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samedi 10 juin 2017

Projet Basta ! Nieves – texte 2

Territorio

CAMILA CHARRY NORIEGA

Si hoy murieras, como una equivocada flecha sobre la carne herida, hoy, bajo el cielo morado que se arquea sobre la ciudad de siempre, sería terrible la tarde que palpita en mis ojos, madre. Son tantas las voces que te nombran territorio, el cuerpo amado pero infame que hace tanto rasgó tu deseo y que entonces supiste se sublevaría y esa extraña guerra te dejaría a la sombra de todos los muertos que tendrías que peinar con tus manos, con tu lengua. Era abril cuando bajo un paraguas caminabas la lluvia, ardiendo en tu propia sal, feliz y reciente entre las calles que eran ríos en los que creías ver, clarividente, el mapa de un futuro vivo. Te quedó hambriento el corazón porque llegó el futuro; la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor. Te quedó el grito de las manos y en la sien la estela de los que creyeron reclamar en ti su territorio. Pero aquí en el mundo yo te sé palabra y luz, memoria de todos los huesos erigidos bajo el sol o apagados bajo el mar que sobre sí mismo flota.

Traduction temporaire :

CAMILA CHARRY NORIEGA

Territoire

Si tu mourais aujourd’hui, comme une flèche égarée dans la chair blessée, aujourd’hui, sous le ciel violet qui se voûte sur la ville de toujours, le soir qui palpite dans mes yeux serait terrible, mère. Si nombreuses sont les voix qui te nomment territoire, le corps aimé, mais infâme, qui, il y a longtemps, a déchiré ton désir et qui, tu l’as su, alors, se révolterait ; et cette étrange guerre te laisserait dans l’ombre de tous les morts que tu devrais peigner avec tes mains, avec ta langue.  C’était en avril, quand, sous un parapluie, tu arpentais la pluie, brûlant dans ton propre sel, heureuse et neuve dans les rues qui étaient des rivières, où, clairvoyante, tu croyais voir la carte d’un avenir plein de vie. Ton cœur demeura affamé parce que l’avenir arriva ;  La routine d’une maison d’enfants qui, silencieux et illuminés par les feux follets, s’en allaient parcourir les champs ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour. Il te resta le cri de tes mains et, sur les tempes, la trace de ceux qui crurent exiger, en toi, leur territoire. Mais ici, en ce bas monde, je te sais parole et lumière, mémoire de tous les os érigés sous le soleil ou éteints sous la mer qui flotte sur elle-même.

47 commentaires:

  1. CAMILA CHARRY NORIEGA

    Territoire

    Si hoy murieras, como una equivocada flecha sobre la carne herida, hoy, bajo el cielo morado que se arquea sobre la ciudad de siempre, sería terrible la tarde que palpita en mis ojos, madre.

    Si tu mourais aujourd’hui, comme une flèche égarée dans la chair blessée, aujourd’hui, sous le ciel violet qui se voûte sur la ville de toujours, le soir qui palpite dans mes yeux serait terrible, mère.

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  2. CAMILA CHARRY NORIEGA

    Territoire

    Si hoy murieras, como una equivocada flecha sobre la carne herida, hoy, bajo el cielo morado que se arquea sobre la ciudad de siempre, sería terrible la tarde que palpita en mis ojos, madre.

    Si tu mourais aujourd’hui, comme une flèche égarée [juste un doute / explique-moi ce que tu penses qu'à voulu dire l'auteure]

    dans la chair blessée, aujourd’hui, sous le ciel violet qui se voûte sur la ville de toujours, le soir qui palpite dans mes yeux serait terrible, mère.

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  3. Je n’avais pas vu votre réponse, désolée ! Je l’attendais ! « Si tu mourais aujourd’hui, comme une flèche égarée [juste un doute / explique-moi ce que tu penses qu'a voulu dire l'auteure] » : je crois qu’il s’agit d’une possible morte inattendue et pour cette raison elle parle d’une « flecha equivocada », une flèche qui s’est égarée et qui était attendue ailleurs.

