Pages

lundi 15 mai 2017

Projet Basta ! Hélène / Guillaume – texte 1

La pesadilla

ÁNGELA MARÍA RUÍZ GAONA

Las imágenes eran perros que me ladraban feroces. Los gruñidos se asemejaban a aquellas palabras que alguna vez escuché: ¡Bruta! ¡No sirve para nada! Fueron marcas que hoy, después de tantos años, se traducen en puñales oníricos, voces violentas que golpean los días. No creerlas ha sido el reto, no hacerlas mías. No ingresarlas al terreno propio. A pesar del olvido, hago memoria... Creo pesadillas. La violencia de la palabra y sus heridas, que no sangran pero que inevitablemente duelen todavía.

Traduction temporaire :

ÁNGELA MARÍA RUÍZ GAONA

Le cauchemar

Les images étaient des chiens qui m'aboyaient férocement dessus. Leurs grognements ressemblaient à ces mots que j'avais entendus un jour : Grosse brute ! Elle ne sert à rien ! Ces marques se traduisent, aujourd'hui, après tant d'années, par des poignards oniriques, des voix violentes qui accablent mes journées. Ne pas y croire a été un défi, ne pas les faire miennes.  Ne pas les inclure dans mon propre espace. Malgré l'oubli, je fouille dans ma mémoire... Je fabrique des cauchemars.  La violence des mots et ses blessures, qui ne saignent pas, mais continuent inévitablement de faire mal.

44 commentaires:

  1. La pesadilla

    Las imágenes eran perros que me ladraban feroces.

    Le cauchemar

    Les images étaient des chiens féroces qui m'aboyaient dessus.

    RépondreSupprimer
  2. Le volume des microrécits à la traduction desquels vous avez participé est en ligne. Demandez le lien à Hélène.

    ***

    Nom de l'auteure ?

    Le cauchemar

    Les images étaient des chiens féroces qui m'aboyaient dessus.

    RépondreSupprimer
  3. ÁNGELA MARÍA RUÍZ GAONA

    Le cauchemar

    Les images étaient des chiens féroces qui m'aboyaient dessus. Leurs grognements ressemblaient à ces mots que j'avais déjà entendus : Grosse brute ! Elle ne sert à rien !

    RépondreSupprimer
  4. ÁNGELA MARÍA RUÍZ GAONA

    Le cauchemar

    Les images étaient des chiens féroces qui m'aboyaient dessus [pas exactement ce que dit le texte]. Leurs grognements ressemblaient à ces mots que j'avais déjà entendus [ou : « un jour » ?] : Grosse brute ! Elle ne sert à rien !

    RépondreSupprimer
  5. ÁNGELA MARÍA RUÍZ GAONA

    Le cauchemar

    Les images étaient des chiens qui m'aboyaient férocement dessus. Leurs grognements ressemblaient à ces mots que j'avais entendus un jour : Grosse brute ! Elle ne sert à rien !

    RépondreSupprimer
  6. ÁNGELA MARÍA RUÍZ GAONA

    Le cauchemar

    Les images étaient des chiens qui m'aboyaient férocement dessus. Leurs grognements ressemblaient à ces mots que j'avais entendus un jour : Grosse brute ! Elle ne sert à rien !

    OK.

    Guillaume ?

    RépondreSupprimer
  7. ÁNGELA MARÍA RUÍZ GAONA

    Le cauchemar

    Les images étaient des chiens qui m'aboyaient férocement dessus. Leurs grognements ressemblaient à ces mots que j'avais entendus un jour : Grosse brute ! Elle ne sert à rien !

    Ok pour moi !

    RépondreSupprimer
  8. ÁNGELA MARÍA RUÍZ GAONA

    Le cauchemar

    Les images étaient des chiens qui m'aboyaient férocement dessus. Leurs grognements ressemblaient à ces mots que j'avais entendus un jour : Grosse brute ! Elle ne sert à rien !
    Ce sont des marques qui, aujourd'hui, après tant d'années, se traduisent par des poignards oniriques, des voix violentes qui rythment mes journées.

    RépondreSupprimer
  9. J'ai enregistré. Plus besoin de remettre le début. En revanche, laissez l'espagnol du fragment à commenter – ce sera plus simple si nous l'avons sous les yeux :

    Fueron marcas que hoy, después de tantos años, se traducen en puñales oníricos, voces violentas que golpean los días.

    Ce sont [nécessaire ? Je vous laisse juger] des marques qui, aujourd'hui, après tant [ou : « toutes ces » ?] d'années, se traduisent par [« avec » ? J'hésite…] des poignards oniriques, des voix violentes qui rythment [pas ce que dit la V.O. / attention à la réécriture « pour faire joli »] mes journées.

