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samedi 17 octobre 2015

Projet Marine 5 – phrases 92-96

Verla y estallar fueron una sola cosa.
-¡La puta madre che! ¡la van a ver morirse un día y se van a seguir cagando de risa, manga de cabrones!
Le queríamos explicar que nadie se estaba riendo, que teníamos miedo de tocarla y que se rompiera; pero no nos escuchaba.
La levantó del piso, le sacudió el vestido y la llevó sosteniéndola y acariciándole el pelo hasta su cama.
-Gracias papá- dijo ella cuando le sacó los zapatos y le acomodó las sábanas.

Traduction temporaire :
La voir, c'était exploser.
— Putain de merde ! Un jour, vous allez la regarder crever et vous continuerez à vous pisser dessus de rire, bande d'enfoirés !
Nous voulions lui expliquer que personne ne riait, que nous avions peur de la toucher et qu'elle se brise ; mais il ne nous écoutait pas. Il la releva, lui lissa sa robe et la porta jusqu'à son lit en la câlinant.

— Merci, papa, dit-elle quand il lui retira ses chaussures et la borda.

12 commentaires:

  1. Il explosait chaque fois qu'il la voyait. — Putain de merde ! Un jour, vous allez la voir mourir et vous allez continuer d'éclater de rire, bande d'enfoirés ! Nous voulions lui expliquer que personne n'était en train de rire, que nous avions peur de la toucher et qu'elle se brise ; mais il ne nous écoutait pas. Il la releva, lui secoua sa robe et l'emmena jusqu'à son lit en la soutenant et en la câlinant.
    — Merci papa — dit-elle quand il lui retira ses chaussures et lui ajusta ses draps.

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  2. Il explosait chaque fois qu'il la voyait [pas un moyen d'être plus près de la V.O., quand même ?].
    — Putain de merde ! Un jour, vous allez la voir mourir [« crever » ? Question de ton… Comme vous voulez…] et vous allez continuer d'éclater [bof] de rire, bande d'enfoirés !
    Nous voulions lui expliquer que personne n'était en train [nécessaire ? J'hésite] de rire, que nous avions peur de la toucher et qu'elle se brise ; mais il ne nous écoutait pas. Il la releva, lui secoua [clair ?] sa robe et l'emmena [« porta »] jusqu'à son lit en la soutenant [nécessaire ?] et en la câlinant.
    — Merci [virgule] papa —[pas un tiret, mais une virgule] dit-elle quand il lui retira ses chaussures et lui ajusta [naturel ?] ses draps.

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  3. La voir et exploser allait de pair.
    — Putain de merde ! Un jour, vous allez la voir crever et vous allez continuer à vous pisser dessus, bande d'enfoirés !
    Nous voulions lui expliquer que personne ne riait, que nous avions peur de la toucher et qu'elle se brise ; mais il ne nous écoutait pas. Il la releva, lui agita sa robe et la porta jusqu'à son lit en la câlinant.
    — Merci, papa, dit-elle quand il lui retira ses chaussures et la borda.

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  4. La voir et exploser allait de pair [je me demande si c'est clair…].
    — Putain de merde ! Un jour, vous allez la voir crever et vous allez continuer à vous pisser dessus [« de rire »], bande d'enfoirés !
    Nous voulions lui expliquer que personne ne riait, que nous avions peur de la toucher et qu'elle se brise ; mais il ne nous écoutait pas. Il la releva, lui agita [dans le sens de remettre en place / lisser ?] sa robe et la porta jusqu'à son lit en la câlinant.
    — Merci, papa, dit-elle quand il lui retira ses chaussures et la borda.

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  5. La voir et exploser avait un rapport de cause à effet.
    — Putain de merde ! Un jour, vous allez la voir crever et vous allez continuer à vous pisser dessus de rire, bande d'enfoirés !
    Nous voulions lui expliquer que personne ne riait, que nous avions peur de la toucher et qu'elle se brise ; mais il ne nous écoutait pas. Il la releva, lui lissa sa robe et la porta jusqu'à son lit en la câlinant.
    — Merci, papa, dit-elle quand il lui retira ses chaussures et la borda.

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  6. La voir et exploser avait un rapport de cause à effet [ou, plus simple : « La voir, c'était exploser » ?].
    — Putain de merde ! Un jour, vous allez la voir [aïe ; on l'a déjà dans la phrase d'avant, du coup… Il faut changer] crever et vous allez continuer à vous pisser dessus de rire, bande d'enfoirés !
    Nous voulions lui expliquer que personne ne riait, que nous avions peur de la toucher et qu'elle se brise ; mais il ne nous écoutait pas. Il la releva, lui lissa sa robe et la porta jusqu'à son lit en la câlinant.
    — Merci, papa, dit-elle quand il lui retira ses chaussures et la borda.

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  7. La voir, c'était exploser.
    — Putain de merde ! Un jour, vous allez la regarder crever et vous allez continuer à vous pisser dessus de rire, bande d'enfoirés !
    Nous voulions lui expliquer que personne ne riait, que nous avions peur de la toucher et qu'elle se brise ; mais il ne nous écoutait pas. Il la releva, lui lissa sa robe et la porta jusqu'à son lit en la câlinant.
    — Merci, papa, dit-elle quand il lui retira ses chaussures et la borda.

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  8. La voir, c'était exploser.
    — Putain de merde ! Un jour, vous allez la regarder crever et vous allez continuer [avec un simple futur ?] à vous pisser dessus de rire, bande d'enfoirés !
    Nous voulions lui expliquer que personne ne riait, que nous avions peur de la toucher et qu'elle se brise ; mais il ne nous écoutait pas. Il la releva, lui lissa sa robe et la porta jusqu'à son lit en la câlinant.
    — Merci, papa, dit-elle quand il lui retira ses chaussures et la borda.

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  9. La voir, c'était exploser.
    — Putain de merde ! Un jour, vous allez la regarder crever et vous continuerez à vous pisser dessus de rire, bande d'enfoirés !
    Nous voulions lui expliquer que personne ne riait, que nous avions peur de la toucher et qu'elle se brise ; mais il ne nous écoutait pas. Il la releva, lui lissa sa robe et la porta jusqu'à son lit en la câlinant.
    — Merci, papa, dit-elle quand il lui retira ses chaussures et la borda.

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  10. La voir, c'était exploser.
    — Putain de merde ! Un jour, vous allez la regarder crever et vous continuerez à vous pisser dessus de rire, bande d'enfoirés !
    Nous voulions lui expliquer que personne ne riait, que nous avions peur de la toucher et qu'elle se brise ; mais il ne nous écoutait pas. Il la releva, lui lissa sa robe et la porta jusqu'à son lit en la câlinant.
    — Merci, papa, dit-elle quand il lui retira ses chaussures et la borda.

    OK. J'ai des doutes sur la première phrase, mais on verra cela au moment de la relecture.

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  11. D'accord, je vais y réfléchir en attendant.

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  12. Pouvez-vous publier la suite du texte s'il vous plaît ? Merci :)

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