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  4. Je n’avais pas vu votre réponse, désolée ! Je l’attendais !

    En théorie, tu as une option qui te permet d'être prévenue quand j'ai commenté tes commentaires. Si tu ne trouves pas, fais-le-moi savoir.

    ***

    N'oublie pas de remettre nom de l'auteur et titre quand c'est le début du texte. Après, je dois juste avoir à faire le copier-coller dans le post.

    « Si tu mourais aujourd’hui, comme une flèche égarée

    OK. Du coup, tu peux remettre l'ensemble.

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  5. CAMILA CHARRY NORIEGA

    Territoire

    Si tu mourais aujourd’hui, comme une flèche égarée dans la chair blessée, aujourd’hui, sous le ciel violet qui se voûte sur la ville de toujours, le soir qui palpite dans mes yeux serait terrible, mère.

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  6. CAMILA CHARRY NORIEGA

    Territoire

    Si tu mourais aujourd’hui, comme une flèche égarée dans la chair blessée, aujourd’hui, sous le ciel violet qui se voûte sur la ville de toujours, le soir qui palpite dans mes yeux serait terrible, mère.

    OK.

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  7. Son tantas las voces que te nombran territorio, el cuerpo amado pero infame que hace tanto rasgó tu deseo y que entonces supiste se sublevaría y esa extraña guerra te dejaría a la sombra de todos los muertos que tendrías que peinar con tus manos, con tu lengua.

    Il y a tellement de voix qui te nomment territoire, le corps aimé mais infâme qui a déchiré ton désir il y a longtemps et qui, tu l’as su alors, se révolterait, et cette étrange guerre te laisserait à l’ombre de tous les morts que tu devrais peigner avec les mains, avec la langue.

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  8. Son tantas las voces que te nombran territorio, el cuerpo amado pero infame que hace tanto rasgó tu deseo y que entonces supiste se sublevaría y esa extraña guerra te dejaría a la sombra de todos los muertos que tendrías que peinar con tus manos, con tu lengua.

    Il y a tellement de voix [« Si nombreuses sont les voix »] qui te nomment territoire, le corps aimé [virgule devant « mais » en milieu de phrase] mais infâme qui a déchiré ton désir il y a longtemps [laisse la syntaxe comme elle était, mais ajoute des virgules]

    Réglons déjà cela.


    et qui, tu l’as su alors, se révolterait, et cette étrange guerre te laisserait à l’ombre de tous les morts que tu devrais peigner avec les mains, avec la langue.

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  9. Son tantas las voces que te nombran territorio, el cuerpo amado pero infame que hace tanto rasgó tu deseo

    Si nombreuses sont les voix qui te nomment territoire, le corps aimé, mais infâme, qu’il y a longtemps a déchiré ton désir

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  10. Son tantas las voces que te nombran territorio, el cuerpo amado pero infame que hace tanto rasgó tu deseo

    Si nombreuses sont les voix qui te nomment territoire, le corps aimé, mais infâme, qu’il [« qui, »] y a longtemps [virgule] a déchiré ton désir

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  11. Son tantas las voces que te nombran territorio, el cuerpo amado pero infame que hace tanto rasgó tu deseo

    Si nombreuses sont les voix qui te nomment territoire, le corps aimé, mais infâme, qui, il y a longtemps, a déchiré ton désir

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  12. Son tantas las voces que te nombran territorio, el cuerpo amado pero infame que hace tanto rasgó tu deseo

    Si nombreuses sont les voix qui te nomment territoire, le corps aimé, mais infâme, qui, il y a longtemps, a déchiré ton désir

    OK. Comme la phrase n'est pas terminée, je ne colle pas dans le post… Donc, laisse pour ajouter la suite.

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  13. y que entonces supiste se sublevaría y esa extraña guerra te dejaría a la sombra de todos los muertos que tendrías que peinar con tus manos, con tu lengua.

    et qui, tu l’as su alors, se révolterait, et cette étrange guerre te laisserait à l’ombre de tous les morts que tu devrais peigner avec les mains, avec la langue.

