«Dice la homeópata que hay que tomar tragos gordos cuando está uno nervioso». Glup, glup, glup. Deja el traste vacío sobre la mesa y quiere volver a la cama. En eso ve por el rabillo del ojo una mancha oscura en el estante superior de la alacena. «¡Ahí estás! Ahora ya no te salvas, mi reina». Toma un periódico publicitario y lo enrolla despacio para no inquietar a la cabrona. Acto seguido: la masacra a periodicazos. Uno, dos, tres. Irene se siente satisfecha y para. Nota que la masacre no fue lo que esperaba: la dañada no es la cucaracha, sino un trozo de tela. Sintiéndose la mujer más imbécil del orbe, vuelve su camino para llegar de nuevo a la cama. «A ver si me duermo un ratito». Ni siquiera pisa el primer escalón; se queda viendo a través de la ventana de la sala el amanecer, esa explosión sublime de tonos anaranjados, rosáceos y amarillos. Luego, ¡ah!, viene el azul. «Allá ese cielo tan bonito y yo acá tan jodida».
Traduction temporaire :
« L'homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
Elle pose le verre vide sur la table et veut regagner son lit. A cet instant, elle voit du coin de l’œil une tache sombre sur l’étagère du haut du garde-manger. « Te voilà ! Maintenant tu n’y échapperas pas, mon cher ! » Elle prend un prospectus et le plie lentement pour ne pas inquiéter le petit salaud. Juste après : elle le massacre à coups de prospectus. Un, deux, trois. Irene se sent mieux et s'interrompt ». Elle se rend compte que le massacre n'est pas ce à quoi elle s'attendait : le blessé n’est pas le cafard, mais un bout de tissu. S'estimant la femme la plus imbécile du monde, elle repart en direction de son lit. « Voyons voir si je réussis à dormir un peu ». Elle ne touche même pas la première marche ; elle s'arrête pour regarder à travers la fenêtre du salon le lever de soleil, cette explosion sublime de tons orangés, rosés et jaunes. Puis, ah !, vient le bleu. « Là-bas, ce ciel si joli et moi, ici, si foutue. »
« L'homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
Elle pose le verre vide sur la table et veut regagner son lit. A cet instant, elle voit du coin de l’œil une tache sombre sur l’étagère du haut du garde-manger. « Te voilà ! Maintenant tu n’y échapperas pas, mon cher ! » Elle prend un prospectus et le plie lentement pour ne pas inquiéter le petit salaud. Juste après : elle le massacre à coups de prospectus. Un, deux, trois. Irene se sent mieux et s'interrompt ». Elle se rend compte que le massacre n'est pas ce à quoi elle s'attendait : le blessé n’est pas le cafard, mais un bout de tissu. S'estimant la femme la plus imbécile du monde, elle repart en direction de son lit. « Voyons voir si je réussis à dormir un peu ». Elle ne touche même pas la première marche ; elle s'arrête pour regarder à travers la fenêtre du salon le lever de soleil, cette explosion sublime de tons orangés, rosés et jaunes. Puis, ah !, vient le bleu. « Là-bas, ce ciel si joli et moi, ici, si foutue. »
« L’ homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
RépondreSupprimerElle laisse le verre vide sur la table et veut retrouver son lit. En y allant elle voit du coin de l’oeil une tâche obscure sur l’étagère supérieure du garde-manger. « Te voilà! Maintenant tu n’y échapperas plus, mon roi ». Elle prend un journal publicitaire et l’enroule doucement pour ne pas inquiéter le salaud. Deuxième acte: elle le massacre à coups de journal. Un, deux, trois. Irene se sent satisfaite et arrête. Elle remarque que le massacre ne fut pas ce qu’elle espérait: le blessé n’est pas le cafard, mais un bout de tissu. Se sentant la femme la plus imbécile de l’univers, elle reprend son chemin pour rejoindre à nouveau son lit. « Voyons voir si je m’endors un petit moment ». Elle ne touche même pas la première marche; elle s’arrête regarder à travers la fenêtre de la salle le levé de soleil, cette explosion sublime de tons oranges, rosés et jaunes. Puis, ah!, vient le bleu. « Là bas ce ciel si joli et moi ici si merdique. »
« L’[espace en trop] homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
RépondreSupprimerElle laisse [« pose » ?] le verre [c'était bien d'un verre qu'il s'agissait ? Au besoin, vérifiez dans ce qui précède…] vide sur la table et veut retrouver [« regagner » ?] son lit. En y allant [CS] elle voit du coin de l’oe[« œ »]il une tâche [ortho] obscure [mal dit] sur l’étagère supérieure du garde-manger. « Te voilà[espace]! Maintenant tu n’y échapperas plus [naturel ?], mon roi [mal dit] ». Elle prend un journal [on dit comme ça ?] publicitaire et l’enroule [mal dit] doucement pour ne pas inquiéter le [« petit »] salaud. Deuxième acte[espace][CS]:
Faites déjà ça.