    RépondreSupprimer
  10. Fueron marcas que hoy, después de tantos años, se traducen en puñales oníricos, voces violentas que golpean los días.

    Aujourd'hui, après tant d'années, ces marques se traduisent par [« avec » ? J'hésite… Je pencherais plutôt pour la préposition "par"] des poignards oniriques, des voix violentes qui accablent mes journées.

    RépondreSupprimer
  11. Fueron marcas que hoy, después de tantos años, se traducen en puñales oníricos, voces violentas que golpean los días.

    Aujourd'hui, après tant d'années, ces marques se traduisent par des poignards oniriques, des voix violentes qui accablent mes journées.

    C'est fluide, mais je me demande s'il ne faut pas garder la syntaxe d'origine…

    RépondreSupprimer
  12. Fueron marcas que hoy, después de tantos años, se traducen en puñales oníricos, voces violentas que golpean los días.

    Ces marques se traduisent, aujourd'hui, après tant d'années, par des poignards oniriques, des voix violentes qui accablent mes journées.

    RépondreSupprimer
  13. Ces marques se traduisent, aujourd'hui, après tant d'années, par des poignards oniriques, des voix violentes qui accablent mes journées.

    OK.

    Guillaume ?

    RépondreSupprimer
  14. Fueron marcas que hoy, después de tantos años, se traducen en puñales oníricos, voces violentas que golpean los días.

    Ces marques se traduisent, aujourd'hui, après tant d'années, par des poignards oniriques, des voix violentes qui accablent mes journées.

    Ok !

    RépondreSupprimer
  15. No creerlas ha sido el reto, no hacerlas mías.

    Ne pas y croire a été un défi. Ne pas me les approprier.

    RépondreSupprimer
  16. No creerlas ha sido el reto, no hacerlas mías.

    Ne pas y croire a été [passé composé ? J'hésite / revoyez le texte depuis le début… qui parle + le ton et tranchez] un défi. [pourquoi ne pas laisser la virgule ?] Ne pas me les approprier [littéral / plus fort et surtout moins ambigu].

    RépondreSupprimer
  17. No creerlas ha sido el reto, no hacerlas mías.

    Ne pas y croire a été [passé composé ? J'hésite / revoyez le texte depuis le début… qui parle + le ton et tranchez // Je suis d'accord avec le passé composé : il y a une rupture entre les événements narrés précédemment à l'imparfait et les conséquences encore présentes des insultes] un défi, ne pas les assimiler.

    RépondreSupprimer
  18. No creerlas ha sido el reto, no hacerlas mías.

    Ne pas y croire est un défi, ne pas les faire miens. [Je ne saisis pas vraiment la syntaxe de cette portion du texte. Je serais tenté d'étoffer...]

    RépondreSupprimer
  19. Voici la réponse d'Elena : "no hacerlas mías", je comprends : "ne pas me les approprier". Ne pas les intégrer à mon domaine.

    Je reprends :

    No creerlas ha sido el reto, no hacerlas mías.

    Ne pas y croire est un défi, ne pas les faire miennes [cette structure pourrait fonctionner, à condition de bien l'accorder].

    RépondreSupprimer
  20. No creerlas ha sido el reto, no hacerlas mías.

    Ne pas y croire est [temps] un défi, ne pas les faire miennes.

    RépondreSupprimer
  21. No creerlas ha sido el reto, no hacerlas mías.

    Ne pas y croire a été un défi, ne pas les faire miennes.

    Je suis désolé, ces derniers temps je n'ai pas internet très souvent, mais je l'aurai dans une quinzaine de jours normalement.

    RépondreSupprimer
  22. No creerlas ha sido el reto, no hacerlas mías.

    Ne pas y croire a été un défi, ne pas les faire miennes.

    OK.

    Hélène ?

    RépondreSupprimer
  23. No creerlas ha sido el reto, no hacerlas mías.

    Ne pas y croire a été un défi, ne pas les faire miennes.

    OK.

    RépondreSupprimer
  24. No ingresarlas al terreno propio. A pesar del olvido, hago memoria... Creo pesadillas.

    Ne pas les inclure dans mon propre espace. Malgré l'oubli, je me souviens... Je fabrique des cauchemars.

    RépondreSupprimer
  25. No ingresarlas al terreno propio. A pesar del olvido, hago memoria... Creo pesadillas.

    Ne pas les inclure dans mon propre espace. Malgré l'oubli, je me souviens [pas dans le sens de « fouiller dans sa mémoire » ? Vérifie]... Je fabrique des cauchemars.

