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lundi 6 novembre 2017

Projet Justine / Elena – texte 143

Perder un combate

Su cuerpo lo ha decidido; la mente, atontada por años de malos tratos, jamás se hubiese rebelado.  La capa de tierra e inmundicia de cerdo que lo cubre confunde el rastro, los perros que han puesto tras su huella no logran darle alcance. Desfalleciendo y volviéndose a levantar, tras huir toda la jornada, el fugitivo llega al bosque. Sabe que sólo cambia de enemigos, que en lugar de perseguirlo los esbirros del caballero que es su señor, lo harán los guardias reales. Sabe que tanto unos como otros podrían matarlo sin rendir cuentas. Un labriego atado de por vida a la servidumbre del vasallaje en una tierra yerma, no necesita la mente para saber ciertas cosas.  Tirado sobre la broza tiembla de cansancio, frío, hambre y miedo, cuando, apoyada contra el roble que está frente a él, de pronto ve una espada. Pese a que la oscuridad de la noche es casi perfecta, el hierro de la hoja, impecable, desprende un extraño fulgor. Como extraño es el ánimo que, no más verla, ha regresado a su cuerpo.  Se pone de pie y, este siervo cuyas manos sólo han conocido instrumentos de labranza, toma el arma con una gracia, con una elegancia en el gesto, que cualquier guerrero envidiaría. Ya no tiembla, la espada lo alimenta y conforta. Oscuramente intuye que con ella nunca perderá un combate.  Piensa. Su estrategia inmediata es asesinar al primero que pase a caballo. 
—Con poder, todo infeliz es el otro que llevaba guardado —comenta el demonio para sí mismo, entre risas, desde las entrañas del hombre.

Traduction temporaire :

Perdre un combat

Son corps l'a décidé ; son esprit, abruti par des années de mauvais traitements, ne se serait jamais rebellé. La couche de terre et de lisier qui le recouvre brouille la piste, les chiens qu'on a mis sur ses traces n'arrivent pas à le rattraper. Tombant de fatigue et se relevant, le fugitif arrive dans la forêt après avoir passé la journée à fuir. Il sait qu'il change juste d'ennemis, qu'au lieu d'être pourchassé par les sbires du chevalier, son maître, il le sera par les gardes du roi. Il sait que tous autant qu'ils sont, ils pourraient le tuer sans avoir de comptes à rendre. Un agriculteur lié pour la vie à la servitude de la vassalité sur une terre stérile n'a pas besoin d'esprit pour savoir certaines choses. Allongé sur les feuilles mortes, il tremble de fatigue, de froid, de faim et de peur, quand soudain, il voit une épée appuyée contre le chêne devant lui. Malgré l'obscurité presque parfaite de la nuit, le fer de la lame, impeccable, diffuse un éclat lumineux étrange. Aussi étrange que son esprit qui, en l'apercevant, a instantanément réintégré son corps. Il se met debout, et là, ce serf dont les mains n'ont connu que des instruments de labour se saisit de l'arme avec une grâce, une élégance dans le geste que tout guerrier envierait. Il ne tremble plus, l'épée le nourrit et le réconforte. Il a obscurément l'intuition qu'avec elle, il ne perdra jamais un combat. Il réfléchit. Sa stratégie immédiate est d'assassiner le premier cavalier qui passera.
— Avec du pouvoir, n'importe quel malheureux devient celui qui était enfoui à l'intérieur de lui, commente le démon pour lui-même, entre deux éclats de rire, depuis les entrailles de l'homme.

67 commentaires:

  1. Perder un combate
    Su cuerpo lo ha decidido; la mente, atontada por años de malos tratos, jamás se hubiese rebelado.

    Perdre un combat

    Son corps l'a décidé ; son esprit, abruti par des années de mauvais traitements, ne s'était jamais rebellé.

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  2. Perder un combate
    Su cuerpo lo ha decidido; la mente, atontada por años de malos tratos, jamás se hubiese rebelado.