elle le massacre à coups de journal. Un, deux, trois. Irene se sent satisfaite et arrête. Elle remarque que le massacre ne fut pas ce qu’elle espérait: le blessé n’est pas le cafard, mais un bout de tissu. Se sentant la femme la plus imbécile de l’univers, elle reprend son chemin pour rejoindre à nouveau son lit. « Voyons voir si je m’endors un petit moment ». Elle ne touche même pas la première marche; elle s’arrête regarder à travers la fenêtre de la salle le levé de soleil, cette explosion sublime de tons oranges, rosés et jaunes. Puis, ah!, vient le bleu. « Là bas ce ciel si joli et moi ici si merdique. »
« L'homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
RépondreSupprimerElle pose le verre [ oui il s'agit bien d'un verre, l'extrait précédent l'indiquait ] vide sur la table et veut regagner son lit. A cet instant elle voit du coin de l’œil une tache sombre sur l’étagère supérieure du garde-manger. « Te voilà ! Maintenant tu n’y échapperas pas (je trouve ça assez naturel je me trompe peut-être..), mon cher ». Elle prend un catalogue et l’enroule lentement pour ne pas inquiéter le petit salaud. Acte suivant :
C'est correct ?
RépondreSupprimer« L'homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
RépondreSupprimerElle pose le verre vide sur la table et veut regagner son lit. A cet instant [virgule parce que vous ne commencez pas par le sujet] elle voit du coin de l’œil une tache sombre sur l’étagère supérieure [« du haut » ?] du garde-manger. « Te voilà ! Maintenant tu n’y échapperas pas, mon cher [point d'exclamation ?] ». Elle prend un catalogue [non] et l’enroule [non] lentement pour ne pas inquiéter le petit salaud. Acte suivant [dico] :
« L'homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
RépondreSupprimerElle pose le verre vide sur la table et veut regagner son lit. A cet instant, elle voit du coin de l’œil une tache sombre sur l’étagère du haut du garde-manger. « Te voilà ! Maintenant tu n’y échapperas pas, mon cher !». Elle prend un prospectus et le plie lentement pour ne pas inquiéter le petit salaud. Juste après :
« L'homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
RépondreSupprimerElle pose le verre vide sur la table et veut regagner son lit. A cet instant, elle voit du coin de l’œil une tache sombre sur l’étagère du haut du garde-manger. « Te voilà ! Maintenant tu n’y échapperas pas, mon cher ![espace]». [pas de point puisque vous avez déjà le !] Elle prend un prospectus et le plie lentement pour ne pas inquiéter le petit salaud. Juste après :
OK… vous corrigez les petites scories qui restent encore et vous pouvez ajouter la suite.
« L'homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
RépondreSupprimerElle pose le verre vide sur la table et veut regagner son lit. A cet instant, elle voit du coin de l’œil une tache sombre sur l’étagère du haut du garde-manger. « Te voilà ! Maintenant tu n’y échapperas pas, mon cher ! » Elle prend un prospectus et le plie lentement pour ne pas inquiéter le petit salaud. Juste après : elle le massacre à coups de prospectus. Un, deux, trois. Irene se sent satisfaite et arrête. Elle remarque que le massacre ne fut pas ce qu’elle espérait : le blessé n’est pas le cafard, mais un bout de tissu. Se sentant la femme la plus imbécile de l’univers, elle reprend son chemin pour regagner à nouveau son lit. « Voyons voir si je m’endors un petit moment ». Elle ne touche même pas la première marche; elle s'arrête regarder à travers la fenêtre de la salle le levé de soleil, cette explosion sublime de tons oranges, rosés et jaunes. Puis, ah!, vient le bleu. « Là bas ce ciel si joli et moi ici si merdique. »
« L'homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
RépondreSupprimerElle pose le verre vide sur la table et veut regagner son lit. A cet instant, elle voit du coin de l’œil une tache sombre sur l’étagère du haut du garde-manger. « Te voilà ! Maintenant tu n’y échapperas pas, mon cher ! » Elle prend un prospectus et le plie lentement pour ne pas inquiéter le petit salaud.
