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vendredi 9 février 2018

Projet Justine / Elena – texte 179

Vida

—Dios es el primer alfarero —dice papá, y me enseña a amasar el barro para que no queden grumos. Los grumos arruinarían las cosas importantes que hace: platos, fuentes, ollas, macetas. Desde que era más chiquita me gusta verlo trabajar. Dice que enseñarme “el oficio” es un regalo que me hace porque es navidad, pero no, es porque aprendí a sumar rápido y también a leer. —¿El primer alfarero cómo? —pregunto mientras ponemos a secar las piezas antes de llevarlas al horno. Me gusta mucho ver el conejito que modelé al lado de sus cántaros. —¿Cómo? —ríe—. Haciendo con barro al primer hombre —. A veces habla de cosas que no entiendo a propósito, para que no se me vayan las ganas de estudiar—. Lo llamó Adán y es el padre de todos. Se pone serio, creo que piensa en el abuelo. Quiero darle la mano para espantar la tristeza pero está peor. Mira mi conejito que se ha llenado de esa pelusa blanca tan linda y ahora salta para el lado nuestro. Lo alzo, es tibio y suave. —Tocalo papi, no tengas miedo.

Traduction temporaire :

Vie

— Dieu est le premier potier, dit papa avant de me montrer comment pétrir la boue pour qu'il ne reste pas de grumeaux. Les grumeaux gâcheraient les choses importantes qu'il fait : assiettes, plats, marmites, pots. Depuis ma plus tendre enfance, j'aime le regarder travailler. Il prétend que m'enseigner « le métier » est un cadeau qu'il me fait parce c'est Noël, sauf qu'en réalité, c'est parce que j'appris vite à additionner et aussi à lire. — Comment ça, le premier potier ? demandé-je alors qu'on laisse les pièces sécher avant de les emporter pour les mettre dans le four. Ça me fait très plaisir de voir le petit lapin que j'ai modelé à côté de ses cruches. — Comment ça ? Il rit. En façonnant le premier homme avec de la boue. Parfois, il parle exprès de choses que je ne comprends pas, pour que je ne cesse d'avoir envie d'apprendre. Il l'a appelé Adam et c'est notre père à tous. Il devient sérieux, je m'imagine qu'il pense à mon grand-père. Je veux lui donner la main pour chasser sa tristesse, mais c'est pire. Il regarde mon petit lapin qui s'est couvert de ce si beau duvet blanc et qui bondit maintenant à côté de nous. Je le soulève, il est tiède et doux. — Touche-le, papa, n'aie pas peur.

57 commentaires:

  1. Vida

    —Dios es el primer alfarero —dice papá, y me enseña a amasar el barro para que no queden grumos.

    Vie

    — Dieu est le premier potier, dit papa avant de montrer comment pétrir la boue pour qu'il ne reste pas de grumeaux.

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  2. Vida

    —Dios es el primer alfarero —dice papá, y me enseña a amasar el barro para que no queden grumos.

    Vie

    — Dieu est le premier potier, dit papa avant de me montrer comment pétrir la boue pour qu'il ne reste pas de grumeaux.

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  3. Vida

    —Dios es el primer alfarero —dice papá, y me enseña a amasar el barro para que no queden grumos.

    Vie

    — Dieu est le premier potier, dit papa avant de [« me »] montrer comment pétrir la boue pour qu'il ne reste pas de grumeaux.

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  4. Vida

    —Dios es el primer alfarero —dice papá, y me enseña a amasar el barro para que no queden grumos.

    Vie

    — Dieu est le premier potier, dit papa avant de me montrer comment pétrir la boue pour qu'il ne reste pas de grumeaux.

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  5. Vida

    —Dios es el primer alfarero —dice papá, y me enseña a amasar el barro para que no queden grumos.

    Vie

    — Dieu est le premier potier, dit papa avant de me montrer comment pétrir la boue pour qu'il ne reste pas de grumeaux.

    OK.

    Elena ?

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  6. Vie

    — Dieu est le premier potier, dit papa avant de me montrer comment pétrir la boue pour qu'il ne reste pas de grumeaux.

    OK.

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  7. Los grumos arruinarían las cosas importantes que hace: platos, fuentes, ollas, macetas. Desde que era más chiquita me gusta verlo trabajar.