    Perdre un combat

    Son corps l'a décidé ; son esprit, abruti par des années de mauvais traitements, ne s'était jamais rebellé.

    OK.

    Elena ? Chloé ?

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  3. Perdre un combat

    Son corps l'a décidé ; son esprit, abruti par des années de mauvais traitements, ne s'était jamais rebellé [Je pense que traduire un imparfait du subjonctif par un p-q-p ne rend pas très bien l'idée, peut-être : "ne se serait jamais rebellée"?].

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  4. Perdre un combat

    Son corps l'a décidé ; son esprit, abruti par des années de mauvais traitements, ne s'était jamais rebellé [Je pense que traduire un imparfait du subjonctif par un p-q-p ne rend pas très bien l'idée, peut-être : "ne se serait jamais rebellée"?].

    Justine ? Chloé ? Votre avis…

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  5. J'avais hésité…

    Ok, pour :

    Perdre un combat

    Son corps l'a décidé ; son esprit, abruti par des années de mauvais traitements, ne se serait jamais rebellé.

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  6. Perdre un combat

    Son corps l'a décidé ; son esprit, abruti par des années de mauvais traitements, ne se serait jamais rebellé.

    OK.

    Chloé ?

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  7. Perdre un combat

    Son corps l'a décidé ; son esprit, abruti par des années de mauvais traitements, ne se serait jamais rebellé.

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  8. La capa de tierra e inmundicia de cerdo que lo cubre confunde el rastro, los perros que han puesto tras su huella no logran darle alcance.

    La couche de terre et de lisier qui le recouvre brouille la piste, les chiens qu'on a mis sur ses traces n'arrivent pas à le rattraper.

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  9. La capa de tierra e inmundicia de cerdo que lo cubre confunde el rastro, los perros que han puesto tras su huella no logran darle alcance.

    La couche de terre et de lisier qui le recouvre brouille la piste, les chiens qu'on a mis sur ses traces n'arrivent pas à le rattraper.

    OK.

    Chloé ? Elena ?

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  10. La couche de terre et de lisier qui le recouvre brouille la piste, les chiens qu'on a mis sur ses traces n'arrivent pas à le rattraper.

    OK.

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  11. La couche de terre et de lisier qui le recouvre brouille la piste, les chiens qu'on a mis sur ses traces n'arrivent pas à le rattraper.

    Chloé ?

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  12. La couche de terre et de lisier qui le recouvre brouille la piste, les chiens qu'on a mis sur ses traces n'arrivent pas à le rattraper.

    Ok.

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  13. Elena, Justine : Mme B., c'est moi (Chloé). C'est le pseudo sous lequel je posterai mes commentaires désormais

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  14. Desfalleciendo y volviéndose a levantar, tras huir toda la jornada, el fugitivo llega al bosque. Sabe que sólo cambia de enemigos, que en lugar de perseguirlo los esbirros del caballero que es su señor, lo harán los guardias reales.

    Tombant de fatigue et se relevant, après avoir passé la journée à fuir, le fugitif arrive dans la forêt. Il sait qu'il change seulement d'ennemis, qu'au lieu d'être pourchassé par les sbires du chevalier, son maître, il le sera par les gardes du roi.

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  15. Desfalleciendo y volviéndose a levantar, tras huir toda la jornada, el fugitivo llega al bosque. Sabe que sólo cambia de enemigos, que en lugar de perseguirlo los esbirros del caballero que es su señor, lo harán los guardias reales.

    Tombant de fatigue et se relevant, après avoir passé la journée à fuir [placé à la fin ? essaie et vois ce que ça donne], le fugitif arrive dans la forêt. Il sait qu'il change seulement [« juste » ?] d'ennemis, qu'au lieu d'être pourchassé par les sbires du chevalier, son maître, il le sera par les gardes du roi.

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  16. Desfalleciendo y volviéndose a levantar, tras huir toda la jornada, el fugitivo llega al bosque. Sabe que sólo cambia de enemigos, que en lugar de perseguirlo los esbirros del caballero que es su señor, lo harán los guardias reales.

