Pages

vendredi 23 octobre 2015

Projet Johanna – phrase 187-193

Esto te pasa por creerte la viva –dice–. Ya vi lo que hiciste con mi tunera.
La niña llora escandalosamente y Julio aprovecha para estamparle ahora una coz en el centro de la cabeza. Ella ahora llora con más vehemencia.
Cállate, burra –ordena Julio, y a continuación comienza a patear las muñecas, a terminar de desmembrarlas. También coge los tenedores y cucharas y los rompe con las manos–. Cállate o rompo todo.

Traduction temporaire :

— Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
La petite éclate en sanglots et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant, ses pleurs redoublent.
— Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les broie entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.

12 commentaires:

  1. — ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie. La petite pleure scandaleusement et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant elle pleure avec plus de véhémence.
    — Tais-toi, bourrique, ordonne Julio, puis commence à piétiner les poupées, à finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les casse avec ses mains. Tais-toi ou je casse tout.

    RépondreSupprimer
  2. — ç[majuscule]a t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
    La petite pleure scandaleusement [vous le diriez ?] et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant elle pleure avec plus de véhémence [vous le diriez ?].
    — Tais-toi, bourrique, [point d'exclamation] ordonne Julio, puis commence à piétiner les [de qui ?] poupées, à finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les casse avec [« entre » ?] ses mains. Tais-toi ou je casse tout.

    RépondreSupprimer
  3. — Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
    La petite pleure et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant elle pleure encore plus.
    — Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, puis commence à piétiner ses poupées, à finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les casse entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.

    RépondreSupprimer
  4. — Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
    La petite pleure [en supprimant l'adverbe, vous trichez] et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant elle pleure encore plus [il y a mieux].
    — Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, puis commence [mal dit le « puis… »] à piétiner ses poupées, à [????] finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les casse entre ses mains. Tais-toi ou je casse [un moyen de ne pas répéter « casser » ?] tout.

    RépondreSupprimer
  5. — Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
    La petite pleure déplorablement et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant elle pleure avec plus d'ardeur.
    — Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les détruit entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.

    RépondreSupprimer
  6. — Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
    La petite pleure déplorablement [FS] et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant elle pleure avec plus d'ardeur [ici, OK, je vous aide : « ses pleurs redoublent » / pour l'autre, je vous laisse chercher].
    — Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les détruit entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.

    RépondreSupprimer
  7. — Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
    La petite fond en larme et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant ses pleurs redoublent.
    — Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les détruit entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.

    RépondreSupprimer
  8. — Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
    La petite fond en larme [« éclate en sanglots »] et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant [virgule] ses pleurs redoublent.
    — Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les détruit entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.

    RépondreSupprimer
  9. — Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
    La petite éclate en sanglots et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant, ses pleurs redoublent.
    — Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les détruit entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.

    RépondreSupprimer
  10. — Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
    La petite éclate en sanglots et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant, ses pleurs redoublent.
    — Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les détruit [« broie » ?] entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.

    RépondreSupprimer
  11. — Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
    La petite éclate en sanglots et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant, ses pleurs redoublent.
    — Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les broie entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.

    RépondreSupprimer
  12. — Ça t'arrive parce que tu te crois maligne, dit-il. J'ai vu ce que t'as fait à mon figuier de Barbarie.
    La petite éclate en sanglots et Julio en profite pour lui lancer quelque chose en pleine figure. Maintenant, ses pleurs redoublent.
    — Tais-toi, bourrique ! ordonne Julio, commence alors à piétiner ses poupées, pour finir de les démembrer. Il prend aussi les couteaux et cuillères et les broie entre ses mains. Tais-toi ou je casse tout.

    OK.

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.