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lundi 5 septembre 2016

Projet Justine / Elena – texte 42

El enamorado

“No le importaba su palidez enfermiza, ni su frialdad, ni su personalidad cambiante; la amaba, y Ángel siempre lo admitió”, es lo que afirman en el pueblo maravillados ante el prodigio que se repite.
Yo sólo afirmo lo que veo: cuando la noche está nublada, la escasa luz que se difumina a alrededor de la luna revela la silueta de un hombre alado junto a ella.

Traduction temporaire :

L'amoureux

« Ni sa pâleur maladive, ni sa froideur, ni sa personnalité changeante ne le dérangeaient ; il l'aimait, et ça, Ángel l'a toujours admis » – voilà ce que les gens affirment au village, émerveillés devant le prodige qui se répète.
Moi, je ne fais qu'affirmer ce que je vois : quand la nuit est nuageuse, la faible lumière qui décroît autour de la lune révèle la silhouette d'un homme ailé, à côté d'elle.

7 commentaires:

  1. L'amoureux

    « Ni sa pâleur maladive, ni sa froideur, ni sa personnalité changeante ne le dérangeait ; il l'aimait, et ça, Ángel l'a toujours admis », voilà ce qu'on affirme au village, émerveillés devant le prodige qui se répète.
    Moi, en revanche, je ne fais qu'affirmer ce que je vois : quand la nuit est nuageuse, la faible lumière qui décroît autour de la lune révèle la silhouette d'un homme ailé, à côté d'elle.

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  2. L'amoureux

    « Ni sa pâleur maladive, ni sa froideur, ni sa personnalité changeante ne le dérangeait [pluriel] ; il l'aimait, et ça, Ángel l'a toujours admis », [tiret à la place de la virgule ?] voilà ce qu'on affirme au village, émerveillés devant le prodige qui se répète.
    Moi, en revanche [?], je ne fais qu'affirmer ce que je vois : quand la nuit est nuageuse, la faible lumière qui décroît autour de la lune révèle la silhouette d'un homme ailé, à côté d'elle.

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  3. L'amoureux

    « Ni sa pâleur maladive, ni sa froideur, ni sa personnalité changeante ne le dérangeaient ; il l'aimait, et ça, Ángel l'a toujours admis » — voilà ce qu'on affirme au village, émerveillés devant le prodige qui se répète.
    Moi, je ne fais qu'affirmer ce que je vois : quand la nuit est nuageuse, la faible lumière qui décroît autour de la lune révèle la silhouette d'un homme ailé, à côté d'elle.

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  4. L'amoureux

    « Ni sa pâleur maladive, ni sa froideur, ni sa personnalité changeante ne le dérangeaient ; il l'aimait, et ça, Ángel l'a toujours admis » – voilà ce qu'on affirme au village, émerveillés devant le prodige qui se répète.
    Moi, je ne fais qu'affirmer ce que je vois : quand la nuit est nuageuse, la faible lumière qui décroît autour de la lune révèle la silhouette d'un homme ailé, à côté d'elle.

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  5. L'amoureux

    « Ni sa pâleur maladive, ni sa froideur, ni sa personnalité changeante ne le dérangeaient ; il l'aimait, et ça, Ángel l'a toujours admis » – voilà ce qu'on [mets « les gens » ; ce sera mieux pour le pluriel que tu as après] affirme au village, émerveillés devant le prodige qui se répète.
    Moi, je ne fais qu'affirmer ce que je vois : quand la nuit est nuageuse, la faible lumière qui décroît autour de la lune révèle la silhouette d'un homme ailé, à côté d'elle.

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  6. L'amoureux

    « Ni sa pâleur maladive, ni sa froideur, ni sa personnalité changeante ne le dérangeaient ; il l'aimait, et ça, Ángel l'a toujours admis » – voilà ce que les gens affirment au village, émerveillés devant le prodige qui se répète.
    Moi, je ne fais qu'affirmer ce que je vois : quand la nuit est nuageuse, la faible lumière qui décroît autour de la lune révèle la silhouette d'un homme ailé, à côté d'elle.

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  7. L'amoureux

    « Ni sa pâleur maladive, ni sa froideur, ni sa personnalité changeante ne le dérangeaient ; il l'aimait, et ça, Ángel l'a toujours admis » – voilà ce que les gens affirment au village, émerveillés devant le prodige qui se répète.
    Moi, je ne fais qu'affirmer ce que je vois : quand la nuit est nuageuse, la faible lumière qui décroît autour de la lune révèle la silhouette d'un homme ailé, à côté d'elle.

    OK.

    Elena ?

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