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mercredi 26 avril 2017

Projet Justine / Elena – texte 100

Samarkanda

La alfombra entra por la ventana, se deposita a sus pies. Ella se arrodilla y la acaricia; el contacto le agrada, trae a su memoria el recuerdo de su yegua favorita, y algo que nunca confesó: para montarla, se quitaba cuatro de sus cinco enaguas. Pero eso fue hace mucho, ahora se contenta deslizando las yemas de sus dedos sobre los hilos de oro de la recién llegada. Observándolos bajo la luz de las velas, descubre que dibujan una palabra: Samarkanda.
—¿Qué significa?
—Es el nombre de una ciudad que no existe —contesta él, hombre de ideas firmes y de manos que todas las noches toman firmemente lo que desean.
Cuando despunta el nuevo día, él, como hace siempre, se va. Ella se queda y procura olvidar ciertos movimientos que se repiten, ciertas torpezas.
Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
—Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

Traduction temporaire :

Samarcande

Le tapis entre par la fenêtre, se pose à ses pieds. Elle s'agenouille et le caresse ; le contact lui est agréable, il lui rappelle sa jument préférée et quelque chose qu'elle n'a jamais avoué : pour la monter, elle enlevait quatre de ses cinq jupons. Mais c'était il y a longtemps. Maintenant, elle se contente de faire glisser le bout de ses doigts sur les fils d'or du nouvel arrivant. En les observant à la lueur des bougies, elle découvre qu'ils dessinent un mot : Samarcande.
— Qu'est-ce que cela signifie ?
— C'est le nom d'une ville qui n'existe pas, répond-il, en homme aux idées arrêtées et dont les mains saisissent fermement ce qu'elles désirent chaque nuit.
Quand point le jour nouveau, il s'en va, à son habitude. Elle, elle reste et tente d'oublier certains mouvements qui se répètent, certaines maladresses. 
Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux, au lieu de s'habiller, elle se déshabille et s'accroupit aussitôt sur le tapis qui s'élève.
— Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être un ordre. C'est en fait une supplique.

46 commentaires:

  1. Samarkanda

    La alfombra entra por la ventana, se deposita a sus pies. Ella se arrodilla y la acaricia; el contacto le agrada, trae a su memoria el recuerdo de su yegua favorita, y algo que nunca confesó: para montarla, se quitaba cuatro de sus cinco enaguas.

    Samarkanda [Je ne sais pas quoi faire pour le titre, on apprend que dans le texte, il s'agit d'une ville qui n'existe pas. Or « Samarkanda » ou « Samarcande » existent bel et bien.]

    Le tapis entre par la fenêtre, se pose à ses pieds. Elle s'agenouille et le caresse ; le contact lui est agréable, il rappelle à sa mémoire le souvenir de sa jument préférée et quelque chose qu'elle n'a jamais avoué : pour la monter, elle enlevait quatre de ses cinq jupons.

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  2. On peut mettre "Samarcande", parce que je pense qu'il lui ment.

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  3. Samarcande
    Le tapis entre par la fenêtre, se pose à ses pieds. Elle s'agenouille et le caresse ; le contact lui est agréable, il rappelle à sa mémoire le souvenir de sa jument préférée et quelque chose qu'elle n'a jamais avoué : pour la monter, elle enlevait quatre de ses cinq jupons.

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  4. Samarcande

    Le tapis entre par la fenêtre, se pose à ses pieds. Elle s'agenouille et le caresse ; le contact lui est agréable, il rappelle à sa mémoire [bof] le souvenir de sa jument préférée et quelque chose qu'elle n'a jamais avoué : pour la monter, elle enlevait quatre de ses cinq jupons.

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  5. Samarcande

    Le tapis entre par la fenêtre, se pose à ses pieds. Elle s'agenouille et le caresse ; le contact lui est agréable, il lui remet en mémoire le souvenir de sa jument préférée et quelque chose qu'elle n'a jamais avoué : pour la monter, elle enlevait quatre de ses cinq jupons.

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  6. Samarcande

    Le tapis entre par la fenêtre, se pose à ses pieds. Elle s'agenouille et le caresse ; le contact lui est agréable, il lui rappelle sa jument préférée et quelque chose qu'elle n'a jamais avoué : pour la monter, elle enlevait quatre de ses cinq jupons.