    Tombant de fatigue et se relevant, le fugitif arrive dans la forêt après avoir passé la journée à fuir. Il sait qu'il change juste d'ennemis, qu'au lieu d'être pourchassé par les sbires du chevalier, son maître, il le sera par les gardes du roi.

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  17. Desfalleciendo y volviéndose a levantar, tras huir toda la jornada, el fugitivo llega al bosque. Sabe que sólo cambia de enemigos, que en lugar de perseguirlo los esbirros del caballero que es su señor, lo harán los guardias reales.

    Tombant de fatigue et se relevant, le fugitif arrive dans la forêt après avoir passé la journée à fuir. Il sait qu'il change juste d'ennemis, qu'au lieu d'être pourchassé par les sbires du chevalier, son maître, il le sera par les gardes du roi.

    OK.

    Chloé ? Elena ?

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  18. Tombant de fatigue et se relevant, le fugitif arrive dans la forêt après avoir passé la journée à fuir. Il sait qu'il change juste d'ennemis, qu'au lieu d'être pourchassé par les sbires du chevalier, son maître, il le sera par les gardes du roi.

    OK.

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  19. Tombant de fatigue et se relevant, le fugitif arrive dans la forêt après avoir passé la journée à fuir. Il sait qu'il change juste d'ennemis, qu'au lieu d'être pourchassé par les sbires du chevalier, son maître, il le sera par les gardes du roi.

    Chloé ?

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  20. Tombant de fatigue et se relevant, le fugitif arrive dans la forêt après avoir passé la journée à fuir. Il sait qu'il change juste d'ennemis, qu'au lieu d'être pourchassé par les sbires du chevalier, son maître, il le sera par les gardes du roi.

    OK.

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  21. Sabe que tanto unos como otros podrían matarlo sin rendir cuentas.

    Il sait qu'autant les uns que les autres pourraient le tuer sans rendre de comptes.

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  22. Sabe que tanto unos como otros podrían matarlo sin rendir cuentas.

    Il sait qu'autant les uns que les autres [ou : « tous autant qu'ils sont » ? Comme vous préférez] pourraient le tuer sans [« avoir à » ?] rendre de comptes.

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  23. Sabe que tanto unos como otros podrían matarlo sin rendir cuentas.

    Il sait que tous autant qu'ils sont, les autres pourraient le tuer sans avoir à rendre de comptes.

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  24. Sabe que tanto unos como otros podrían matarlo sin rendir cuentas.

    Il sait que tous autant qu'ils sont, les autres pourraient le tuer sans avoir à rendre de comptes.

    OK.

    Chloé ? Elena ?

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  25. Il sait que tous autant qu'ils sont, les autres pourraient le tuer sans avoir à rendre de comptes.

    OK.

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  26. Il y a pas un mix entre deux propositions, là ? "Les autres" me semble un peu bizarre...

    Sabe que tanto unos como otros podrían matarlo sin rendir cuentas.

    Il sait que tous autant qu'ils sont pourraient le tuer sans avoir à rendre de comptes.

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  27. Sabe que tanto unos como otros podrían matarlo sin rendir cuentas.

    Il sait que tous autant qu'ils sont, ils pourraient le tuer sans avoir à rendre de comptes.

    OK Elena ? Justine ? Chloé ?

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  28. Sabe que tanto unos como otros podrían matarlo sin rendir cuentas.

    Il sait que tous autant qu'ils sont, ils pourraient le tuer sans avoir à rendre de comptes.

    Justine ? Chloé ?

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  29. Sabe que tanto unos como otros podrían matarlo sin rendir cuentas.

    Il sait que tous autant qu'ils sont, ils pourraient le tuer sans avoir de comptes à rendre.

    OK.

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  30. Sabe que tanto unos como otros podrían matarlo sin rendir cuentas.

    Il sait que tous autant qu'ils sont, ils pourraient le tuer sans avoir de comptes à rendre.

