Pages

jeudi 17 août 2017

Projet Basta ! Nieves – texte 6

ANA TERESA TORRES

¿POR QUÉ?


Con la violencia de género sucede algo similar a la discriminación y persecución de los judíos. Ocurre siempre y en todas partes, y por más análisis que se hagan, siempre queda en la base la pregunta. ¿Por qué? Quizás la respuesta no sea indispensable para combatirla, pero no deja de ser inquietante. Quizás tampoco la pregunta tenga una respuesta simple, y menos aún única, pero yo la sigo buscando. Comparto, pues, dos de mis insuficientes conclusiones. La primera, que en el origen está el hecho de la mayor fortaleza física de los hombres sobre las mujeres, y si comenzaron por usarla en esos términos fueron luego levantando construcciones sociales, religiosas, jurídicas, etc., etc., para justificarla. La segunda, que las sociedades que mejor la combaten son las que han desarrollado el mejor índice de protección por los que tienen menos poder. Y las mujeres seguimos teniendo menos poder.

Traduction temporaire :

ANA TERESA TORRES

Pourquoi ?

La violence de genre a quelque chose de similaire à la discrimination et la persécution des Juifs. Cela arrive toujours et partout, et on a beau faire des analyses, à la base, il reste toujours la question. Pourquoi ? Peut-être la réponse n’est-elle pas indispensable pour la combattre, mais elle ne laisse pas d’être inquiétante. Peut-être la question n’a-t-elle pas une réponse simple non plus, et encore moins unique, mais je la cherche encore. Je partage donc deux de mes insuffisantes conclusions. La première : qu’à l’origine, la résistance physique des hommes est plus grande que celle des femmes, et que s’ils ont commencé par l’utiliser de cette façon-là, plus tard, ils ont bâti des constructions sociales, religieuses, juridiques, etc., etc. pour la justifier. La deuxième : que les sociétés qui la combattent le mieux sont celles qui ont développé le meilleur niveau de protection pour ceux qui ont moins de pouvoir. Et nous les femmes, nous avons de moins en moins de pouvoir.

47 commentaires:

  1. Con la violencia de género sucede algo similar a la discriminación y persecución de los judíos.

    ANA TERESA TORRES

    POURQUOI ?

    Avec la violence de genre, se produit quelque chose de similaire à la discrimination et persécution des juifs.

    RépondreSupprimer
  2. Con la violencia de género sucede algo similar a la discriminación y persecución de los judíos.

    ANA TERESA TORRES

    POURQUOI ? [titre en minuscules]

    Avec la violence de genre, se produit quelque chose de similaire à la discrimination et persécution des juifs [cette phrase manque de naturel ; sans doute à cause de la syntaxe… Essaie autre chose… Ça dépend aussi un peu de ce qui suit].

    RépondreSupprimer
  3. Con la violencia de género sucede algo similar a la discriminación y persecución de los judíos.

    ANA TERESA TORRES

    Pourquoi ?

    Entre la violence de genre et la discrimination et la persécution des juifs, il y a quelque chose de similaire.

    RépondreSupprimer
  4. Con la violencia de género sucede algo similar a la discriminación y persecución de los judíos.

    ANA TERESA TORRES

    Pourquoi ?

    Entre la violence de genre et la discrimination et [ça m'embête, ces deux « et » parce que du coup, je trouve que ça introduit de la confusion ; sinon, la construction est bonne… Vois si tu as une solution] la persécution des juifs [vérifie si on met une majuscule], il y a quelque chose de similaire.

    Et comme tu avances bien, je te mets deux autres textes en même temps – Nini, on ne râle pas !

    RépondreSupprimer
  5. Con la violencia de género sucede algo similar a la discriminación y persecución de los judíos.

    ANA TERESA TORRES

    Pourquoi ?

    La violence de genre a quelque chose de similaire à la discrimination et la persécution des Juifs.

    RépondreSupprimer
  6. Con la violencia de género sucede algo similar a la discriminación y persecución de los judíos.

    ANA TERESA TORRES

    Pourquoi ?

    La violence de genre a quelque chose de similaire à la discrimination et la persécution des Juifs.

    OK.

    RépondreSupprimer
  7. Ocurre siempre y en todas partes, y por más análisis que se hagan, siempre queda en la base la pregunta. ¿Por qué?

    Cela arrive toujours et partout, et on a beau faire des analyses, il reste toujours à la base la question. Pourquoi ?