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  7. Samarcande

    Le tapis entre par la fenêtre, se pose à ses pieds. Elle s'agenouille et le caresse ; le contact lui est agréable, il lui rappelle sa jument préférée et quelque chose qu'elle n'a jamais avoué : pour la monter, elle enlevait quatre de ses cinq jupons.

    OK.

    Elena ?

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  8. Pero eso fue hace mucho, ahora se contenta deslizando las yemas de sus dedos sobre los hilos de oro de la recién llegada. Observándolos bajo la luz de las velas, descubre que dibujan una palabra: Samarkanda.
    —¿Qué significa?

    Mais c'était il y a longtemps, maintenant, elle se contente de faire glisser le bout de ses doigts sur les fils d'or du nouvel arrivant. En les observant à la lueur des bougies, elle découvre qu'ils dessinent un mot : Samarcande.
    — Qu'est-ce que cela signifie ?

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  9. Pero eso fue hace mucho, ahora se contenta deslizando las yemas de sus dedos sobre los hilos de oro de la recién llegada. Observándolos bajo la luz de las velas, descubre que dibujan una palabra: Samarkanda.
    —¿Qué significa?

    Mais c'était il y a longtemps, [point] maintenant, elle se contente de faire glisser le bout de ses doigts sur les fils d'or du nouvel arrivant [féminin en esp. Cela dit, je ne sais plus de quoi ça parle ;-)]. En les observant à la lueur des bougies, elle découvre qu'ils dessinent un mot : Samarcande.
    — Qu'est-ce que cela signifie ?

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  10. Il est question d'un tapis.

    Pero eso fue hace mucho, ahora se contenta deslizando las yemas de sus dedos sobre los hilos de oro de la recién llegada. Observándolos bajo la luz de las velas, descubre que dibujan una palabra: Samarkanda.
    —¿Qué significa?

    Mais c'était il y a longtemps. Maintenant, elle se contente de faire glisser le bout de ses doigts sur les fils d'or du nouvel arrivant. En les observant à la lueur des bougies, elle découvre qu'ils dessinent un mot : Samarcande.
    — Qu'est-ce que cela signifie ?

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  11. Pero eso fue hace mucho, ahora se contenta deslizando las yemas de sus dedos sobre los hilos de oro de la recién llegada. Observándolos bajo la luz de las velas, descubre que dibujan una palabra: Samarkanda.
    —¿Qué significa?

    Mais c'était il y a longtemps. Maintenant, elle se contente de faire glisser le bout de ses doigts sur les fils d'or du nouvel arrivant. En les observant à la lueur des bougies, elle découvre qu'ils dessinent un mot : Samarcande.
    — Qu'est-ce que cela signifie ?

    OK.

    Elena ?

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  12. Oui, je me demande juste si ce "faire" est nécessaire, vous me dites...

    Mais c'était il y a longtemps. Maintenant, elle se contente de glisser le bout de ses doigts sur les fils d'or du nouvel arrivant. En les observant à la lueur des bougies, elle découvre qu'ils dessinent un mot : Samarcande.
    — Qu'est-ce que cela signifie ?

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  13. Mais c'était il y a longtemps. Maintenant, elle se contente de faire glisser le bout de ses doigts sur les fils d'or du nouvel arrivant. En les observant à la lueur des bougies, elle découvre qu'ils dessinent un mot : Samarcande.
    — Qu'est-ce que cela signifie ?

    OK.

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  14. —Es el nombre de una ciudad que no existe —contesta él, hombre de ideas firmes y de manos que todas las noches toman firmemente lo que desean.
    Cuando despunta el nuevo día, él, como hace siempre, se va. Ella se queda y procura olvidar ciertos movimientos que se repiten, ciertas torpezas.

    — C'est le nom d'une ville qui n'existe pas, répond-il en homme aux idées arrêtées et dont, chaque nuit, les mains saisissent fermement ce qu'elles désirent.
    Lorsque le nouveau jour point, à son habitude, il s'en va. Elle, elle reste et tente d'oublier certains mouvements qui se répètent, certaines maladresses.

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  15. —Es el nombre de una ciudad que no existe —contesta él, hombre de ideas firmes y de manos que todas las noches toman firmemente lo que desean.
    Cuando despunta el nuevo día, él, como hace siempre, se va. Ella se queda y procura olvidar ciertos movimientos que se repiten, ciertas torpezas.

