnait une vieille chanson interplanétaire – de celles qu'on chantait à l'époque où les domestiques en quête de meilleurs salaires émigraient sur la Lune, abandonnant les pauvres maîtresses de maison à leur triste sort.

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  2. — Maman, pourquoi vous ne me laissez pas tranquille ? Papa ne pense qu'à être apprécié [« bien vu »] dans son entreprise. Moi, je n'existe pas pour lui [avance « pour lui »] : il me traite comme l'une de ses vulgaires [j'hésite pour l'ajour] calculatrices !
    Sa mère soupira profondément, puis, décidant de ne rien répondre, sortit de la salle à manger en direction de [« et alla dans »] la cuisine en maugréant tout bas contre les idées absurdes de son fils.
    Dans la cuisine impeccable, la bonne mécanique empilait les assiettes, tandis qu'elle [« en… »] fredonnait une vieille chanson interplanétaire – de celles qu'on chantait à l'époque où les domestiques en quête de meilleurs salaires émigraient sur la Lune, abandonnant les [possessif] pauvres maîtresses de maison à leur triste sort.

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  3. — Maman, pourquoi vous ne me laissez pas tranquille ? Papa ne pense qu'à être bien vu dans son entreprise. Pour lui, moi, je n'existe pas : il me traite comme l'une de ses calculatrices !
    Sa mère soupira profondément, puis, décidant de ne rien répondre, sortit de la salle à manger et alla dans la cuisine en maugréant tout bas contre les idées absurdes de son fils.
    Dans la cuisine impeccable, la bonne mécanique empilait les assiettes, en fredonnant une vieille chanson interplanétaire – de celles qu'on chantait à l'époque où les domestiques en quête de meilleurs salaires émigraient sur la Lune, abandonnant leurs pauvres maîtresses de maison à leur triste sort.

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  4. — Maman, pourquoi vous ne me laissez pas tranquille ? Papa ne pense qu'à être bien vu [« se faire bien voir »] dans son entreprise. Pour lui, moi, je n'existe pas : [pas de : dans les dialogues] il me traite comme l'une de ses calculatrices !
    Sa mère soupira profondément, puis, décidant de ne rien répondre, sortit de la salle à manger et alla dans la cuisine en maugréant tout bas contre les idées absurdes de son fils.
    Dans la cuisine impeccable, la bonne mécanique empilait les assiettes, en fredonnant une vieille chanson interplanétaire – de celles qu'on chantait à l'époque où les domestiques en quête de meilleurs salaires émigraient sur la Lune, abandonnant leurs pauvres maîtresses de maison à leur triste sort.

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  5. — Maman, pourquoi vous ne me laissez pas tranquille ? Papa ne pense qu'à se faire bien voir dans son entreprise. Pour lui, moi, je n'existe pas ; il me traite comme l'une de ses calculatrices !
    Sa mère soupira profondément, puis, décidant de ne rien répondre, sortit de la salle à manger et alla dans la cuisine en maugréant tout bas contre les idées absurdes de son fils.
    Dans la cuisine impeccable, la bonne mécanique empilait les assiettes, en fredonnant une vieille chanson interplanétaire – de celles qu'on chantait à l'époque où les domestiques en quête de meilleurs salaires émigraient sur la Lune, abandonnant leurs pauvres maîtresses de maison à leur triste sort.

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  6. — Maman, pourquoi vous ne me laissez pas tranquille ? Papa ne pense qu'à se faire bien voir dans son entreprise. Pour lui, moi, je n'existe pas ; il me traite comme l'une de ses calculatrices !
    Sa mère soupira profondément, puis, décidant de ne rien répondre, sortit de la salle à manger et alla dans la cuisine en maugréant tout bas contre les idées absurdes de son fils.
    Dans la cuisine impeccable, la bonne mécanique empilait les assiettes, en fredonnant une vieille chanson interplanétaire – de celles qu'on chantait à l'époque où les domestiques en quête de meilleurs salaires émigraient sur la Lune, abandonnant leurs pauvres maîtresses de maison à leur triste sort.

    OK.

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