Acto seguido: la masacra a periodicazos. Uno, dos, tres. Irene se siente satisfecha y para. Nota que la masacre no fue lo que esperaba: la dañada no es la cucaracha, sino un trozo de tela. Sintiéndose la mujer más imbécil del orbe, vuelve su camino para llegar de nuevo a la cama. «A ver si me duermo un ratito». Ni siquiera pisa el primer escalón; se queda viendo a través de la ventana de la sala el amanecer, esa explosión sublime de tonos anaranjados, rosáceos y amarillos. Luego, ¡ah!, viene el azul. «Allá ese cielo tan bonito y yo acá tan jodida».
Juste après : elle le massacre à coups de prospectus. Un, deux, trois. Irene se sent satisfaite et arrête [pas très naturel ; changez un peu]. Elle remarque que le massacre ne fut pas ce qu’elle espérait [gros manque de naturel] : le blessé n’est pas le cafard, mais un bout de tissu. Se sentant [vous en avez un juste avant…] la femme la plus imbécile de l’univers [inexact], elle reprend son chemin [manque de naturel] pour regagner à nouveau [redondant] son lit. « Voyons voir si je m’en[nécessaire ?]dors un petit moment [de même, cette phrase manque de naturel] ». Elle ne touche même pas la première marche[ESPACE]; elle s'arrête [vous en avez déjà un] regarder à travers la fenêtre de la salle le levé [ortho] de soleil, cette explosion sublime de tons oranges [inexact], rosés et jaunes. Puis, ah[ESPACE]!, vient le bleu. « Là bas [tiret] [virgule] ce ciel si joli et moi [virgule] ici [virgule] si merdique [FS]. »
Juste après : elle le massacre à coups de prospectus. Un, deux, trois. Irene se sent mieux et cesse. Elle remarque que le massacre n'était pas ce à quoi elle s'attendait : le blessé n’est pas le cafard, mais un bout de tissu. Ayant l'air de la femme la plus imbécile du monde, elle repart en direction de son lit. « Voyons voir si je dors un peu ». Elle ne touche même pas la première marche ; elle s'arrête regarder à travers la fenêtre de la salle le lever de soleil, cette explosion sublime de tons orangés, rosés et jaunes. Puis, ah !, vient le bleu. « Là-bas, ce ciel si joli et moi, ici, si désespérée (triste?). »
RépondreSupprimerRemettez le début. Quand je ferai le copier-coller à la fin, je dois avoir tout… sinon, il manquera un fragment et on sera embêtées au moment de la relecture.
RépondreSupprimerJuste après : elle le massacre à coups de prospectus. Un, deux, trois. Irene se sent mieux et cesse [mal dit]. Elle remarque que [pas mieux avec « se rendre compte »] le massacre n'était [temps… au pire, du présent] pas ce à quoi elle s'attendait : le blessé n’est pas le cafard, mais un bout de tissu. Ayant l'air de [pas le sens] la femme la plus imbécile du monde, elle repart en direction de son lit. « Voyons voir si je dors [avec l'ajout de « réussir » ?] un peu ». Elle ne touche même pas la première marche ; elle s'arrête regarder à travers la fenêtre de la salle [mal dit] le lever de soleil, cette explosion sublime de tons orangés, rosés et jaunes. Puis, ah !, vient le bleu. « Là-bas, ce ciel si joli et moi, ici, si désespérée (triste? NON + registre). »
Juste après : elle le massacre à coups de prospectus. Un, deux, trois. Irene se sent mieux et stoppe. Elle se rend compte que le massacre n'est pas ce à quoi elle s'attendait : le blessé n’est pas le cafard, mais un bout de tissu. S'estimant la femme la plus imbécile du monde, elle repart en direction de son lit. « Voyons voir si je réussi à dormir un peu ». Elle ne touche même pas la première marche ; elle s'arrête regarder à travers la fenêtre du salon le lever de soleil, cette explosion sublime de tons orangés, rosés et jaunes. Puis, ah !, vient le bleu. « Là-bas, ce ciel si joli et moi, ici, si désespérée. »
RépondreSupprimerComme indiqué dans mon commentaire précédent, remettez le début.