    Les grumeaux ruineraient les choses importantes qu'il fait : les assiettes, les plats, les marmites, les pots. Depuis ma plus tendre enfance, j'aime le regarder travailler.

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  8. Los grumos arruinarían las cosas importantes que hace: platos, fuentes, ollas, macetas. Desde que era más chiquita me gusta verlo trabajar.

    Les grumeaux ruineraient les choses importantes qu'il fait : les [sont-ils nécessaires ?] assiettes, les plats, les marmites, les pots. Depuis ma plus tendre enfance, j'aime le regarder travailler.

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  9. Los grumos arruinarían las cosas importantes que hace: platos, fuentes, ollas, macetas. Desde que era más chiquita me gusta verlo trabajar.

    Les grumeaux ruineraient les choses importantes qu'il fait : assiettes, plats, marmites, pots. Depuis ma plus tendre enfance, j'aime le regarder travailler.

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  10. Los grumos arruinarían las cosas importantes que hace: platos, fuentes, ollas, macetas. Desde que era más chiquita me gusta verlo trabajar.

    Les grumeaux ruineraient les choses importantes qu'il fait : assiettes, plats, marmites, pots. Depuis ma plus tendre enfance, j'aime le regarder travailler.

    OK.

    Elena ?

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  11. Les grumeaux ruineraient ["gâcheraient" ?] les choses importantes qu'il fait : assiettes, plats, marmites, pots. Depuis ma plus tendre enfance, j'aime le regarder travailler.

    ***Il me semble que "ruiner" est trop "fort" ici...

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  12. OK pour la solution que propose Elena.

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  13. Los grumos arruinarían las cosas importantes que hace: platos, fuentes, ollas, macetas. Desde que era más chiquita me gusta verlo trabajar.

    Les grumeaux gâcheraient les choses importantes qu'il fait : assiettes, plats, marmites, pots. Depuis ma plus tendre enfance, j'aime le regarder travailler.

    OK.

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  14. Los grumos arruinarían las cosas importantes que hace: platos, fuentes, ollas, macetas. Desde que era más chiquita me gusta verlo trabajar.

    Les grumeaux gâcheraient les choses importantes qu'il fait : assiettes, plats, marmites, pots. Depuis ma plus tendre enfance, j'aime le regarder travailler.

    OK.

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  15. Dice que enseñarme “el oficio” es un regalo que me hace porque es navidad, pero no, es porque aprendí a sumar rápido y también a leer.

    Il prétend que m'enseigner « le métier » est un cadeau qu'il me fait parce c'est Noël, sauf qu'en réalité, c'est parce que j'apprends vite à additionner et à lire aussi.

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  16. Dice que enseñarme “el oficio” es un regalo que me hace porque es navidad, pero no, es porque aprendí a sumar rápido y también a leer.

    Il prétend que m'enseigner « le métier » est un cadeau qu'il me fait parce c'est Noël, sauf qu'en réalité, c'est parce que j'apprends [temps ?] vite à additionner et à lire aussi.

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  17. Dice que enseñarme “el oficio” es un regalo que me hace porque es navidad, pero no, es porque aprendí a sumar rápido y también a leer.

    Il prétend que m'enseigner « le métier » est un cadeau qu'il me fait parce c'est Noël, sauf qu'en réalité, c'est parce que j'appris vite à additionner et à lire aussi.

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  18. Dice que enseñarme “el oficio” es un regalo que me hace porque es navidad, pero no, es porque aprendí a sumar rápido y también a leer.

    Il prétend que m'enseigner « le métier » est un cadeau qu'il me fait parce c'est Noël, sauf qu'en réalité, c'est parce que j'appris vite à additionner et à lire aussi [avant ?].

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  19. Dice que enseñarme “el oficio” es un regalo que me hace porque es navidad, pero no, es porque aprendí a sumar rápido y también a leer.

    Il prétend que m'enseigner « le métier » est un cadeau qu'il me fait parce c'est Noël, sauf qu'en réalité, c'est parce que j'appris vite à additionner et aussi à lire.

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  20. Dice que enseñarme “el oficio” es un regalo que me hace porque es navidad, pero no, es porque aprendí a sumar rápido y también a leer.

