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samedi 7 mars 2015

Projet Odile 2 – phrases 64-76

Julio se detuvo. Encendió un cigarro. Se levantó. Trató de impartir orden al motín de ideas que lo asaltaba. ¿A dónde llevo este personaje? ¿A dónde me lleva él? Paseó un poco por el departamento. Se sirvió un trago de tequila. Tequila barato, qué bien le vendría a mi buen gusto que la gente desapareciera para así poder tomar cuanto quisiera del tequila más caro y luego pasar por la caja y tomar dinero en vez de tributarlo. Y las librerías, pensó Julio, qué banquete. Y el cine. Una sala completa sin la desagradable proximidad de la gente. ¿Por qué no me aterra la idea?

Traduction temporaire :
Julio s’arrêta. Il alluma une cigarette. Il se leva. Il essaya de mettre de l’ordre dans le tumulte d’idées qui l’assaillaient. Où est-ce que j’emmène ce personnage ? Et lui, où m’emmène-t-il ? Il marcha un peu dans l’appartement. Il se servit un verre de tequila. De la tequila gratuite. Comme cela me plairait que les gens disparaissent pour ainsi boire autant que je le voudrais de la tequila la plus chère, passer ensuite à la caisse et prendre l’argent au lieu de le donner. Et les librairies, pensa Julio, quelle orgie ! Et le cinéma. Une salle entière sans la désagréable proximité des autres. Pourquoi l’idée ne m’effraie-t-elle pas ?

12 commentaires:

  1. Projet Odile 2 – phrases 64-76

    Julio s’arrêta. Il alluma une cigarette. Il se leva. Il essaya de mettre de l’ordre dans le tumulte des idées qui l’assaillaient. Où est-ce que j’emmène ce personnage ? Et lui, où m’emmène-t-il ? Il marcha un peu dans la pièce. Il se servit un coup de tequila. De la tequila gratuite, comme cela conviendrait
    bien à mon bon plaisir que les gens disparaissent pour ainsi pouvoir boire autant que je le veux de la tequila la plus chère et ensuite passer à la caisse et prendre l’argent au lieu de le donner. Et les librairies, pensa Julio, quel régal. Et le cinéma. Une salle entière sans la désagréable proximité des autres. Pourquoi l’idée ne m’effraie-t-elle pas ?

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  2. Julio s’arrêta. Il alluma une cigarette. Il se leva. Il essaya de mettre de l’ordre dans le tumulte des [« d' » ? Comme tu veux…] idées qui l’assaillaient. Où est-ce que j’emmène ce personnage ? Et lui, où m’emmène-t-il ? Il marcha un peu dans la pièce [« appartement » ? Vérifie…]. Il se servit un coup [« verre » ?] de tequila. De la tequila gratuite, [point + la suite manque grandement de clarté… Reprends] comme cela conviendrait bien à mon bon plaisir que les gens disparaissent pour ainsi pouvoir boire autant que je le veux de la tequila la plus chère et ensuite passer à la caisse et prendre l’argent au lieu de le donner. Et les librairies, pensa Julio, quel régal. Et le cinéma. Une salle entière sans la désagréable proximité des autres. Pourquoi l’idée ne m’effraie-t-elle pas ?

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  3. Projet Odile 2 – phrases 64-76

    Julio s’arrêta. Il alluma une cigarette. Il se leva. Il essaya de mettre de l’ordre dans le tumulte d’idées qui l’assaillaient. Où est-ce que j’emmène ce personnage ? Et lui, où m’emmène-t-il ? Il marcha un peu dans l’appartement. Il se servit un verre de tequila. De la tequila gratuite. Comme cela me plairait que les gens disparaissent pour ainsi boire autant qu’ils le veulent de la tequila la plus chère, ensuite passer à la caisse et prendre l’argent au lieu de le donner. Et les librairies, pensa Julio, quel régal. Et le cinéma. Une salle entière sans la désagréable proximité des autres. Pourquoi l’idée ne m’effraie-t-elle pas ?

