—Sé que te puede parecer ridículo —me dijo Aníbal en uno de aquellos encuentros; nos habíamos citado en la librería El Virrey, en la calle Dasso, y de ahí nos trasladamos a la terraza del café D’Onofrio—, pero este asunto, no sé por qué, me intrigó más de la cuenta.
—Bastante más —dije yo—. Y creo saber la razón.
Aníbal me miró, animándose:
—¿Te refieres a que yo fui el último que vio a la Zurda?
Traduction temporaire :
— Je sais que ça peut te paraître ridicule, me concéda Anibal lors de l'une de ces rencontres. Nous nous étions donné rendez-vous à la librairie El Virrey dans la Calle Dasso, puis de là nous étions allés en terrasse au café D'Onofrio. Mais cette affaire m'a un peu trop intrigué, j'ignore pourquoi.
— Bien trop, confirmai-je. Et je crois en connaître la raison.
Anibal me regarda, s'enhardissant :
— Tu veux parler du fait que je sois le dernier à avoir vu la Gauchère ?
— Je sais que ça peut te paraître ridicule, me concéda Anibal lors d'une de ces rencontres – nous nous étions donné rendez-vous à la librairie El Virrey dans la calle Dasso, puis de là nous sommes allés en terrasse au café D'Onofrio –, mais, j'ignore pourquoi, cette affaire m'a un peu trop intrigué.
RépondreSupprimer— Bien trop, confirmai-je. Et je crois en connaître la raison.
Anibal me regarda, s'enhardissant :
— Tu veux parler du fait que je sois le dernier à avoir vu la Gauchère ?
— Je sais que ça peut te paraître ridicule, me concéda Anibal lors de l'une de ces rencontres – [point] nous nous étions donné rendez-vous à la librairie El Virrey dans la Calle Dasso, puis de là nous sommes allés [PQP ?] en terrasse au café D'Onofrio –, [point] mais, j'ignore pourquoi [mets-le à la fin], cette affaire m'a un peu trop intrigué.
RépondreSupprimer— Bien trop, confirmai-je. Et je crois en connaître la raison.
Anibal me regarda, s'enhardissant :
— Tu veux parler du fait que je sois le dernier à avoir vu la Gauchère ?
— Je sais que ça peut te paraître ridicule, me concéda Anibal lors de l'une de ces rencontres. Nous nous étions donné rendez-vous à la librairie El Virrey dans la Calle Dasso, puis de là nous étions allés en terrasse au café D'Onofrio. Mais cette affaire m'a un peu trop intrigué, j'ignore pourquoi.
RépondreSupprimer— Bien trop, confirmai-je. Et je crois en connaître la raison.
Anibal me regarda, s'enhardissant :
— Tu veux parler du fait que je sois le dernier à avoir vu la Gauchère ?
— Je sais que ça peut te paraître ridicule, me concéda Anibal lors de l'une de ces rencontres. Nous nous étions donné rendez-vous à la librairie El Virrey dans la Calle Dasso, puis de là nous étions allés en terrasse au café D'Onofrio. Mais cette affaire m'a un peu trop intrigué, j'ignore pourquoi.
RépondreSupprimer— Bien trop, confirmai-je. Et je crois en connaître la raison.
Anibal me regarda, s'enhardissant :
— Tu veux parler du fait que je sois le dernier à avoir vu la Gauchère ?
OK.