    Chloé ?

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  31. Sabe que tanto unos como otros podrían matarlo sin rendir cuentas.

    Il sait que tous autant qu'ils sont, ils pourraient le tuer sans avoir de comptes à rendre.

    OK.

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  32. Un labriego atado de por vida a la servidumbre del vasallaje en una tierra yerma, no necesita la mente para saber ciertas cosas. Tirado sobre la broza tiembla de cansancio, frío, hambre y miedo, cuando, apoyada contra el roble que está frente a él, de pronto ve una espada.

    Un cultivateur lié pour toute la vie à la servitude de la vassalité sur une terre en friche n'a pas besoin de son esprit pour savoir certaines choses. Allongé sur les feuilles mortes, il tremble sous l'effet de la fatigue, du froid, de la faim et de la peur, quand soudain, appuyée contre le chêne devant lui, il voit une épée.

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  33. Un labriego atado de por vida a la servidumbre del vasallaje en una tierra yerma, no necesita la mente para saber ciertas cosas. Tirado sobre la broza tiembla de cansancio, frío, hambre y miedo, cuando, apoyada contra el roble que está frente a él, de pronto ve una espada.

    Un cultivateur [ou « agriculteur » ?] lié pour toute [nécessaire ?] la vie à la servitude de la vassalité sur une terre en friche [« en friche » ? Elena ?] n'a pas besoin de son [« d'un » ?] esprit pour savoir certaines choses. Allongé sur les feuilles mortes [tu as bien vérifié ?], il tremble sous l'effet [nécessaire] de la fatigue, du froid, de la faim et de la peur, quand soudain, appuyée contre le chêne devant lui [ou à la fin ? Essaie et vois ce qui est mieux], il voit une épée.

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  34. Un labriego atado de por vida a la servidumbre del vasallaje en una tierra yerma, no necesita la mente para saber ciertas cosas. Tirado sobre la broza tiembla de cansancio, frío, hambre y miedo, cuando, apoyada contra el roble que está frente a él, de pronto ve una espada.

    Un agriculteur lié pour la vie à la servitude de la vassalité sur une terre stérile n'a pas besoin d'esprit pour savoir certaines choses. Allongé sur les feuilles mortes, il tremble de fatigue, de froid, de faim et de peur, quand soudain, il voit une épée appuyée contre le chêne devant lui.

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  35. Un labriego atado de por vida a la servidumbre del vasallaje en una tierra yerma, no necesita la mente para saber ciertas cosas. Tirado sobre la broza tiembla de cansancio, frío, hambre y miedo, cuando, apoyada contra el roble que está frente a él, de pronto ve una espada.

    Un agriculteur lié pour la vie à la servitude de la vassalité sur une terre stérile n'a pas besoin d'esprit pour savoir certaines choses. Allongé sur les feuilles mortes, il tremble de fatigue, de froid, de faim et de peur, quand soudain, il voit une épée appuyée contre le chêne devant lui.

    OK.

    Elena ?

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  36. Un agriculteur lié pour la vie à la servitude de la vassalité sur une terre stérile n'a pas besoin d'esprit pour savoir certaines choses. Allongé sur les feuilles mortes, il tremble de fatigue, de froid, de faim et de peur, quand soudain, il voit une épée appuyée contre le chêne devant lui.

    OK.

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  37. Pese a que la oscuridad de la noche es casi perfecta, el hierro de la hoja, impecable, desprende un extraño fulgor. Como extraño es el ánimo que, no más verla, ha regresado a su cuerpo.

    Malgré l'obscurité presque parfaite de la nuit, le fer de la lame, impeccable, diffuse un éclat étrange. Aussi étrange que son esprit qui, rien qu'en l'apercevant [pour éviter de répéter « voir »] a réintégré son corps.

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  38. Pese a que la oscuridad de la noche es casi perfecta, el hierro de la hoja, impecable, desprende un extraño fulgor. Como extraño es el ánimo que, no más verla, ha regresado a su cuerpo.