    RépondreSupprimer
  26. No ingresarlas al terreno propio. A pesar del olvido, hago memoria... Creo pesadillas.

    Ne pas les inclure dans mon propre espace. Malgré l'oubli, je ressasse les souvenirs... Je fabrique des cauchemars.

    RépondreSupprimer
  27. No ingresarlas al terreno propio. A pesar del olvido, hago memoria... Creo pesadillas.

    Ne pas les inclure dans mon propre espace. Malgré l'oubli, je ressasse les souvenirs [ça se dit ? + est-ce aussi clair qu'en V.O. ?]... Je fabrique des cauchemars.

    RépondreSupprimer
  28. No ingresarlas al terreno propio. A pesar del olvido, hago memoria... Creo pesadillas.

    Ne pas les inclure dans mon propre espace. Malgré l'oubli, je tente de me souvenir... Je fabrique des cauchemars.

    RépondreSupprimer
  29. Ne pas les inclure dans mon propre espace. Malgré l'oubli, je fouille dans ma mémoire... Je fabrique des cauchemars.

    Tu as raison, Caroline. D'après RAE : "esforzarse en recordar algo".

    RépondreSupprimer
  30. No ingresarlas al terreno propio. A pesar del olvido, hago memoria... Creo pesadillas.

    Ne pas les inclure dans mon propre espace. Malgré l'oubli, je tente de me souvenir... Je fabrique des cauchemars.

    Je demande qd même son avis à Elena.

    RépondreSupprimer
  31. Bonjour,
    Oui, c'est dans le sens de "se forcer à"

    RépondreSupprimer
  32. Hélène, je n'avais pas vu ton commentaire… et évidemment, je préfère cette solution ;-)

    Ne pas les inclure dans mon propre espace. Malgré l'oubli, je tente de me souvenir... Je fabrique des cauchemars.

    Guillaume ?

    RépondreSupprimer
  33. No ingresarlas al terreno propio. A pesar del olvido, hago memoria... Creo pesadillas.

    Ne pas les inclure dans mon propre espace. Malgré l'oubli, je tente de me souvenir... Je fabrique des cauchemars.

    RépondreSupprimer
  34. Il fallait remettre avec « je fouille dans mes souvenirs / dans ma mémoire » – cf échange avec Hélène.

    RépondreSupprimer
  35. No ingresarlas al terreno propio. A pesar del olvido, hago memoria... Creo pesadillas.

    Ne pas les inclure dans mon propre espace. Malgré l'oubli, je fouille dans ma mémoire... Je fabrique des cauchemars.

    Oups ! Okay pour moi aussi !

    RépondreSupprimer
  36. No ingresarlas al terreno propio. A pesar del olvido, hago memoria... Creo pesadillas.

    Ne pas les inclure dans mon propre espace. Malgré l'oubli, je fouille dans ma mémoire... Je fabrique des cauchemars.

    Ok. Puisqu'on est d'accord, je poursuis...

    La violencia de la palabra y sus heridas, que no sangran pero que inevitablemente duelen todavía.

    La violence du verbe et ses blessures, qui ne saignent plus mais continuent inévitablement de faire souffrir.

    RépondreSupprimer
  37. J'ai collé la phrase OK dans le post.

    **

    La violencia de la palabra y sus heridas, que no sangran pero que inevitablemente duelen todavía.

    La violence du verbe [« des mots » ? Car là, il faut qu'on le comprenne de manière beaucoup plus immédiate] et ses blessures, qui ne saignent plus [virgule] mais continuent inévitablement de faire souffrir [« faire mal » ?].

    RépondreSupprimer
  38. La violencia de la palabra y sus heridas, que no sangran pero que inevitablemente duelen todavía.

    La violence des mots et ses blessures, qui ne saignent pas, mais continuent inévitablement de faire mal.

    RépondreSupprimer
  39. La violencia de la palabra y sus heridas, que no sangran pero que inevitablemente duelen todavía.

    La violence des mots et ses blessures, qui ne saignent pas, mais continuent inévitablement de faire mal.

    Ok pour moi aussi.

    RépondreSupprimer
  40. La violencia de la palabra y sus heridas, que no sangran pero que inevitablemente duelen todavía.

    La violence des mots et ses blessures, qui ne saignent pas, mais continuent inévitablement de faire mal.

    OK.

    Hélène ?

    RépondreSupprimer
  41. La violencia de la palabra y sus heridas, que no sangran pero que inevitablemente duelen todavía.

    La violence des mots et ses blessures, qui ne saignent pas, mais continuent inévitablement de faire mal.

    OK.

    RépondreSupprimer
  42. Nos commentaires se sont croisés.
    Je vous mets un autre texte.

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.