La oscuridad ahí dejó de estar de nuestro lado, el alumbrado público esta completo y ambas aceras iluminadas del todo. Continuamos por la derecha y cerca a La Breña, el sonido de un camión porta-tropas acercándose por la avenida se volvió a escuchar. Lo reconocí, hasta diría que era el mismo que habíamos sorteado antes. Nos jodimos, dije. No había lugar alguno donde ocultarse. «¡La bandera, la bandera!», gritó Fredy. «Mierda, dijo Rubén. Caballero, nomás, todos al medio». Entonces nos alineamos en el centro de la vía. Como si lo hubiéramos ensayado. Rubén, adelante; Fredy, después; la bandera blanca y yo, al final.
Traduction temporaire :
À ce moment-là, l'obscurité cessa d'occuper notre côté. L'éclairage public est total et les deux trottoirs entièrement illuminés. Nous poursuivîmes par la droite et près de La Breña, nous entendîmes de nouveau le bruit d'un camion de transport de troupes s'approchant par l'avenue. Je le reconnus. J'aurais même pu affirmer qu'il s'agissait de celui que nous avions évité avant. On est foutus, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit où se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. Quelle bande de couillons, tous au milieu ! » Alors, nous nous alignâmes en plein milieu de la chaussée, comme si nous avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
À ce moment-là, l'obscurité cessa d'occuper notre côté. L'éclairage public est total et les deux trottoirs entièrement illuminés. Nous poursuivîmes par la droite et près de La Breña, nous entendîmes de nouveau le bruit d'un camion de transport de troupes s'approchant par l'avenue. Je le reconnus. J'aurais même pu affirmer qu'il s'agissait de celui que nous avions évité avant. On est foutus, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit où se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. Quelle bande de couillons, tous au milieu ! » Alors, nous nous alignâmes en plein milieu de la chaussée, comme si nous avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
L'obscurité cessa d'occuper notre côté : l'éclairage public est complet et les deux trottoirs entièrement illuminés. Nous poursuivîmes par la droite et près de La Breña, le bruit d'un camion de transport de troupes s'approchant par l'avenue s'entendit de nouveau. Je le reconnus, j'aurais même signalé qu'il s'agissait du même que nous avions évité avant. On s'est foirés, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit pour se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. C'est peine perdue, tous au milieu ! ». Alors nous nous alignâmes en plein milieu de la voie. Comme si nous l'avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
RépondreSupprimerL'obscurité cessa [tu ne fais rien du « ahí » ?] d'occuper notre côté : [point, plutôt, non ?] l'éclairage public est complet [?] et les deux trottoirs entièrement illuminés.
RépondreSupprimerNous poursuivîmes par la droite et près de La Breña, le bruit d'un camion de transport de troupes s'approchant par l'avenue s'entendit de nouveau. Je le reconnus, j'aurais même signalé qu'il s'agissait du même que nous avions évité avant. On s'est foirés, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit pour se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. C'est peine perdue, tous au milieu ! ». Alors nous nous alignâmes en plein milieu de la voie. Comme si nous l'avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
Là, l'obscurité cessa d'occuper notre côté. L'éclairage public est intense et les deux trottoirs entièrement illuminés. Nous poursuivîmes par la droite et près de La Breña, le bruit d'un camion de transport de troupes s'approchant par l'avenue s'entendit de nouveau. Je le reconnus, j'aurais même affirmé qu'il s'agissait du même que nous avions évité avant. On s'est foirés, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit pour se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. C'est peine perdue, tous au milieu ! ». Alors nous nous alignâmes en plein milieu de la voie. Comme si nous l'avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
RépondreSupprimerLà, l'obscurité cessa d'occuper notre côté [sûre que c'est le lieu ? Qu'en pense Justine ?]. L'éclairage public est intense [on le dirait ? + sûre du sens ? Justine, ton avis ?] et les deux trottoirs entièrement illuminés.