    RépondreSupprimer
  8. Ocurre siempre y en todas partes, y por más análisis que se hagan, siempre queda en la base la pregunta. ¿Por qué?

    Cela arrive toujours et partout, et on a beau faire des analyses, il reste toujours à la base [mets-le avant] la question. [deux points ?] Pourquoi ?

    RépondreSupprimer
  9. Ocurre siempre y en todas partes, y por más análisis que se hagan, siempre queda en la base la pregunta. ¿Por qué?

    Cela arrive toujours et partout, et on a beau faire des analyses, à la base, il reste toujours la question : pourquoi ?

    RépondreSupprimer
  10. Ocurre siempre y en todas partes, y por más análisis que se hagan, siempre queda en la base la pregunta. ¿Por qué?

    Cela arrive toujours et partout, et on a beau faire des analyses, à la base, il reste toujours la question : pourquoi ?

    OK.

    RépondreSupprimer
  11. Quizás la respuesta no sea indispensable para combatirla, pero no deja de ser inquietante.

    Peut-être la réponse n’est pas indispensable pour la combattre, mais elle ne laisse pas d’être inquiétante.

    RépondreSupprimer
  12. Quizás la respuesta no sea indispensable para combatirla, pero no deja de ser inquietante.

    Peut-être la réponse n’est [« -elle »] pas indispensable pour la combattre, mais elle ne laisse pas d’être inquiétante.

    RépondreSupprimer
  13. Quizás la respuesta no sea indispensable para combatirla, pero no deja de ser inquietante.

    Peut-être la réponse n’est-elle pas indispensable pour la combattre, mais elle ne laisse pas d’être inquiétante.

    RépondreSupprimer
  14. Quizás la respuesta no sea indispensable para combatirla, pero no deja de ser inquietante.

    Peut-être la réponse n’est-elle pas indispensable pour la combattre, mais elle ne laisse pas d’être inquiétante.

    OK.

    RépondreSupprimer
  15. Quizás tampoco la pregunta tenga una respuesta simple, y menos aún única, pero yo la sigo buscando.

    Peut-être la question n’a pas une réponse simple non plus, et encore moins, unique, mais je la cherche encore.

    RépondreSupprimer
  16. Quizás tampoco la pregunta tenga una respuesta simple, y menos aún única, pero yo la sigo buscando.

    Peut-être la question n’a [manque quelque chose ici] pas une réponse simple non plus, et encore moins, [pas la virgule] unique, mais je la cherche encore.

    RépondreSupprimer
  17. Quizás tampoco la pregunta tenga una respuesta simple, y menos aún única, pero yo la sigo buscando.

    Peut-être la question n’a-t-elle pas une réponse simple non plus, et encore moins unique, mais je la cherche encore.

    RépondreSupprimer
  18. Déjame ir. Ten piedad, esta única vez, y vive la vida que deseas, sus rencores, su odio y su violencia, sin mí.

    Laisse-moi partir. Aie pitié de moi, cette unique fois, et vis la vie que tu désires, ses rancœurs, sa haine et sa violence, sans moi.

    RépondreSupprimer
  19. Quizás tampoco la pregunta tenga una respuesta simple, y menos aún única, pero yo la sigo buscando.

    Peut-être la question n’a-t-elle pas une réponse simple non plus, et encore moins unique, mais je la cherche encore.

    OK.

    RépondreSupprimer
  20. Tu as ajouté ça à la fin :

    Déjame ir. Ten piedad, esta única vez, y vive la vida que deseas, sus rencores, su odio y su violencia, sin mí.

    Laisse-moi partir. Aie pitié de moi, cette unique fois, et vis la vie que tu désires, ses rancœurs, sa haine et sa violence, sans moi.

    Manifestement pas le bon texte. je te laisse remettre au bon endroit.

    RépondreSupprimer
  21. Comparto, pues, dos de mis insuficientes conclusiones.

    Je partage, donc, deux de mes insuffisantes conclussions.

    RépondreSupprimer
  22. Comparto, pues, dos de mis insuficientes conclusiones.

    Je partage, donc, [pas besoin des virgules ; ça sera plus fluide] deux de mes insuffisantes concluss[ortho]ions.

    RépondreSupprimer
  23. Comparto, pues, dos de mis insuficientes conclusiones.

    Je partage donc deux de mes insuffisantes conclusions.

