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vendredi 4 mars 2016

Projet Camille / Angélique 2 – phrases 123-133

-Me das rabia cada vez que tocas el asunto de Ema -dijo él.
Ella no dijo nada. Él tenía ganas de seguir hablando. 
-Las mujeres deberían callarse a veces -dijo.
Ella no dijo nada; el hombre rasurado de piel amarillenta se despidió de su amigo y caminó por entre las mesas y salió del bar; el propietario levantó los ojos hacia él y luego los volvió a bajar.
-¿Quieres ir a alguna parte a comer? -preguntó él con agriedad.
-No sé -dijo ella-, como quieras.
Cuando hubo pasado un momento, ella dijo:
-Si uno pudiera dar a su vida un fin.
Seguía, él, callado.
Estuvieron allí un rato más y luego salieron; echaron a andar por esas calles donde rodaban la soledad, la pobreza y el templado aire nocturno; parecía haberse establecido entre los dos una atmósfera, una temperatura que no tenía nada que ver con el clima de la calle; caminaron unas pocas cuadras, hasta el barrio céntrico donde ardían los arcos galvánicos, y entraron en el restaurante.

Traduction temporaire :

— Ça me met en rage à chaque fois que tu abordes le sujet d'Ema, lui reproche-t-il. Elle ne répondit rien. Lui, il avait envie de continuer de parler. Les femmes devraient se taire, des fois.
Elle ne répondit rien ; l'homme à la peau jaunâtre rasée salua son ami, avança entre les tables et sortit du bar ; le propriétaire leva les yeux vers lui et les baissa.
— Tu veux aller quelque part pour manger ? demanda-t-il amèrement.
— J'en sais rien, comme tu veux. Au bout d'un moment, elle ajouta : Si quelqu'un pouvait donner une fin à sa vie.
Lui demeurait silencieux.
Ils restèrent là un peu plus longtemps et partirent ; ils commencèrent à marcher dans ces rues où rodaient la solitude, la pauvreté, et l'air doux de la nuit ; on aurait dit qu'une atmosphère s'était créée entre eux deux, une température qui n'avait rien à voir avec le climat de la ville ; ils passèrent devant quelques pâtés de maisons, jusqu'au quartier central, où les arcs galvaniques brûlaient, et entrèrent dans un restaurant.

6 commentaires:

  1. — Ça me fout la rage à chaque fois que tu abordes le sujet d'Ema, dit-il.
    Elle ne répondit rien. Lui, il avait envie de continuer de parler.
    — Les femmes devraient se taire des fois.
    Elle ne répondit rien ; l'homme à la peau rasée jaunâtre salua son ami, marcha entre les tables et sortit du bar ; le propriétaire leva les yeux vers lui et puis les abaissa.
    — Tu veux aller quelque part pour manger ? demanda-t-il amèrement.
    — J'en sais rien, comme tu veux.
    Quand un moment fut passé, elle répliqua :
    — Si quelqu'un pouvait mettre une fin à sa vie.
    Lui, restait silencieux.

    Ils restèrent là un peu plus longtemps puis sortirent ; ils commencèrent à avancer dans ces rues où rodaient la solitude, la pauvreté, et l'air doux de la nuit ; on aurait dit qu'une atmosphère s'était créer entre eux deux, une température qui n'avait rien à voir avec le climat de la rue ; ils marchèrent devant quelques pâtés de maisons, jusqu'au quartier central où brûlaient les arcs galvaniques, et entrèrent dans un restaurant.

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  2. — Ça me fout la rage [bof ; « met » à la place de « fous »… pas le registre ici] à chaque fois que tu abordes le sujet d'Ema, dit[vu le ton, on peut peut-être mettre autre chose]-il. Elle ne répondit rien. Lui, il avait envie de continuer de parler. Les femmes devraient se taire [virgule] des fois.
    Elle ne répondit rien ; l'homme à la peau rasée jaunâtre [en inversant ?] salua son ami, marcha [« avança » ? Comme vous voulez] entre les tables et sortit du bar ; le propriétaire leva les yeux vers lui et puis [nécessaire ?] les a[?]baissa.
    — Tu veux aller quelque part pour manger ? demanda-t-il amèrement.
    — J'en sais rien, comme tu veux. Quand un moment fut passé [peu naturel], elle répliqua : Si quelqu'un pouvait mettre une fin [pas très bien dit] à sa vie.
    Lui, [sans la virgule] restait silencieux.
    Ils restèrent [vous venez juste de le mettre] là un peu plus longtemps puis [attention, vous les multiplier… attention aux tics de traduction ; on en a tous, malheureusement, et il faut essayer de s'en débarrasser…] sortirent ; ils commencèrent à avancer [mettez « marcher » ici ; pour le coup, ce sera plus naturel] dans ces rues où rodaient la solitude, la pauvreté, et l'air doux de la nuit ; on aurait dit qu'une atmosphère s'était créer [grammaire] entre eux deux, une température qui n'avait rien à voir avec le climat de la rue [« ville », pour éviter de répéter ?] ; ils marchèrent [« passèrent » ?] devant quelques pâtés de maisons, jusqu'au quartier central [virgule] où brûlaient les arcs galvaniques [syntaxe… verbe ?], et entrèrent dans un restaurant.