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  14. Remets aussi le début traduit de la phrase d'avant.

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  15. Son tantas las voces que te nombran territorio, el cuerpo amado pero infame que hace tanto rasgó tu deseo y que entonces supiste se sublevaría y esa extraña guerra te dejaría a la sombra de todos los muertos que tendrías que peinar con tus manos, con tu lengua.

    Si nombreuses sont les voix qui te nomment territoire, le corps aimé, mais infâme, qui, il y a longtemps, a déchiré ton désir et qui, tu l’as su alors, se révolterait, et cette étrange guerre te laisserait à l’ombre de tous les morts que tu devrais peigner avec les mains, avec la langue.

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  16. Son tantas las voces que te nombran territorio, el cuerpo amado pero infame que hace tanto rasgó tu deseo y que entonces supiste se sublevaría y esa extraña guerra te dejaría a la sombra de todos los muertos que tendrías que peinar con tus manos, con tu lengua.

    Si nombreuses sont les voix qui te nomment territoire, le corps aimé, mais infâme, qui, il y a longtemps, a déchiré ton désir et qui, tu l’as su [virgule] alors, se révolterait, [point-virgule ?] et cette étrange guerre te laisserait à [« dans » ?] l’ombre de tous les morts que tu devrais peigner avec les [je crois qu'il vaut mieux laisser le possessif. Idem pour la suite] mains, avec la langue.

    Veux-tu que je te mette un deuxième texte en parallèle ?

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  17. Son tantas las voces que te nombran territorio, el cuerpo amado pero infame que hace tanto rasgó tu deseo y que entonces supiste se sublevaría y esa extraña guerra te dejaría a la sombra de todos los muertos que tendrías que peinar con tus manos, con tu lengua.

    Si nombreuses sont les voix qui te nomment territoire, le corps aimé, mais infâme, qui, il y a longtemps, a déchiré ton désir et qui, tu l’as su, alors, se révolterait ; et cette étrange guerre te laisserait dans l’ombre de tous les morts que tu devrais peigner avec tes mains, avec ta langue.

    Veux-tu que je te mette un deuxième texte en parallèle ? Parfait!

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  18. Era abril cuando bajo un paraguas caminabas la lluvia, ardiendo en tu propia sal, feliz y reciente entre las calles que eran ríos en los que creías ver, clarividente, el mapa de un futuro vivo.

    C’était en avril quand, sous un parapluie, tu arpentais la pluie, brûlant de ton propre sel, heureuse et fraîche entre les rues qui étaient des rivières où tu croyais voir, clairvoyante, la carte d’un avenir vigoureux.

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  19. Ça y est, je t'ai mis un deuxième texte en parallèle. J'ai effectivement pensé que plus tu t'entraînais, mieux c'était pour toi :-)

    ***

    Era abril cuando bajo un paraguas caminabas la lluvia, ardiendo en tu propia sal, feliz y reciente entre las calles que eran ríos en los que creías ver, clarividente, el mapa de un futuro vivo.

    C’était en avril [virgule] quand, sous un parapluie, tu arpentais la pluie, brûlant de [« dans » ?] ton propre sel, heureuse et fraîche [je pense qu'en français, ça créera une ambiguïté] entre [ah non, alors ça, c'est important que j'explique. En français, entre = au milieu… Exemple : j'ai placé le fauteuil entre le cheminée et le canapé. Là, ce que l'auteur veut dire, c'est « au milieu » / « parmi » / « dans » – je te laisse trancher] les rues qui étaient des rivières où tu croyais voir, clairvoyante [mets-le avant], la carte d’un avenir vigoureux [bof].

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  20. Era abril cuando bajo un paraguas caminabas la lluvia, ardiendo en tu propia sal, feliz y reciente entre las calles que eran ríos en los que creías ver, clarividente, el mapa de un futuro vivo.

    C’était en avril, quand, sous un parapluie, tu arpentais la pluie, brûlant dans ton propre sel, heureuse et récente dans les rues qui étaient des rivières où, clairvoyante, tu croyais voir la carte d’un avenir plein de vie.

