Pages

vendredi 10 avril 2015

Projet Manuel / Thomas – phrases 125-129

-¿Qué haces ahí parado, Santi? –dijo ella, con mucha suavidad.
-Vete, vete –repitió él, aunque sus palabras le sonaron débiles, lejanas.
Una garra le estrujó el estómago y sus labios se curvaron en una mueca de dolor.
-¿Qué pasa? ¿Te sientes mal? –dijo ella, dando un paso adelante.

Traduction temporaire :

— Que fais-tu, planté là, Santi ? dit-elle avec beaucoup de douceur.
— Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parussent faibles, lointaines.
Une main lui serra l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
— Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? reprit-elle, en avançant d'un pas.

7 commentaires:

  1. — Que fais-tu là, immobile, Santi ? dit-elle, avec beaucoup de douceur.
    — Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parurent faibles, lointaines.
    Une force lui serra l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
    — Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? dit-elle, avançant d'un pas.

    RépondreSupprimer
  2. — Que fais-tu là, immobile [« Que fais-tu, planté là » ?], Santi ? dit-elle, avec beaucoup de douceur.
    — Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parurent [grammaire : bien que + subj] faibles, lointaines.
    Une force [pas ce que dit la V.O.] lui serra [texte ?] l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
    — Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? dit[vous en avez déjà un plus haut]-elle, avançant d'un pas.

    RépondreSupprimer
  3. — Que fais-tu, planté là, Santi ? dit-elle, avec beaucoup de douceur.
    — Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parussent faibles, lointaines.
    Une main lui pressa l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
    — Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? reprit-elle, avançant d'un pas.

    RépondreSupprimer
  4. — Que fais-tu, planté là, Santi ? dit-elle, [la virgule ? J'hésite] avec beaucoup de douceur.
    — Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parussent faibles, lointaines.
    Une main lui pressa [« serra » ?] l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
    — Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? reprit-elle, [« en » ?] avançant d'un pas.

    RépondreSupprimer
  5. — Que fais-tu, planté là, Santi ? dit-elle avec beaucoup de douceur.
    — Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parussent faibles, lointaines.
    Une main lui serra l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
    — Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? reprit-elle, en avançant d'un pas.

    RépondreSupprimer
  6. — Que fais-tu, planté là, Santi ? dit-elle avec beaucoup de douceur.
    — Va-t-en, va-t-en, répéta-t-il, bien que ses paroles lui parussent faibles, lointaines.
    Une main lui serra l'estomac et ses lèvres se tordirent en une grimace de douleur.
    — Que se passe-t-il ? Tu te sens mal ? reprit-elle, en avançant d'un pas.

    OK.

    Manuel ?

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.