    Malgré l'obscurité presque parfaite de la nuit, le fer de la lame, impeccable, diffuse un éclat [lumineux ?] étrange. Aussi étrange que son esprit qui, rien qu'en l'apercevant a réintégré son corps [essaie plutôt avec « aussitôt »].

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  39. Pese a que la oscuridad de la noche es casi perfecta, el hierro de la hoja, impecable, desprende un extraño fulgor. Como extraño es el ánimo que, no más verla, ha regresado a su cuerpo.

    Malgré l'obscurité presque parfaite de la nuit, le fer de la lame, impeccable, diffuse un éclat lumineux étrange. Aussi étrange que son esprit qui, en l'apercevant, a aussitôt réintégré son corps.

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  40. Pese a que la oscuridad de la noche es casi perfecta, el hierro de la hoja, impecable, desprende un extraño fulgor. Como extraño es el ánimo que, no más verla, ha regresado a su cuerpo.

    Malgré l'obscurité presque parfaite de la nuit, le fer de la lame, impeccable, diffuse un éclat lumineux étrange. Aussi étrange que son esprit qui, en l'apercevant, a aussitôt [pas pensé au « aussi » du début… Un synonyme ?] réintégré son corps.

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  41. Pese a que la oscuridad de la noche es casi perfecta, el hierro de la hoja, impecable, desprende un extraño fulgor. Como extraño es el ánimo que, no más verla, ha regresado a su cuerpo.

    Malgré l'obscurité presque parfaite de la nuit, le fer de la lame, impeccable, diffuse un éclat lumineux étrange. Aussi étrange que son esprit qui, en l'apercevant, a instantanément réintégré son corps.

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  42. Pese a que la oscuridad de la noche es casi perfecta, el hierro de la hoja, impecable, desprende un extraño fulgor. Como extraño es el ánimo que, no más verla, ha regresado a su cuerpo.

    Malgré l'obscurité presque parfaite de la nuit, le fer de la lame, impeccable, diffuse un éclat lumineux étrange. Aussi étrange que son esprit qui, en l'apercevant, a instantanément réintégré son corps.

    OK.

    Elena ?

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  43. Malgré l'obscurité presque parfaite de la nuit, le fer de la lame, impeccable, diffuse un éclat lumineux étrange. Aussi étrange que son esprit qui, en l'apercevant, a instantanément réintégré son corps.

    OK.

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  44. Malgré l'obscurité presque parfaite de la nuit, le fer de la lame, impeccable, diffuse un éclat lumineux étrange. Aussi étrange que son esprit qui, en l'apercevant, a instantanément réintégré son corps.

    OK.

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  45. Se pone de pie y, este siervo cuyas manos sólo han conocido instrumentos de labranza, toma el arma con una gracia, con una elegancia en el gesto, que cualquier guerrero envidiaría. Ya no tiembla, la espada lo alimenta y conforta.

    Il se met debout, et là, ce serf dont les mains n'ont connu que des instruments de labour, se saisit de l'arme avec une grâce, une élégance dans le geste, que tout guerrier envierait. Il ne tremble plus, l'épée le nourrit et le réconforte.

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  46. Se pone de pie y, este siervo cuyas manos sólo han conocido instrumentos de labranza, toma el arma con una gracia, con una elegancia en el gesto, que cualquier guerrero envidiaría. Ya no tiembla, la espada lo alimenta y conforta.

    Il se met debout, et là, ce serf dont les mains n'ont connu que des instruments de labour, se saisit de l'arme avec une grâce, une élégance dans le geste, que tout guerrier envierait. Il ne tremble plus, l'épée le nourrit et le réconforte.

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  47. Se pone de pie y, este siervo cuyas manos sólo han conocido instrumentos de labranza, toma el arma con una gracia, con una elegancia en el gesto, que cualquier guerrero envidiaría. Ya no tiembla, la espada lo alimenta y conforta.

