Pages

samedi 9 septembre 2017

Projet Basta ! Rachel – texte 6

GRECIA AUGUSTA RODRÍGUEZ


MUJER EN PENA

Las aguas corren por mis venas así destiñó la sangre trago hojas y me alimento de la sal
soy una gaviota ciega creo pasos de mentira en vidas ajenas soy la mentira que urde dolor en el ser defraudo natural y castaño: defraudo y como el silencio soy de poco confiar las dudas se apoderan de mi vientre lo que poseo tizna mi casta y el agua, maldita, lo aclara he vivido entre manchas en mi pelvis duele la muerte del hijo no nacido hoy lloro 

Traduction temporaire :

GRECIA AUGUSTA RODRÍGUEZ

Femme qui souffre

En coulant dans mes veines, les eaux ont fait déteindre mon sang et j'avale des feuilles et me nourris du sel. Je suis une mouette aveugle. Je crée des pas de mensonge dans la vie d'autrui je suis le mensonge qui ourdit la douleur dans l'être naturel et châtain, je déçois : je déçois et, comme le silence, on ne peut me faire confiance le doute s'empare de mon ventre ce que je possède noircit ma caste et l'eau, maudite, le dilue j'ai vécu parmi les tâches dans mon pelvis l'enfant mort-né me fait souffrir aujourd'hui je pleure

35 commentaires:

  1. GRECIA AUGUSTA RODRÍGUEZ

    Femme à la peine

    Las aguas corren por mis venas así destiñó la sangre trago hojas y me alimento de la sal
    soy una gaviota ciega creo pasos de mentira en vidas ajenas

    Les eaux coulent dans mes veines. C'est ainsi que mon sang a déteint. J'avale des feuilles et me nourris du sel. Je suis une mouette aveugle. Je crée des pas de mensonges dans la vie d'autrui

    RépondreSupprimer
  2. GRECIA AUGUSTA RODRÍGUEZ

    Femme à la peine [j'hésite sur l'interprétation]

    Las aguas corren por mis venas así destiñó la sangre trago hojas y me alimento de la sal
    soy una gaviota ciega creo pasos de mentira en vidas ajenas

    Les eaux coulent dans mes veines. C'est [une solution sans « c'est » et sans couper la phrase ?] ainsi que mon sang a déteint.

    Faisons déjà cela.

    J'avale des feuilles et me nourris du sel. Je suis une mouette aveugle. Je crée des pas de mensonges dans la vie d'autrui

    RépondreSupprimer
  3. GRECIA AUGUSTA RODRÍGUEZ

    Femme qui souffre

    Las aguas corren por mis venas así destiñó la sangre

    Les eaux coulent dans mes veines, déteignant mon sang

    RépondreSupprimer
  4. GRECIA AUGUSTA RODRÍGUEZ

    Femme qui souffre

    Las aguas corren por mis venas así destiñó la sangre

    Les eaux coulent dans mes veines, déteignant mon sang [ou avec une construction du genre : en coulant dans mes veines………… ?]

    RépondreSupprimer
  5. GRECIA AUGUSTA RODRÍGUEZ

    Femme qui souffre

    Las aguas corren por mis venas así destiñó la sangre

    En coulant dans mes veines, les eaux déteignent mon sang

    RépondreSupprimer
  6. GRECIA AUGUSTA RODRÍGUEZ

    Femme qui souffre

    Las aguas corren por mis venas así destiñó la sangre

    En coulant dans mes veines, les eaux ont déteint mon sang

    RépondreSupprimer
  7. GRECIA AUGUSTA RODRÍGUEZ

    Femme qui souffre

    Las aguas corren por mis venas así destiñó la sangre

    En coulant dans mes veines, les eaux ont déteint [au fait, j'ai un doute : ont déteint / ou fait déteindre ?] mon sang

    RépondreSupprimer
  8. GRECIA AUGUSTA RODRÍGUEZ

    Femme qui souffre

    Las aguas corren por mis venas así destiñó la sangre

    En coulant dans mes veines, les eaux ont fait déteindre mon sang

    RépondreSupprimer
  9. GRECIA AUGUSTA RODRÍGUEZ

    Femme qui souffre

    Las aguas corren por mis venas así destiñó la sangre

    En coulant dans mes veines, les eaux ont fait déteindre mon sang

    OK.