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  21. Era abril cuando bajo un paraguas caminabas la lluvia, ardiendo en tu propia sal, feliz y reciente entre las calles que eran ríos en los que creías ver, clarividente, el mapa de un futuro vivo.

    C’était en avril, quand, sous un parapluie, tu arpentais la pluie, brûlant dans ton propre sel, heureuse et récente [« neuve » ?] dans les rues qui étaient des rivières [virgule] où, clairvoyante, tu croyais voir la carte d’un avenir plein de vie.

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  22. Era abril cuando bajo un paraguas caminabas la lluvia, ardiendo en tu propia sal, feliz y reciente entre las calles que eran ríos en los que creías ver, clarividente, el mapa de un futuro vivo.

    C’était en avril, quand, sous un parapluie, tu arpentais la pluie, brûlant dans ton propre sel, heureuse et neuve dans les rues qui étaient des rivières, où, clairvoyante, tu croyais voir la carte d’un avenir plein de vie.

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  23. Era abril cuando bajo un paraguas caminabas la lluvia, ardiendo en tu propia sal, feliz y reciente entre las calles que eran ríos en los que creías ver, clarividente, el mapa de un futuro vivo.

    C’était en avril, quand, sous un parapluie, tu arpentais la pluie, brûlant dans ton propre sel, heureuse et neuve dans les rues qui étaient des rivières, où, clairvoyante, tu croyais voir la carte d’un avenir plein de vie.

    OK.

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  24. Te quedó hambriento el corazón porque llegó el futuro;

    Ton cœur demeura affamé parce que l’avenir arriva ;

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  25. Te quedó hambriento el corazón porque llegó el futuro;

    Ton cœur demeura affamé parce que l’avenir arriva ;

    OK.

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  26. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.
    la routine d’une maison d’enfants qui s’en allaient silencieux parcourir les champs illuminés par les feux follets ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

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  27. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.
    la routine d’une maison d’enfants qui s’en allaient [« la maison d'enfants s'en allant »] silencieux [soit l'adverbe, soit entre virgules] parcourir les champs illuminés [question : que comprends-tu ? Qui / quoi est iluminados ? La ponctuation en dépend] par les feux follets ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

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  28. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.

    la routine d’une maison d’enfants s'en allant, silencieux, parcourir les champs, illuminés [question : que comprends-tu ? Qui / quoi est iluminados ? La ponctuation en dépend// J’avais interprété que les enfants étaient illuminés (leurs esprits) par les feux follet, une métaphore de l’espoir, ils partaient guidés par l’espoir… ] par les feux follets ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

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  29. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.

    la routine d’une maison d’enfants s'en allant, silencieux, parcourir les champs, illuminés [question : que comprends-tu ? Qui / quoi est iluminados ? La ponctuation en dépend// J’avais interprété que les enfants étaient illuminés (leurs esprits) par les feux follet, une métaphore de l’espoir, ils partaient guidés par l’espoir… Alors il faut changer la syntaxe, parce qu'en le mettant là, le lecteur francophone pensera qu'il s'agit des champs] par les feux follets ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

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  30. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.

    la routine d’une maison d’enfants s'en allant silencieux parcourir, illuminés par les feux follets, les champs ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

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  31. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.

    la routine d’une maison d’enfants s'en allant silencieux parcourir [non, là, ça ne colle pas… mets le verbe avant et ça devrait aller], illuminés par les feux follets, les champs ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

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  32. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.

    la routine d’une maison d’enfants s'en allant parcourir silencieux, illuminés par les feux follets, les champs ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

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  33. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.

    la routine d’une maison d’enfants s'en allant parcourir [virgule] silencieux, [« et » ?] illuminés par les feux follets, les champs ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

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  34. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.

    la routine d’une maison d’enfants s'en allant parcourir, silencieux et illuminés par les feux follets, les champs ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

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  35. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.

    la routine d’une maison d’enfants s'en allant parcourir, silencieux et illuminés par les feux follets, les champs [oh zut, ça ne va pas non plus… « les champs » est trop loin… Je te propose : « la routine d'une maison d'enfants qui, silencieux……………, s'en vont parcourir…………… »] ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

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  36. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.