    Il se met debout, et là, ce serf dont les mains n'ont connu que des instruments de labour se saisit de l'arme avec une grâce, une élégance dans le geste que tout guerrier envierait. Il ne tremble plus, l'épée le nourrit et le réconforte.

    OK.

    Elena ?

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  48. Il se met debout, et là, ce serf dont les mains n'ont connu que des instruments de labour se saisit de l'arme avec une grâce, une élégance dans le geste que tout guerrier envierait. Il ne tremble plus, l'épée le nourrit et le réconforte.

    OK.

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  49. Il se met debout, et là, ce serf dont les mains n'ont connu que des instruments de labour se saisit de l'arme avec une grâce, une élégance dans le geste que tout guerrier envierait. Il ne tremble plus, l'épée le nourrit et le réconforte.

    OK.

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  50. Oscuramente intuye que con ella nunca perderá un combate. Piensa. Su estrategia inmediata es asesinar al primero que pase a caballo.

    il a obscurément l'intuition qu'avec elle, il ne perdra jamais un combat. Il réfléchit. Sa stratégie immédiate est d'assassiner le premier cavalier qui passe.

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  51. Oscuramente intuye que con ella nunca perderá un combate. Piensa. Su estrategia inmediata es asesinar al primero que pase a caballo.

    il [maj ?] a obscurément l'intuition qu'avec elle, il ne perdra jamais un combat. Il réfléchit. Sa stratégie immédiate est d'assassiner le premier cavalier qui passe [ou au futur ? Je te laisse voir].

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  52. Il a obscurément l'intuition qu'avec elle, il ne perdra jamais un combat. Il réfléchit. Sa stratégie immédiate est d'assassiner le premier cavalier qui passera.

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  53. N'oublie pas de remettre l'espagnol.

    Il a obscurément l'intuition qu'avec elle, il ne perdra jamais un combat. Il réfléchit. Sa stratégie immédiate est d'assassiner le premier cavalier qui passera.

    OK.

    Justine ?

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  54. Il a obscurément l'intuition qu'avec elle, il ne perdra jamais un combat. Il réfléchit. Sa stratégie immédiate est d'assassiner le premier cavalier qui passera.

    OK.

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  55. —Con poder, todo infeliz es el otro que llevaba guardado —comenta el demonio para sí mismo, entre risas, desde las entrañas del hombre.

    — Par ma puissance, l'autre que je retenais depuis longtemps est vraiment malheureux, commente le démon pour lui-même, entre deux éclats de rire, depuis les entrailles de l'homme.

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  56. —Con poder, todo infeliz es el otro que llevaba guardado —comenta el demonio para sí mismo, entre risas, desde las entrañas del hombre.

    — Par ma puissance, l'autre que je retenais depuis longtemps est vraiment malheureux [Elena ?], commente le démon pour lui-même, entre deux éclats de rire, depuis les entrailles de l'homme.

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  57. —Con poder, todo infeliz es el otro que llevaba guardado —comenta el demonio para sí mismo, entre risas, desde las entrañas del hombre.

    — Avec du pouvoir, n'importe quel malheureux devient celui qui était enfoui en son intérieur, commente le démon pour lui-même, entre deux éclats de rire, depuis les entrailles de l'homme.

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  58. —Con poder, todo infeliz es el otro que llevaba guardado —comenta el demonio para sí mismo, entre risas, desde las entrañas del hombre.

    — Avec du pouvoir, n'importe quel malheureux devient celui qui était enfoui en son intérieur [« à l'intérieur de lui »], commente le démon pour lui-même, entre deux éclats de rire, depuis les entrailles de l'homme.

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  59. —Con poder, todo infeliz es el otro que llevaba guardado —comenta el demonio para sí mismo, entre risas, desde las entrañas del hombre.

    — Avec du pouvoir, n'importe quel malheureux devient celui qui était enfoui à l'intérieur de lui, commente le démon pour lui-même, entre deux éclats de rire, depuis les entrailles de l'homme.

    OK.

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