    RépondreSupprimer
  10. trago hojas y me alimento de la sal soy una gaviota ciega creo pasos de mentira en vidas ajenas

    J'avale des feuilles et me nourris du sel. Je suis une mouette aveugle. Je crée des pas de mensonge dans la vie d'autrui

    RépondreSupprimer
  11. trago hojas y me alimento de la sal soy una gaviota ciega creo pasos de mentira en vidas ajenas

    J'avale des feuilles et me nourris du sel. Je suis une mouette aveugle. Je crée des pas de mensonge dans la vie d'autrui

    OK.

    Je me demande juste si on a raison d'ajouter ces points. Tu y réfléchis et éventuellement, quand le texte sera terminé, tu reliras et tu me diras si on laisse ou si on supprime. Pour l'heure, je colle.

    RépondreSupprimer
  12. soy la mentira que urde dolor en el ser defraudo natural y castaño: defraudo y como el silencio soy de poco confiar

    Je suis le mensonge qui ourdit la douleur dans l'être. Je déçois naturel et marron : je déçois et, comme le silence, on ne peut me faire confiance

    RépondreSupprimer
  13. soy la mentira que urde dolor en el ser defraudo natural y castaño: defraudo y como el silencio soy de poco confiar

    Je suis le mensonge qui ourdit la douleur dans l'être. Je déçois naturel et marron : je déçois et, comme le silence, on ne peut me faire confiance

    Je vais qd même demander à Elena te jeter un œil à ce texte…

    RépondreSupprimer
  14. MUJER EN PENA

    Las aguas corren por mis venas así destiñó la sangre trago hojas y me alimento de la sal soy una gaviota ciega creo pasos de mentira en vidas ajenas soy la mentira que urde dolor en el ser defraudo natural y castaño: defraudo y como el silencio soy de poco confiar las dudas se apoderan de mi vientre lo que poseo tizna mi casta y el agua, maldita, lo aclara he vivido entre manchas en mi pelvis duele la muerte del hijo no nacido hoy lloro
    Traduction temporaire :

    [Femme malheureuse ?]

    En coulant dans mes veines, les eaux ont fait déteindre mon sang. J'avale des feuilles et me nourris du sel. Je suis une mouette aveugle. Je crée des pas de mensonge ["pour de faux" ?] dans la vie d'autrui, je suis le mensonge qui ourdit la douleur dans l'être naturel et châtain, je déçois : je déçois et, comme le silence, on ne peut me faire confiance

    *** Ce texte est très poétique, je ne sais pas si en français, ça peut fonctionner sans la ponctuation. À vous de voir.
    J'ai mis quelques suggestions.

    RépondreSupprimer
  15. Merci Elena.
    Je suis un peu hermétique à ce texte je l'avoue.
    Je ne sais pas si "natural y castaño" qualifie "el ser" ou "el dolor". Avec "castaño" la version d'Elena me paraît plus correcte.

    RépondreSupprimer
  16. soy la mentira que urde dolor en el ser defraudo natural y castaño: defraudo y como el silencio soy de poco confiar

    je suis le mensonge qui ourdit la douleur dans l'être naturel et châtain, je déçois : je déçois et, comme le silence, on ne peut me faire confiance

    RépondreSupprimer
  17. soy la mentira que urde dolor en el ser defraudo natural y castaño: defraudo y como el silencio soy de poco confiar

    je suis le mensonge qui ourdit la douleur dans l'être naturel et châtain, je déçois : je déçois et, comme le silence, on ne peut me faire confiance

    OK.

    RépondreSupprimer
  18. las dudas se apoderan de mi vientre lo que poseo tizna mi casta y el agua, maldita, lo aclara he vivido entre manchas en mi pelvis duele la muerte del hijo no nacido hoy lloro

    Le doute s'empare de mon ventre. Ce que je possède salit ma lignée et l'eau, maudite soit-elle, le dilue. J'ai vécu parmi les tâches. Dans mon pelvis, l'enfant mort-né, me fait souffrir. Aujourd'hui je pleure.

    RépondreSupprimer
  19. Je ne sais plus si tu m'as dit que tu venais le 27 à la journée Hors blog.