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  4. Julio s’arrêta. Il alluma une cigarette. Il se leva. Il essaya de mettre de l’ordre dans le tumulte d’idées qui l’assaillaient. Où est-ce que j’emmène ce personnage [au fait, juste un doute, pas un localisme pour dire « bonhomme » / « type » ? Vérifie quand même – histoire qu'on ne se trompe pas ;-)] ? Et lui, où m’emmène-t-il ? Il marcha un peu dans l’appartement. Il se servit un verre de tequila. De la tequila gratuite. Comme cela me plairait que les gens disparaissent pour ainsi boire autant qu’ils [ou le narrateur ?] le veulent de la tequila la plus chère, ensuite passer à la caisse et prendre l’argent au lieu de le donner. Et les librairies, pensa Julio, quel régal [« orgie » ?]. [point d'exclamation] Et le cinéma. Une salle entière sans la désagréable proximité des autres. Pourquoi l’idée ne m’effraie-t-elle pas ?

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  5. Projet Odile 2 – phrases 64-76

    Pour "personaje" je ne trouve pas de localisme.
    "type" semblerait plus approprié dans cette histoire, mais j'ai encore un doute.

    Julio s’arrêta. Il alluma une cigarette. Il se leva. Il essaya de mettre de l’ordre dans le tumulte d’idées qui l’assaillaient. Où est-ce que j’emmène ce type ? Et lui, où m’emmène-t-il ? Il marcha un peu dans l’appartement. Il se servit un verre de tequila. De la tequila gratuite. Comme cela me plairait que les gens disparaissent pour ainsi boire autant que je le voudrais de la tequila la plus chère, passer ensuite à la caisse et prendre l’argent au lieu de le donner. Et les librairies, pensa Julio, quelle orgie ! Et le cinéma. Une salle entière sans la désagréable proximité des autres. Pourquoi l’idée ne m’effraie-t-elle pas ?

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  6. Tu veux que je demande à Elena ?

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  7. Bonjour,

    Dans cet extrait, il me semble que c'est plutôt "personnage", car le texte parle des péripéties d'un écrivain. Du moins, c'est ce que je comprends...

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  8. Dans ce cas, pas d'inquiétude à avoir. Odile ?
    Merci, Elena.

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  9. Entendu ! Allons-y pour "personnage" et je vous remercie pour l'aide apportée.
    Projet Odile 2 – phrases 64-76

    Julio s’arrêta. Il alluma une cigarette. Il se leva. Il essaya de mettre de l’ordre dans le tumulte d’idées qui l’assaillaient. Où est-ce que j’emmène ce personnage ? Et lui, où m’emmène-t-il ? Il marcha un peu dans l’appartement. Il se servit un verre de tequila. De la tequila gratuite. Comme cela me plairait que les gens disparaissent pour ainsi boire autant que je le voudrais de la tequila la plus chère, passer ensuite à la caisse et prendre l’argent au lieu de le donner. Et les librairies, pensa Julio, quelle orgie ! Et le cinéma. Une salle entière sans la désagréable proximité des autres. Pourquoi l’idée ne m’effraie-t-elle pas ?

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  10. Julio s’arrêta. Il alluma une cigarette. Il se leva. Il essaya de mettre de l’ordre dans le tumulte d’idées qui l’assaillaient. Où est-ce que j’emmène ce personnage ? Et lui, où m’emmène-t-il ? Il marcha un peu dans l’appartement. Il se servit un verre de tequila. De la tequila gratuite. Comme cela me plairait que les gens disparaissent pour ainsi boire autant que je le voudrais de la tequila la plus chère, passer ensuite à la caisse et prendre l’argent au lieu de le donner. Et les librairies, pensa Julio, quelle orgie ! Et le cinéma. Une salle entière sans la désagréable proximité des autres. Pourquoi l’idée ne m’effraie-t-elle pas ?

    OK.

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