    Il prétend que m'enseigner « le métier » est un cadeau qu'il me fait parce c'est Noël, sauf qu'en réalité, c'est parce que j'appris vite à additionner et aussi à lire.

    OK.

    Elena ?

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  21. Il prétend que m'enseigner « le métier » est un cadeau qu'il me fait parce c'est Noël, sauf qu'en réalité, c'est parce que j'appris vite à additionner et aussi à lire.

    OK.

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  22. Elena a dit...
    Il prétend que m'enseigner « le métier » est un cadeau qu'il me fait parce c'est Noël, sauf qu'en réalité, c'est parce que j'appris vite à additionner et aussi à lire.

    OK.

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  23. —¿El primer alfarero cómo? —pregunto mientras ponemos a secar las piezas antes de llevarlas al horno.

    — Comment ça le premier potier ? demandé-je alors qu'on met les pièces à sécher avant de les emporter au four.

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  24. —¿El primer alfarero cómo? —pregunto mientras ponemos a secar las piezas antes de llevarlas al horno.

    — Comment ça [virgule] le premier potier ? demandé-je alors qu'on met les pièces à sécher avant de les emporter au [pour les mettre dans le ?] four.

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  25. —¿El primer alfarero cómo? —pregunto mientras ponemos a secar las piezas antes de llevarlas al horno.

    — Comment ça, le premier potier ? demandé-je alors qu'on laisse [pour éviter de répéter « mettre »] les pièces sécher avant de les emporter pour les mettre dans le four.

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  26. —¿El primer alfarero cómo? —pregunto mientras ponemos a secar las piezas antes de llevarlas al horno.

    — Comment ça, le premier potier ? demandé-je alors qu'on laisse [pour éviter de répéter « mettre »] les pièces sécher avant de les emporter pour les mettre dans le four.

    OK.

    Elena ?

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  27. — Comment ça, le premier potier ? demandé-je alors qu'on laisse [pour éviter de répéter « mettre »] les pièces sécher avant de les emporter pour les mettre dans le four.

    OK.

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  28. — Comment ça, le premier potier ? demandé-je alors qu'on laisse les pièces sécher avant de les emporter pour les mettre dans le four.

    OK.

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  29. Me gusta mucho ver el conejito que modelé al lado de sus cántaros. —¿Cómo? —ríe—. Haciendo con barro al primer hombre.

    Ça me fait très plaisir de voir le petit lapin que j'ai modelé à côté de ses cruches.
    — Comment ça ? il rit. En façonnant le premier homme avec de la boue.

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  30. Me gusta mucho ver el conejito que modelé al lado de sus cántaros. —¿Cómo? —ríe—. Haciendo con barro al primer hombre.

    Ça me fait très plaisir de voir le petit lapin que j'ai modelé à côté de ses cruches.
    — Comment ça ? Il rit. En façonnant le premier homme avec de la boue.

    OK.

    Elena ?

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  31. Ça me fait très plaisir de voir le petit lapin que j'ai modelé à côté de ses cruches.
    — Comment ça ? Il rit. En façonnant le premier homme avec de la boue.

    OK.

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  32. A veces habla de cosas que no entiendo a propósito, para que no se me vayan las ganas de estudiar.

    Parfois, il parle exprès de chose que je ne comprends pas, pour que je ne perde pas ma soif d'apprendre.

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  33. A veces habla de cosas que no entiendo a propósito, para que no se me vayan las ganas de estudiar.

    Parfois, il parle exprès de chose que je ne comprends pas [Elena, pour le sens ?], pour que je ne perde pas ma soif d'apprendre [pas ce que dit la V.O.].

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  34. A veces habla de cosas que no entiendo a propósito, para que no se me vayan las ganas de estudiar.

    Parfois, il parle exprès de choses que je ne comprends pas, pour que mon envie d'apprendre reste en éveil.

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  35. A veces habla de cosas que no entiendo a propósito, para que no se me vayan las ganas de estudiar.

    Parfois, il parle exprès de choses que je ne comprends pas, pour que mon envie d'apprendre reste en éveil [« pour que je cesse pas d'avoir envie d'appendre » ?].

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  36. A veces habla de cosas que no entiendo a propósito, para que no se me vayan las ganas de estudiar.

