Si se puede emitir una risa mental, el intruso en el cerebro de Zebrel rió. —Serás un gran soldado.
—No quiero ser soldado en ningún bando. Mi fuerza es la soledad —pensó Zebrel.
La voz en la mente no replicó. El enfermero empujó la silla de ruedas y reanudó el avance. Ese pasillo olía mal, a orín y moho. Las luces languidecían, exhaustas.
—¿Me aceptarán de todos modos? —pensó Zebrel.
—Te aceptaremos. Todavía no viste lo peor.
—¿Peor? ¿Qué me puede pasar? Estoy mutilado, a merced de fanáticos y nadie me busca para rescatarme del paraíso y llevarme al infierno.
—Te buscaron, y casi te encontraron —dijo la voz en la mente de Zebrel, enigmática.
El enfermero detuvo la silla de ruedas ante una puerta vaivén. Empujó una de las hojas y entraron a una sala amplia en la que dispuestas en semicírculo, en torno a un hombre y una mujer sentados, había otras seis o siete sillas análogas.
Traduction temporaire :
S’il est possible de rire mentalement, l’intrus dans le cerveau de Zebrel rit.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa le fauteuil roulant et se remit en marche. Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient, éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— Ils t’accepteront. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa le fauteuil devant une porte va-et-vient. Il poussa une des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept fauteuils analogues, disposés en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa le fauteuil roulant et se remit en marche. Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient, éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— Ils t’accepteront. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa le fauteuil devant une porte va-et-vient. Il poussa une des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept fauteuils analogues, disposés en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
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S’il est possible d’émettre un rire mental [ou "rire mentalement ?], l’intrus dans le cerveau de Zebrel rit.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa la chaise roulante et repris le chemin. Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— On t’acceptera. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa la chaise roulante devant une porte va-et-vient. Il poussa l’une des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept chaises analogues disposées en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
S’il est possible d’émettre un rire mental [ou "rire mentalement ?], l’intrus dans le cerveau de Zebrel rit.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa la chaise roulante et repris le chemin. Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— On t’acceptera. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa la chaise roulante devant une porte va-et-vient. Il poussa l’une des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept chaises analogues disposées en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
S’il est possible d’émettre un rire mental [ou "rire mentalement ? OK], l’intrus dans le cerveau de Zebrel rit.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa la chaise [déjà commenté 2 fois] roulante et repris [grammaire] le chemin [mal dit]. Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient [virgule] éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— On t’acceptera [laisse le pluriel ; répétition volontaire]. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa la chaise [idem] roulante devant une porte va-et-vient [ça se dit ? Je ne dis pas que c'est faux, je veux juste confirmation]. Il poussa l’une [grammaire] des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept chaises [idem] analogues [virgule] disposées en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
S’il est possible de rire mentalement, l’intrus dans le cerveau de Zebrel rit.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa le fauteuil roulant et reprit le?? . Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient, éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— Ils t’accepteront. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa le fauteuil devant une porte va-et-vient [ça se dit ? Je ne dis pas que c'est faux, je veux juste confirmation // Oui, je l'ai cherché]. Il poussa une des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept fauteuils analogues, disposés en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
S’il est possible de rire mentalement, l’intrus dans le cerveau de Zebrel rit.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa le fauteuil roulant et reprit le?? [?????]. Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient, éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— Ils t’accepteront. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa le fauteuil devant une porte va-et-vient. Il poussa une des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept fauteuils analogues, disposés en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
S’il est possible de rire mentalement, l’intrus dans le cerveau de Zebrel rit.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa le fauteuil roulant et reprit le trajet. Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient, éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— Ils t’accepteront. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa le fauteuil devant une porte va-et-vient. Il poussa une des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept fauteuils analogues, disposés en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
S’il est possible de rire mentalement, l’intrus dans le cerveau de Zebrel rit.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa le fauteuil roulant et reprit le trajet [mal dit]. Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient, éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— Ils t’accepteront. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa le fauteuil devant une porte va-et-vient. Il poussa une des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept fauteuils analogues, disposés en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
S’il est possible de rire mentalement, l’intrus dans le cerveau de Zebrel rit.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa le fauteuil roulant et reprit son cheminement. Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient, éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— Ils t’accepteront. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa le fauteuil devant une porte va-et-vient. Il poussa une des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept fauteuils analogues, disposés en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
S’il est possible de rire mentalement, l’intrus dans le cerveau de Zebrel rit.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa le fauteuil roulant et reprit son cheminement [pas naturel]. Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient, éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— Ils t’accepteront. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa le fauteuil devant une porte va-et-vient. Il poussa une des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept fauteuils analogues, disposés en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
S’il est possible de rire mentalement, l’intrus dans le cerveau de Zebrel rit.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa le fauteuil roulant et avança à nouveau. Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient, éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— Ils t’accepteront. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa le fauteuil devant une porte va-et-vient. Il poussa une des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept fauteuils analogues, disposés en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
S’il est possible de rire mentalement, l’intrus dans le cerveau de Zebrel rit.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa le fauteuil roulant et avança à nouveau [« se remit en marche »]. Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient, éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— Ils t’accepteront. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa le fauteuil devant une porte va-et-vient. Il poussa une des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept fauteuils analogues, disposés en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
Merci.
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S’il est possible de rire mentalement, l’intrus dans le cerveau de Zebrel rit.
— Tu seras un grand soldat.
— Je ne veux pas être un soldat, dans aucun camp. Ma force, c’est la solitude, pensa Zebrel.
La voix dans sa tête ne répliqua pas. L’infirmier poussa le fauteuil roulant et se remit en marche. Ce couloir sentait mauvais : l’urine et le moisi. Les lampes languissaient, éreintées.
— Est-ce qu’ils m’accepteront, de toute façon ? se demanda Zebrel
— Ils t’accepteront. Tu n’as pas encore vu le pire.
— Le pire ? Que peut-il encore m’arriver ? Je suis mutilé, à la merci de fanatiques et personne ne me cherche pour me sauver du paradis et m’emmener en enfer.
— On t’a cherché, et on t’a presque trouvé, lui confia la voix dans sa tête, énigmatique.
L’infirmier immobilisa le fauteuil devant une porte va-et-vient. Il poussa une des battantes et ils entrèrent dans une grande salle où se trouvaient six ou sept fauteuils analogues, disposés en demi-cercle autour d’un homme et d’une femme assis.
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