    RépondreSupprimer
  24. Comparto, pues, dos de mis insuficientes conclusiones.

    Je partage donc deux de mes insuffisantes conclusions.

    OK.

    RépondreSupprimer
  25. La primera, que en el origen está el hecho de la mayor fortaleza física de los hombres sobre las mujeres, y si comenzaron por usarla en esos términos fueron luego levantando construcciones sociales, religiosas, jurídicas, etc., etc., para justificarla.

    La première, qu’à l’origine il y a le fait de la plus grande résistance physique des hommes sur les femmes, et s’ils ont commencé par l’utiliser dans ces termes, plus tard ils ont bâti des constructions sociales, religieuses, juridiques, etc., etc., pour la justifier.

    RépondreSupprimer
  26. La primera, que en el origen está el hecho de la mayor fortaleza física de los hombres sobre las mujeres, y si comenzaron por usarla en esos términos fueron luego levantando construcciones sociales, religiosas, jurídicas, etc., etc., para justificarla.

    La première, [deux points ?] qu’à l’origine [virgule] il y a le fait de [nécessaire ? J'hésite] la plus grande résistance physique des hommes sur [mal dit] les femmes,

    Faisons déjà cela.

    et s’ils ont commencé par l’utiliser dans ces termes, plus tard ils ont bâti des constructions sociales, religieuses, juridiques, etc., etc., pour la justifier.

    RépondreSupprimer
  27. La primera, que en el origen está el hecho de la mayor fortaleza física de los hombres sobre las mujeres,

    La première : qu’à l’origine, il y a une plus grande résistance physique des hommes par rapport aux femmes,

    RépondreSupprimer
  28. Ce pauvre est tombé dans l'oubli :)

    RépondreSupprimer
  29. La primera, que en el origen está el hecho de la mayor fortaleza física de los hombres sobre las mujeres,

    La première : qu’à l’origine, il y a une plus grande résistance physique des hommes par rapport aux femmes [il y a mieux : que la résistance………… est plus…………… ],

    RépondreSupprimer
  30. La primera, que en el origen está el hecho de la mayor fortaleza física de los hombres sobre las mujeres,

    La première : qu’à l’origine, la résistance physique des hommes est plus grande que celle des femmes,

    RépondreSupprimer
  31. La primera, que en el origen está el hecho de la mayor fortaleza física de los hombres sobre las mujeres,

    La première : qu’à l’origine, la résistance physique des hommes est plus grande que celle des femmes,

    OK.

    Tu continueras, mais en laissant cette partie. Comme la phrase n'est pas terminée, autant attendre d'avoir la suite, pour faire d'une pierre deux coups. Ça m'évitera des manips.

    RépondreSupprimer
  32. La primera, que en el origen está el hecho de la mayor fortaleza física de los hombres sobre las mujeres, y si comenzaron por usarla en esos términos fueron luego levantando construcciones sociales, religiosas, jurídicas, etc., etc., para justificarla.

    La première : qu’à l’origine, la résistance physique des hommes est plus grande que celle des femmes, et s’ils ont commencé par l’utiliser dans ces termes, plus tard, ils ont bâti des constructions sociales, religieuses, juridiques, etc., etc., pour la justifier.

    RépondreSupprimer
  33. La primera, que en el origen está el hecho de la mayor fortaleza física de los hombres sobre las mujeres, y si comenzaron por usarla en esos términos fueron luego levantando construcciones sociales, religiosas, jurídicas, etc., etc., para justificarla.

    La première : qu’à l’origine, la résistance physique des hommes est plus grande que celle des femmes, et s’ils ont commencé par l’utiliser dans ces termes [« de cette façon-là » ?], plus tard, ils ont bâti des constructions sociales, religieuses, juridiques, etc., etc., pour la justifier.

    RépondreSupprimer
  34. La primera, que en el origen está el hecho de la mayor fortaleza física de los hombres sobre las mujeres, y si comenzaron por usarla en esos términos fueron luego levantando construcciones sociales, religiosas, jurídicas, etc., etc., para justificarla.

    La première : qu’à l’origine, la résistance physique des hommes est plus grande que celle des femmes, et s’ils ont commencé par l’utiliser de cette façon-là, plus tard, ils ont bâti des constructions sociales, religieuses, juridiques, etc., etc., pour la justifier.