    — C'est le nom d'une ville qui n'existe pas, répond-il en homme aux idées arrêtées et dont, chaque nuit [si tu le mets après, ça éviterait l'entre-virgules], les mains saisissent fermement ce qu'elles désirent.
    Lorsque le nouveau jour [dans l'autre sens ? Essaie et vois ce qui est mieux] point, à son habitude, il s'en va. Elle, elle reste et tente d'oublier certains mouvements qui se répètent, certaines maladresses.

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  16. —Es el nombre de una ciudad que no existe —contesta él, hombre de ideas firmes y de manos que todas las noches toman firmemente lo que desean.
    Cuando despunta el nuevo día, él, como hace siempre, se va. Ella se queda y procura olvidar ciertos movimientos que se repiten, ciertas torpezas.

    — C'est le nom d'une ville qui n'existe pas, répond-il en homme aux idées arrêtées et dont les mains saisissent fermement ce qu'elles désirent chaque nuit.
    Quand point le nouveau jour, à son habitude, il s'en va. Elle, elle reste et tente d'oublier certains mouvements qui se répètent, certaines maladresses.

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  17. —Es el nombre de una ciudad que no existe —contesta él, hombre de ideas firmes y de manos que todas las noches toman firmemente lo que desean.
    Cuando despunta el nuevo día, él, como hace siempre, se va. Ella se queda y procura olvidar ciertos movimientos que se repiten, ciertas torpezas.

    — C'est le nom d'une ville qui n'existe pas, répond-il, en homme aux idées arrêtées et dont les mains saisissent fermement ce qu'elles désirent chaque nuit.
    Quand point le nouveau jour, à son habitude [mets-le après pour qu'il n'y ait pas d'ambiguïtés], il s'en va. Elle, elle reste et tente d'oublier certains mouvements qui se répètent, certaines maladresses.

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  18. Mon pb portait sur « nouveau jour ».

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  19. —Es el nombre de una ciudad que no existe —contesta él, hombre de ideas firmes y de manos que todas las noches toman firmemente lo que desean.
    Cuando despunta el nuevo día, él, como hace siempre, se va. Ella se queda y procura olvidar ciertos movimientos que se repiten, ciertas torpezas.

    — C'est le nom d'une ville qui n'existe pas, répond-il, en homme aux idées arrêtées et dont les mains saisissent fermement ce qu'elles désirent chaque nuit.
    Quand point le jour nouveau, il s'en va à son habitude. Elle, elle reste et tente d'oublier certains mouvements qui se répètent, certaines maladresses.

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  20. —Es el nombre de una ciudad que no existe —contesta él, hombre de ideas firmes y de manos que todas las noches toman firmemente lo que desean.
    Cuando despunta el nuevo día, él, como hace siempre, se va. Ella se queda y procura olvidar ciertos movimientos que se repiten, ciertas torpezas.

    — C'est le nom d'une ville qui n'existe pas, répond-il, en homme aux idées arrêtées et dont les mains saisissent fermement ce qu'elles désirent chaque nuit.
    Quand point le jour nouveau, il s'en va [virgule] à son habitude. Elle, elle reste et tente d'oublier certains mouvements qui se répètent, certaines maladresses.

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  21. —Es el nombre de una ciudad que no existe —contesta él, hombre de ideas firmes y de manos que todas las noches toman firmemente lo que desean.
    Cuando despunta el nuevo día, él, como hace siempre, se va. Ella se queda y procura olvidar ciertos movimientos que se repiten, ciertas torpezas.

    — C'est le nom d'une ville qui n'existe pas, répond-il, en homme aux idées arrêtées et dont les mains saisissent fermement ce qu'elles désirent chaque nuit.
    Quand point le jour nouveau, il s'en va, à son habitude. Elle, elle reste et tente d'oublier certains mouvements qui se répètent, certaines maladresses.

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  22. —Es el nombre de una ciudad que no existe —contesta él, hombre de ideas firmes y de manos que todas las noches toman firmemente lo que desean.
    Cuando despunta el nuevo día, él, como hace siempre, se va. Ella se queda y procura olvidar ciertos movimientos que se repiten, ciertas torpezas.