RépondreSupprimer« L'homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
RépondreSupprimerElle pose le verre vide sur la table et veut regagner son lit. A cet instant, elle voit du coin de l’œil une tache sombre sur l’étagère du haut du garde-manger. « Te voilà ! Maintenant tu n’y échapperas pas, mon cher ! » Elle prend un prospectus et le plie lentement pour ne pas inquiéter le petit salaud. Juste après : elle le massacre à coups de prospectus. Un, deux, trois. Irene se sent mieux et stoppe. Elle se rend compte que le massacre n'est pas ce à quoi elle s'attendait : le blessé n’est pas le cafard, mais un bout de tissu. S'estimant la femme la plus imbécile du monde, elle repart en direction de son lit. « Voyons voir si je réussi à dormir un peu ». Elle ne touche même pas la première marche ; elle s'arrête regarder à travers la fenêtre du salon le lever de soleil, cette explosion sublime de tons orangés, rosés et jaunes. Puis, ah !, vient le bleu. « Là-bas, ce ciel si joli et moi, ici, si désespérée. »
« L'homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
RépondreSupprimerElle pose le verre vide sur la table et veut regagner son lit. A cet instant, elle voit du coin de l’œil une tache sombre sur l’étagère du haut du garde-manger. « Te voilà ! Maintenant tu n’y échapperas pas, mon cher ! » Elle prend un prospectus et le plie lentement pour ne pas inquiéter le petit salaud. Juste après : elle le massacre à coups de prospectus. Un, deux, trois. Irene se sent mieux et stoppe [« s'interrompt »]. Elle se rend compte que le massacre n'est pas ce à quoi elle s'attendait : le blessé n’est pas le cafard, mais un bout de tissu. S'estimant la femme la plus imbécile du monde, elle repart en direction de son lit. « Voyons voir si je réussi [grammaire] à dormir un peu ». Elle ne touche même pas la première marche ; elle s'arrête regarder [ou : « et / pour regarder » ?] à travers la fenêtre du salon le lever de soleil, cette explosion sublime de tons orangés, rosés et jaunes. Puis, ah !, vient le bleu. « Là-bas, ce ciel si joli et moi, ici, si désespérée [registre]. »
« L'homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
RépondreSupprimerElle pose le verre vide sur la table et veut regagner son lit. A cet instant, elle voit du coin de l’œil une tache sombre sur l’étagère du haut du garde-manger. « Te voilà ! Maintenant tu n’y échapperas pas, mon cher ! » Elle prend un prospectus et le plie lentement pour ne pas inquiéter le petit salaud. Juste après : elle le massacre à coups de prospectus. Un, deux, trois. Irene se sent mieux et s'interrompt ». Elle se rend compte que le massacre n'est pas ce à quoi elle s'attendait : le blessé n’est pas le cafard, mais un bout de tissu. S'estimant la femme la plus imbécile du monde, elle repart en direction de son lit. « Voyons voir si je réussis à dormir un peu ». Elle ne touche même pas la première marche ; elle s'arrête pour regarder à travers la fenêtre du salon le lever de soleil, cette explosion sublime de tons orangés, rosés et jaunes. Puis, ah !, vient le bleu. « Là-bas, ce ciel si joli et moi, ici, si foutue. »
RépondreSupprimer« L'homéopathe dit qu’il faut boire trois grosses gorgées quand on est nerveux ». Glup, glup, glup.
RépondreSupprimerElle pose le verre vide sur la table et veut regagner son lit. A cet instant, elle voit du coin de l’œil une tache sombre sur l’étagère du haut du garde-manger. « Te voilà ! Maintenant tu n’y échapperas pas, mon cher ! » Elle prend un prospectus et le plie lentement pour ne pas inquiéter le petit salaud. Juste après : elle le massacre à coups de prospectus. Un, deux, trois. Irene se sent mieux et s'interrompt ». Elle se rend compte que le massacre n'est pas ce à quoi elle s'attendait : le blessé n’est pas le cafard, mais un bout de tissu. S'estimant la femme la plus imbécile du monde, elle repart en direction de son lit. « Voyons voir si je réussis à dormir un peu ». Elle ne touche même pas la première marche ; elle s'arrête pour regarder à travers la fenêtre du salon le lever de soleil, cette explosion sublime de tons orangés, rosés et jaunes. Puis, ah !, vient le bleu. « Là-bas, ce ciel si joli et moi, ici, si foutue. »
OK.
Audrey ?
Je suis d'accord , désolée pour la réponse tardive .
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