RépondreSupprimerNous poursuivîmes par la droite et près de La Breña, le bruit d'un camion de transport de troupes s'approchant par l'avenue s'entendit de nouveau. Je le reconnus, j'aurais même affirmé qu'il s'agissait du même que nous avions évité avant. On s'est foirés, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit pour se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. C'est peine perdue, tous au milieu ! ». Alors nous nous alignâmes en plein milieu de la voie. Comme si nous l'avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
Là, l'obscurité cessa d'être de notre côté. L'éclairage public est total et les deux trottoirs entièrement illuminés.
RépondreSupprimerDemandez à Elena.
RépondreSupprimer"à ce moment-là"
RépondreSupprimerMerci, Elena.
RépondreSupprimerMerci encore, Elena
RépondreSupprimerÀ ce moment-là, l'obscurité cessa d'occuper notre côté. L'éclairage public est total et les deux trottoirs entièrement illuminés. Nous poursuivîmes par la droite et près de La Breña, le bruit d'un camion de transport de troupes s'approchant par l'avenue s'entendit de nouveau. Je le reconnus, j'aurais même affirmé qu'il s'agissait du même que nous avions évité avant. On s'est foirés, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit pour se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. C'est peine perdue, tous au milieu ! ». Alors nous nous alignâmes en plein milieu de la voie. Comme si nous l'avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
La oscuridad ahí dejó de estar de nuestro lado, el alumbrado público esta completo y ambas aceras iluminadas del todo. Continuamos por la derecha y cerca a La Breña, el sonido de un camión porta-tropas acercándose por la avenida se volvió a escuchar.
RépondreSupprimerÀ ce moment-là, l'obscurité cessa d'occuper notre côté [ou plus naturel : sortir de l'obscurité ? Comme tu veux…]. L'éclairage public est total et les deux trottoirs entièrement illuminés. Nous poursuivîmes par la droite et près de La Breña, le bruit d'un camion de transport de troupes s'approchant par l'avenue s'entendit de nouveau [mal dit / construit la phrase autrement].
Je le reconnus, j'aurais même affirmé qu'il s'agissait du même que nous avions évité avant. On s'est foirés, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit pour se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. C'est peine perdue, tous au milieu ! ». Alors nous nous alignâmes en plein milieu de la voie. Comme si nous l'avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
La oscuridad ahí dejó de estar de nuestro lado, el alumbrado público esta completo y ambas aceras iluminadas del todo. Continuamos por la derecha y cerca a La Breña, el sonido de un camión porta-tropas acercándose por la avenida se volvió a escuchar.
RépondreSupprimerÀ ce moment-là, l'obscurité cessa d'occuper notre côté [ou plus naturel : sortir de l'obscurité ? Comme tu veux…/je pense qu'on s'écarte de la VO]. L'éclairage public est total et les deux trottoirs entièrement illuminés. Nous poursuivîmes par la droite et près de La Breña, nous entendîmes de nouveau le bruit d'un camion de transport de troupes s'approchant par l'avenue.
À ce moment-là, l'obscurité cessa d'occuper notre côté. L'éclairage public est total [qd même bizarre, non ? Naturel ?] et les deux trottoirs entièrement illuminés. Nous poursuivîmes par la droite et près de La Breña, nous entendîmes de nouveau le bruit d'un camion de transport de troupes s'approchant par l'avenue.
RépondreSupprimerÀ ce moment-là, l'obscurité cessa d'occuper notre côté. L'éclairage public est intégral et les deux trottoirs entièrement illuminés. Nous poursuivîmes par la droite et près de La Breña, nous entendîmes de nouveau le bruit d'un camion de transport de troupes s'approchant par l'avenue.
RépondreSupprimerJe préfère encore « total ».
RépondreSupprimerÀ ce moment-là, l'obscurité cessa d'occuper notre côté. L'éclairage public est total et les deux trottoirs entièrement illuminés. Nous poursuivîmes par la droite et près de La Breña, nous entendîmes de nouveau le bruit d'un camion de transport de troupes s'approchant par l'avenue.