    RépondreSupprimer
  35. La primera, que en el origen está el hecho de la mayor fortaleza física de los hombres sobre las mujeres, y si comenzaron por usarla en esos términos fueron luego levantando construcciones sociales, religiosas, jurídicas, etc., etc., para justificarla.

    La première : qu’à l’origine, la résistance physique des hommes est plus grande que celle des femmes, et [« que »] s’ils ont commencé par l’utiliser de cette façon-là, plus tard, ils ont bâti des constructions sociales, religieuses, juridiques, etc., etc. pour la justifier.

    RépondreSupprimer
  36. La primera, que en el origen está el hecho de la mayor fortaleza física de los hombres sobre las mujeres,
    La première, qu’à l’origine il y a le fait de la plus grande résistance physique des hommes sur les femmes,

    La première : qu’à l’origine, la résistance physique des hommes est plus grande que celle des femmes, et que s’ils ont commencé par l’utiliser de cette façon-là, plus tard, ils ont bâti des constructions sociales, religieuses, juridiques, etc., etc. pour la justifier

    RépondreSupprimer
  37. La primera, que en el origen está el hecho de la mayor fortaleza física de los hombres sobre las mujeres,
    La première, qu’à l’origine il y a le fait de la plus grande résistance physique des hommes sur les femmes,

    La première : qu’à l’origine, la résistance physique des hommes est plus grande que celle des femmes, et que s’ils ont commencé par l’utiliser de cette façon-là, plus tard, ils ont bâti des constructions sociales, religieuses, juridiques, etc., etc. pour la justifier.

    OK.

    RépondreSupprimer
  38. La segunda, que las sociedades que mejor la combaten son las que han desarrollado el mejor índice de protección por los que tienen menos poder.

    La deuxième : que les sociétés qui la combattent le mieux sont celles qui ont développé le meilleur indice de protection pour ceux qui ont moins de pouvoir.

    RépondreSupprimer
  39. La segunda, que las sociedades que mejor la combaten son las que han desarrollado el mejor índice de protección por los que tienen menos poder.

    La deuxième : que les sociétés qui la combattent le mieux sont celles qui ont développé le meilleur indice de protection [je sais qu'on dit ça pour une crème solaire, mais vérifie quand même dans ce contexte… Je ne dis pas que c'est faux ; juste, je ne sais pas] pour ceux qui ont moins de pouvoir.

    RépondreSupprimer
  40. La segunda, que las sociedades que mejor la combaten son las que han desarrollado el mejor índice de protección por los que tienen menos poder.

    La deuxième : que les sociétés qui la combattent le mieux sont celles qui ont développé le meilleur niveau de protection pour ceux qui ont moins de pouvoir.

    RépondreSupprimer
  41. La segunda, que las sociedades que mejor la combaten son las que han desarrollado el mejor índice de protección por los que tienen menos poder.

    La deuxième : que les sociétés qui la combattent le mieux sont celles qui ont développé le meilleur niveau de protection pour ceux qui ont moins de pouvoir.

    OK.

    RépondreSupprimer
  42. Y las mujeres seguimos teniendo menos poder.

    Et nous les femmes, nous avons encore moins de pouvoir.

    RépondreSupprimer
  43. Y las mujeres seguimos teniendo menos poder.

    Et nous les femmes, nous avons encore moins de pouvoir.

    Je pense qd même que le « seguimos » est important.

    RépondreSupprimer
  44. Y las mujeres seguimos teniendo menos poder.

    Et nous les femmes, nous avons encore moins de pouvoir.
    [Je pense qd même que le « seguimos » est important. Je croyais l’avoir traduit avec encore” :( . Peut-être Et, nous les femmes, nous continuons à avoir moins de pouvoir »]

    RépondreSupprimer
  45. Y las mujeres seguimos teniendo menos poder.

    Et nous les femmes, nous avons encore moins de pouvoir.
    [Je pense qd même que le « seguimos » est important. Je croyais l’avoir traduit avec encore” :( . Peut-être Et, nous les femmes, nous continuons à avoir moins de pouvoir »]

    Ou : nous avons de moins en moins ?

    RépondreSupprimer
  46. Y las mujeres seguimos teniendo menos poder.

    Et nous les femmes, nous avons de moins en moins de pouvoir.

    RépondreSupprimer
  47. Y las mujeres seguimos teniendo menos poder.

    Et nous les femmes, nous avons de moins en moins de pouvoir.

    OK.

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.