    ***

    las dudas se apoderan de mi vientre lo que poseo tizna mi casta y el agua, maldita, lo aclara he vivido entre manchas en mi pelvis duele la muerte del hijo no nacido hoy lloro

    Le doute s'empare de mon ventre. Ce [laisse l'absence de ponctuation comme en V.O. On va calquer] que je possède salit ma lignée et l'eau, maudite soit-elle, le dilue. J'ai vécu parmi les tâches. Dans mon pelvis, l'enfant mort-né, me fait souffrir. Aujourd'hui je pleure.

    RépondreSupprimer
  20. las dudas se apoderan de mi vientre lo que poseo tizna mi casta y el agua, maldita, lo aclara he vivido entre manchas en mi pelvis duele la muerte del hijo no nacido hoy lloro

    le doute s'empare de mon ventre ce que je possède salit ma lignée et l'eau, maudite soit-elle, le dilue j'ai vécu parmi les tâches dans mon pelvis, l'enfant mort-né, me fait souffrir aujourd'hui je pleure.

    RépondreSupprimer
  21. Super. On sera contente de te voir. Tu as toutes les infos – horaires et salle ?

    **

    las dudas se apoderan de mi vientre lo que poseo tizna mi casta y el agua, maldita, lo aclara he vivido entre manchas en mi pelvis duele la muerte del hijo no nacido hoy lloro

    le doute s'empare de mon ventre ce que je possède salit [littéral ?] ma lignée [est-ce le sens ? Je ne dis pas que c'est faux, j'hésite…] et l'eau, maudite soit-elle [est-ce que ce que dit la V.O. ? Besoin que je demande son avis à Elena ?], le [?] dilue j'ai vécu parmi les tâches dans mon pelvis, l'enfant mort-né, [les virgules ?] me fait souffrir aujourd'hui je pleure.

    RépondreSupprimer
  22. le doute s'empare de mon ventre ce que je possède noircit ma caste et l'eau, maudite, la dilue j'ai vécu parmi les tâches dans mon pelvis l'enfant mort-né me fait souffrir aujourd'hui je pleure.

    RépondreSupprimer
  23. le doute s'empare de mon ventre ce que je possède noircit ma caste et l'eau, maudite, la dilue j'ai vécu parmi les tâches dans mon pelvis l'enfant mort-né me fait souffrir aujourd'hui je pleure.

    Je demande à Elena de nous dire si elle pense qu'on est OK pour le sens.

    RépondreSupprimer
  24. Bonjour,
    Juste un petit CS : "lO aclara", ce "lo" est l'anaphore de "ce que je possède"

    RépondreSupprimer
  25. Merci Elena! Petite question du coup: est-ce que le sujet de "tizna" est bien "lo que poseo" ou alors est-ce "mi casta" --> Mi casta tizna lo que poseo ¿¿¿ ???

    le doute s'empare de mon ventre ma caste noircit ce que je possède et l'eau, maudite, le dilue j'ai vécu parmi les tâches dans mon pelvis l'enfant mort-né me fait souffrir aujourd'hui je pleure.

    RépondreSupprimer
  26. Ta première version était bien, Rachel :

    las dudas se apoderan de mi vientre, lo que poseo tizna mi casta y el agua, maldita, lo aclara, he vivido entre manchas en mi pelvis, duele la muerte del hijo no nacido, hoy lloro
    le doute s'empare de mon ventre ce que je possède noircit ma caste et l'eau, maudite, le dilue j'ai vécu parmi les tâches dans mon pelvis l'enfant mort-né me fait souffrir aujourd'hui je pleure

    RépondreSupprimer
  27. le doute s'empare de mon ventre ce que je possède noircit ma caste et l'eau, maudite, le dilue j'ai vécu parmi les tâches dans mon pelvis l'enfant mort-né me fait souffrir aujourd'hui je pleure

    RépondreSupprimer
  28. le doute s'empare de mon ventre ce que je possède noircit ma caste et l'eau, maudite, le dilue j'ai vécu parmi les tâches dans mon pelvis l'enfant mort-né me fait souffrir aujourd'hui je pleure

    OK.

    RépondreSupprimer
  29. Merci, Elena.

    Rachel, je t'ai posté un texte 7.

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.