OK.
Tu peux ajouter la suite.
RépondreSupprimerLo reconocí, hasta diría que era el mismo que habíamos sorteado antes. Nos jodimos, dije. No había lugar alguno donde ocultarse. «¡La bandera, la bandera!», gritó Fredy. «Mierda, dijo Rubén. Caballero, nomás, todos al medio». Entonces nos alineamos en el centro de la vía. Como si lo hubiéramos ensayado. Rubén, adelante; Fredy, después; la bandera blanca y yo, al final.
RépondreSupprimerJe le reconnus, j'aurais même affirmé qu'il s'agissait de celui que nous avions évité avant. On s'est foirés, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit pour se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. C'est peine perdue, tous au milieu ! ». Alors, nous nous alignâmes en plein milieu de la voie comme si nous l'avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
Je le reconnus, j'aurais même affirmé [temps ?] qu'il s'agissait de celui que nous avions évité avant. On s'est foirés [clair ?], pestai-je. Il n'y avait aucun endroit pour [« où » ?] se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. C'est peine perdue [FS, je crois / le cas échéant, demande son aide à Elena], tous au milieu ! ». [pas de point puisque tu as le !, qui, pour rappel, est aussi un point ;-))))] Alors, nous nous alignâmes en plein milieu de la voie [« chaussée » ?] [virgule] comme si nous l' [?] avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
RépondreSupprimerJe le reconnus, j'eus même affirmé qu'il s'agissait de celui que nous avions évité avant. Fait chier, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit où se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. On prend sur nous, tous au milieu ! » Alors, nous nous alignâmes en plein milieu de la chaussée, comme si nous avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
RépondreSupprimerJe le reconnus, j'eus même affirmé [en esp., c'est juste un conditionnel… ou sinon : j'aurais même PU affirmer]
RépondreSupprimerTu sais quoi ? Je vais demander à Elena de faire ce texte avec toi… parce qu'il y a des histoires de sens…………
qu'il s'agissait de celui que nous avions évité avant. Fait chier, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit où se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. On prend sur nous, tous au milieu ! » Alors, nous nous alignâmes en plein milieu de la chaussée, comme si nous avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
Pour ce qui est du sens, j'ai deux petites remarques :
RépondreSupprimer- Nos jodimos = on est foutus ?
-Caballero nomás: cierta revivida falta de reacción de la cual uno no se siente satisfecho y que por lo general ya no hay nada que hacer.
Ej.: Debiste sacarla a bailar, ahora la sacó otro. ¡Caballero nomás!
Merci, Elena ?
RépondreSupprimerChloé ?
Merci Elena pour les explications,
RépondreSupprimerje vois aussi "caballero nomás" dans le sens de "apechugar" : faire face, assumer...
Je le reconnus, j'aurais même pu affirmer qu'il s'agissait de celui que nous avions évité avant. On est foutus, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit où se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. Tant pis, tous au milieu ! » Alors, nous nous alignâmes en plein milieu de la chaussée, comme si nous avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
Elena, je te laisse faire une dernière évaluation pour le sens avant de commenter. Est-ce que c'est OK ?
RépondreSupprimerChloé, la traduction que t'ai proposée est celle de l'expression spécifiquement au Pérou.
RépondreSupprimerJe pense que, dans ce contexte, c'est plutôt dans le sens de : "Quels couillons / Quelle bande de couillons".
Chloé ?
RépondreSupprimerOk, merci !