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  3. — Ça me met la rage à chaque fois que tu abordes le sujet d'Ema, lui reproche-t-il. Elle ne répondit rien. Lui, il avait envie de continuer de parler. Les femmes devraient se taire, des fois.
    Elle ne répondit rien ; l'homme jaunâtre à la peau rasée salua son ami, avança entre les tables et sortit du bar ; le propriétaire leva les yeux vers lui et les abaissa [quel est le problème ?].
    — Tu veux aller quelque part pour manger ? demanda-t-il amèrement.
    — J'en sais rien, comme tu veux. Au bout d'un moment, elle répliqua : Si quelqu'un pouvait mettre un terme à sa vie.
    Lui demeurait silencieux.
    Ils restèrent là un peu plus longtemps et sortirent ; ils commencèrent à marcher dans ces rues où rodaient la solitude, la pauvreté, et l'air doux de la nuit ; on aurait dit qu'une atmosphère s'était créée entre eux deux, une température qui n'avait rien à voir avec le climat de la ville ; ils passèrent devant quelques pâtés de maisons, jusqu'au quartier central, où les arcs galvaniques brûlaient, et entrèrent dans un restaurant.

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  4. — Ça me met la [« en »] rage à chaque fois que tu abordes le sujet d'Ema, lui reproche-t-il. Elle ne répondit rien. Lui, il avait envie de continuer de parler. Les femmes devraient se taire, des fois.
    Elle ne répondit rien ; l'homme jaunâtre à la peau [« à la peau jaunâtre rasée » ?] rasée salua son ami, avança entre les tables et sortit du bar ; le propriétaire leva les yeux vers lui et les abaissa [quel est le problème ? BAISSER].
    — Tu veux aller quelque part pour manger ? demanda-t-il amèrement.
    — J'en sais rien, comme tu veux. Au bout d'un moment, elle répliqua [« ajouta » ?] : Si quelqu'un pouvait mettre un terme [ou littéral : « donner une fin » ? Car je ne suis pas certaine que ce ne soit pas au sens figurer… genre : inventer l'histoire de la fin…] à sa vie.
    Lui demeurait silencieux.
    Ils restèrent là un peu plus longtemps et sortirent [« partirent » ? Je crois que le bonhomme à la peau jaune est déjà sorti…] ; ils commencèrent à marcher dans ces rues où rodaient la solitude, la pauvreté, et l'air doux de la nuit ; on aurait dit qu'une atmosphère s'était créée entre eux deux, une température qui n'avait rien à voir avec le climat de la ville ; ils passèrent devant quelques pâtés de maisons, jusqu'au quartier central, où les arcs galvaniques brûlaient, et entrèrent dans un restaurant.

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  5. — Ça me met en rage à chaque fois que tu abordes le sujet d'Ema, lui reproche-t-il. Elle ne répondit rien. Lui, il avait envie de continuer de parler. Les femmes devraient se taire, des fois.
    Elle ne répondit rien ; l'homme à la peau jaunâtre rasée salua son ami, avança entre les tables et sortit du bar ; le propriétaire leva les yeux vers lui et les baissa.
    — Tu veux aller quelque part pour manger ? demanda-t-il amèrement.
    — J'en sais rien, comme tu veux. Au bout d'un moment, elle ajouta : Si quelqu'un pouvait donner une fin à sa vie.
    Lui demeurait silencieux.
    Ils restèrent là un peu plus longtemps et partirent ; ils commencèrent à marcher dans ces rues où rodaient la solitude, la pauvreté, et l'air doux de la nuit ; on aurait dit qu'une atmosphère s'était créée entre eux deux, une température qui n'avait rien à voir avec le climat de la ville ; ils passèrent devant quelques pâtés de maisons, jusqu'au quartier central, où les arcs galvaniques brûlaient, et entrèrent dans un restaurant.

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  6. — Ça me met en rage à chaque fois que tu abordes le sujet d'Ema, lui reproche-t-il. Elle ne répondit rien. Lui, il avait envie de continuer de parler. Les femmes devraient se taire, des fois.
    Elle ne répondit rien ; l'homme à la peau jaunâtre rasée salua son ami, avança entre les tables et sortit du bar ; le propriétaire leva les yeux vers lui et les baissa.
    — Tu veux aller quelque part pour manger ? demanda-t-il amèrement.
    — J'en sais rien, comme tu veux. Au bout d'un moment, elle ajouta : Si quelqu'un pouvait donner une fin à sa vie.
    Lui demeurait silencieux.
    Ils restèrent là un peu plus longtemps et partirent ; ils commencèrent à marcher dans ces rues où rodaient la solitude, la pauvreté, et l'air doux de la nuit ; on aurait dit qu'une atmosphère s'était créée entre eux deux, une température qui n'avait rien à voir avec le climat de la ville ; ils passèrent devant quelques pâtés de maisons, jusqu'au quartier central, où les arcs galvaniques brûlaient, et entrèrent dans un restaurant.

    OK.

    Vous pouvez vous occuper de la dernière section – que j'ai déjà mise en ligne.

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