    — C'est le nom d'une ville qui n'existe pas, répond-il, en homme aux idées arrêtées et dont les mains saisissent fermement ce qu'elles désirent chaque nuit.
    Quand point le jour nouveau, il s'en va, à son habitude. Elle, elle reste et tente d'oublier certains mouvements qui se répètent, certaines maladresses.

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  23. —Es el nombre de una ciudad que no existe —contesta él, hombre de ideas firmes y de manos que todas las noches toman firmemente lo que desean.
    Cuando despunta el nuevo día, él, como hace siempre, se va. Ella se queda y procura olvidar ciertos movimientos que se repiten, ciertas torpezas.

    — C'est le nom d'une ville qui n'existe pas, répond-il, en homme aux idées arrêtées et dont les mains saisissent fermement ce qu'elles désirent chaque nuit.
    Quand point le jour nouveau, il s'en va, à son habitude. Elle, elle reste et tente d'oublier certains mouvements qui se répètent, certaines maladresses.

    OK.

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  24. Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux et au lieu de s'habiller, elle se déshabille. Puis, elle est déjà accroupie sur le tapis qui s'élève
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être une ordre. Cependant, c'est une supplique.

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  25. Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux et au lieu de s'habiller, elle se déshabille. Puis, elle est déjà accroupie sur le tapis qui s'élève.
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être une ordre. Cependant, c'est une supplique.

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  26. Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux et au lieu de s'habiller, elle se déshabille. Puis, elle est déjà accroupie [ce début n'est pas terrible] sur le tapis qui s'élève [point]
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être une [?] ordre. Cependant, c'est [fluide par rapport à ce qui précède ?] une supplique.

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  27. Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux et au lieu de s'habiller, elle se déshabille. Avant de s'accroupir sur le tapis qui s'élève.
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être un ordre. C'est en fait une supplique.

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  28. Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux et au lieu de s'habiller, elle se déshabille. Avant de s'accroupir sur le tapis qui s'élève.
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être un ordre. C'est en fait une supplique.

    OK.

    Elena ?

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  29. Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux et au lieu de s'habiller, elle se déshabille. Avant de ["déjà accroupie" ?] s'accroupir sur le tapis qui s'élève.
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être un ordre. C'est en fait une supplique.

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  30. Dans ce cas, reliez les deux phrases et formulez-le mieux.

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  31. Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux et au lieu de s'habiller, elle se déshabille et s'accroupit soudain sur le tapis qui s'élève.
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être un ordre. C'est en fait une supplique.

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  32. Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle est déjà accroupie sur le tapis qui s'élève ; elle ne s'attache pas les cheveux et au lieu de s'habiller, elle se déshabille.
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être un ordre. C'est en fait une supplique.

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  33. Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux et au lieu de s'habiller, elle se déshabille et s'accroupit soudain [« , immédiatement / aussitôt / déjà accroupie » ?] sur le tapis qui s'élève.
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être un ordre. C'est en fait une supplique.

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  34. Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux et au lieu de s'habiller, elle se déshabille et est déjà accroupie sur le tapis qui s'élève.
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être un ordre. C'est en fait une supplique.

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  35. Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux et au lieu de s'habiller, elle se déshabille et [il faut régler le pb des deux « et » / ça rend la phrase lourde et un peu confuse] est déjà accroupie sur le tapis qui s'élève.
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être un ordre. C'est en fait une supplique.

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  36. Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux, au lieu de s'habiller, elle se déshabille et s'accroupit aussitôt sur le tapis qui s'élève.
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être un ordre. C'est en fait une supplique.

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  37. Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux, au lieu de s'habiller, elle se déshabille et s'accroupit aussitôt sur le tapis qui s'élève.
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être un ordre. C'est en fait une supplique.

    OK.

    Elena ?

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  38. Elena a dit...
    OK.

    Pero esta mañana no se ata el pelo y en lugar de ponerse ropa, se la quita, y ya está en cuclillas sobre la alfombra que se eleva.
    —Llevame a Samarkanda. Podría ser una orden. Sin embargo, es una súplica.

    Mais ce matin, elle ne s'attache pas les cheveux, au lieu de s'habiller, elle se déshabille et s'accroupit aussitôt sur le tapis qui s'élève.
    — Emmène-moi à Samarcande. Ce pourrait être un ordre. C'est en fait une supplique.

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