RépondreSupprimerJe le reconnus, j'aurais même pu affirmer qu'il s'agissait de celui que nous avions évité avant. On est foutus, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit où se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. Quels crétins, tous au milieu ! » Alors, nous nous alignâmes en plein milieu de la chaussée, comme si nous avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
Qu'en pensez-vous ? :)
RépondreSupprimerRien :-) À bientôt :P
RépondreSupprimerAh ah ah... j'applaudis ! ;-))
RépondreSupprimerLo reconocí, hasta diría que era el mismo que habíamos sorteado antes. Nos jodimos, dije. No había lugar alguno donde ocultarse. «¡La bandera, la bandera!», gritó Fredy. «Mierda, dijo Rubén. Caballero, nomás, todos al medio». Entonces nos alineamos en el centro de la vía. Como si lo hubiéramos ensayado. Rubén, adelante; Fredy, después; la bandera blanca y yo, al final.
RépondreSupprimerJe le reconnus, [point ?] j'aurais même pu affirmer qu'il s'agissait de celui que nous avions évité avant. On est foutus, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit où se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. Quels crétins [tu es sûre ? J'ai un peu oublié nos débats d'avant, mais bon…], tous au milieu ! » Alors, nous nous alignâmes en plein milieu de la chaussée, comme si nous avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
Lo reconocí, hasta diría que era el mismo que habíamos sorteado antes. Nos jodimos, dije. No había lugar alguno donde ocultarse. «¡La bandera, la bandera!», gritó Fredy. «Mierda, dijo Rubén. Caballero, nomás, todos al medio». Entonces nos alineamos en el centro de la vía. Como si lo hubiéramos ensayado. Rubén, adelante; Fredy, después; la bandera blanca y yo, al final.
RépondreSupprimerJe le reconnus. J'aurais même pu affirmer qu'il s'agissait de celui que nous avions évité avant. On est foutus, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit où se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. Quels crétins [tu es sûre ? J'ai un peu oublié nos débats d'avant, mais bon…/ Ou alors, "quelle bande de couillons", comme proposait Elena], tous au milieu ! » Alors, nous nous alignâmes en plein milieu de la chaussée, comme si nous avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
Lo reconocí, hasta diría que era el mismo que habíamos sorteado antes. Nos jodimos, dije. No había lugar alguno donde ocultarse. «¡La bandera, la bandera!», gritó Fredy. «Mierda, dijo Rubén. Caballero, nomás, todos al medio». Entonces nos alineamos en el centro de la vía. Como si lo hubiéramos ensayado. Rubén, adelante; Fredy, después; la bandera blanca y yo, al final.
RépondreSupprimerJe le reconnus. J'aurais même pu affirmer qu'il s'agissait de celui que nous avions évité avant. On est foutus, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit où se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. Quelle bande de couillons, tous au milieu ! » Alors, nous nous alignâmes en plein milieu de la chaussée, comme si nous avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
Lo reconocí, hasta diría que era el mismo que habíamos sorteado antes. Nos jodimos, dije. No había lugar alguno donde ocultarse. «¡La bandera, la bandera!», gritó Fredy. «Mierda, dijo Rubén. Caballero, nomás, todos al medio». Entonces nos alineamos en el centro de la vía. Como si lo hubiéramos ensayado. Rubén, adelante; Fredy, después; la bandera blanca y yo, al final.
RépondreSupprimerJe le reconnus. J'aurais même pu affirmer qu'il s'agissait de celui que nous avions évité avant. On est foutus, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit où se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. Quelle bande de couillons, tous au milieu ! » Alors, nous nous alignâmes en plein milieu de la chaussée, comme si nous avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
OK.
Justine, tu valides ? Chloé, en attendant, je te mets la suite.
RépondreSupprimerJe le reconnus. J'aurais même pu affirmer qu'il s'agissait de celui que nous avions évité avant. On est foutus, pestai-je. Il n'y avait aucun endroit où se cacher. « Le drapeau, le drapeau ! » cria Fredy. « Merde ! s'exclama Rubén. Quelle bande de couillons, tous au milieu ! » Alors, nous nous alignâmes en plein milieu de la chaussée, comme si nous avions répété. Devant, Rubén ; ensuite, Fredy, le drapeau blanc, et moi, en dernier.
OK.