    La routine d’une maison d’enfants qui, silencieux et illuminés par les feux follets, s’en vont (allaient ?) parcourir les champs ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

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  37. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.

    La routine d’une maison d’enfants qui, silencieux et illuminés par les feux follets, s’en vont (allaient ? / oui, oui : « s'en allaient ») parcourir les champs ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

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  38. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.

    La routine d’une maison d’enfants qui, silencieux et illuminés par les feux follets, s’en allaient parcourir les champs ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

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  39. la rutina de una casa de hijos que se iban silenciosos a transitar los campos iluminados por los fuegos fatuos, te quedó la urgencia por urdir con la voz el aire que separaba el sexo del amor.

    La routine d’une maison d’enfants qui, silencieux et illuminés par les feux follets, s’en allaient parcourir les champs ; il te resta l’urgence d’ourdir avec la voix l’air qui séparait le sexe de l’amour.

    OK.

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  40. Te quedó el grito de las manos y en la sien la estela de los que creyeron reclamar en ti su territorio.

    Il te resta le cri de tes mains et, sur les tempes, les traces de ceux qui crurent exiger, en toi, leur territoire.

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  41. Te quedó el grito de las manos y en la sien la estela de los que creyeron reclamar en ti su territorio.

    Il te resta le cri de tes mains et, sur les tempes, les traces [singulier ? Comme tu veux] de ceux qui crurent exiger, en toi, leur territoire.

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  42. Te quedó el grito de las manos y en la sien la estela de los que creyeron reclamar en ti su territorio.

    Il te resta le cri de tes mains et, sur les tempes, la trace de ceux qui crurent exiger, en toi, leur territoire.

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  43. Te quedó el grito de las manos y en la sien la estela de los que creyeron reclamar en ti su territorio.

    Il te resta le cri de tes mains et, sur les tempes, la trace de ceux qui crurent exiger, en toi, leur territoire.

    OK.

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  44. Pero aquí en el mundo yo te sé palabra y luz, memoria de todos los huesos erigidos bajo el sol o apagados bajo el mar que sobre sí mismo flota.

    Mais ici, dans le monde, je te sais parole et lumière, mémoire de tous les os érigés sous le soleil ou éteints sous la mer qui flotte sur elle-même.

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  45. Pero aquí en el mundo yo te sé palabra y luz, memoria de todos los huesos erigidos bajo el sol o apagados bajo el mar que sobre sí mismo flota.

    Mais ici, dans le monde [« en ce bas monde » ?], je te sais parole et lumière, mémoire de tous les os érigés [« dressés » ? Ça dépend un peu du sens que tu donnes à l'esp. J'hésite… Regarde dans les dicos des deux langues] sous le soleil ou éteints sous la mer qui flotte sur elle-même.

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  46. Pero aquí en el mundo yo te sé palabra y luz, memoria de todos los huesos erigidos bajo el sol o apagados bajo el mar que sobre sí mismo flota.

    Mais ici, en ce bas monde, je te sais parole et lumière, mémoire de tous les os érigés [« dressés » ? Ça dépend un peu du sens que tu donnes à l'esp. J'hésite… Regarde dans les dicos des deux langues// DRAE, « erigir » a le sens de fonder, instituer, créer. Dic. Littré, pour « ériger » : a aussi le sens d’instituer, établir et « dresser » : me semble avoir plutôt le sens de « tenir droit » ] sous le soleil ou éteints sous la mer qui flotte sur elle-même.

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  47. Pero aquí en el mundo yo te sé palabra y luz, memoria de todos los huesos erigidos bajo el sol o apagados bajo el mar que sobre sí mismo flota.

    Mais ici, en ce bas monde, je te sais parole et lumière, mémoire de tous les os érigés sous le soleil ou éteints sous la mer qui flotte sur elle-même.

    OK.

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