    Parfois, il parle exprès de choses que je ne comprends pas, pour que je ne cesse pas d'avoir envie d'appendre.

    OK.

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  37. A veces habla de cosas que no entiendo a propósito, para que no se me vayan las ganas de estudiar.

    Parfois, il parle exprès de choses que je ne comprends pas, pour que je ne cesse d'avoir envie d'apprendre.

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  38. Lo llamó Adán y es el padre de todos.
    Se pone serio, creo que piensa en el abuelo. Quiero darle la mano para espantar la tristeza pero está peor.

    Il l'a appelé Adam et c'est notre père à tous.
    Il devient sérieux, j'imagine qu'il pense à mon grand-père. Je veux lui donner la main pour chasser sa tristesse, mais c'est pire.

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  39. Lo llamó Adán y es el padre de todos.
    Se pone serio, creo que piensa en el abuelo. Quiero darle la mano para espantar la tristeza pero está peor.

    Il l'a appelé Adam et c'est notre père à tous.
    Il devient sérieux, j'[« je m' » ?]imagine qu'il pense à mon grand-père. Je veux lui donner la main pour chasser sa tristesse, mais c'est pire.

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  40. Lo llamó Adán y es el padre de todos.
    Se pone serio, creo que piensa en el abuelo. Quiero darle la mano para espantar la tristeza pero está peor.

    Il l'a appelé Adam et c'est notre père à tous.
    Il devient sérieux, je m'imagine qu'il pense à mon grand-père. Je veux lui donner la main pour chasser sa tristesse, mais c'est pire.

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  41. Lo llamó Adán y es el padre de todos.
    Se pone serio, creo que piensa en el abuelo. Quiero darle la mano para espantar la tristeza pero está peor.

    Il l'a appelé Adam et c'est notre père à tous.
    Il devient sérieux, je m'imagine qu'il pense à mon grand-père. Je veux lui donner la main pour chasser sa tristesse, mais c'est pire.

    OK.

    Elena ?

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  42. Il l'a appelé Adam et c'est notre père à tous.
    Il devient sérieux, je m'imagine qu'il pense à mon grand-père. Je veux lui donner la main pour chasser sa tristesse, mais c'est pire.

    OK.

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  43. Mira mi conejito que se ha llenado de esa pelusa blanca tan linda y ahora salta para el lado nuestro.
    Lo alzo, es tibio y suave.
    —Tocalo papi, no tengas miedo.

    Il regarde mon petit lapin tout couvert de ce beau duvet blanc, qui bondit désormais à côté de nous.
    Je le soulève, il est tiède et doux.
    — Touche-le, papa, n'aie pas peur.

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  44. Mira mi conejito que se ha llenado de esa pelusa blanca tan linda y ahora salta para el lado nuestro.
    Lo alzo, es tibio y suave.
    —Tocalo papi, no tengas miedo.

    Il regarde mon petit lapin tout couvert [est-ce que ça ne change pas trop ? J'hésite] de ce [tan ?] beau duvet blanc, qui bondit désormais [FS ?] à côté de nous.

    Corrige déjà ça et attention de ne pas travailler trop vite.

    Je le soulève, il est tiède et doux.
    — Touche-le, papa, n'aie pas peur.

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  45. Mira mi conejito que se ha llenado de esa pelusa blanca tan linda y ahora salta para el lado nuestro.
    Lo alzo, es tibio y suave.
    —Tocalo papi, no tengas miedo.

    Il regarde mon petit lapin qui s'est couvert de ce si beau duvet blanc, qui bondit immédiatement à côté de nous.
    Je le soulève, il est tiède et doux.
    — Touche-le, papa, n'aie pas peur.

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  46. Mira mi conejito que se ha llenado de esa pelusa blanca tan linda y ahora salta para el lado nuestro.
    Lo alzo, es tibio y suave.
    —Tocalo papi, no tengas miedo.

    Il regarde mon petit lapin qui s'est couvert de ce si beau duvet blanc, qui [« et qui »] bondit immédiatement [texte] à côté de nous.
    Je le soulève, il est tiède et doux.
    — Touche-le, papa, n'aie pas peur.

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  47. Mira mi conejito que se ha llenado de esa pelusa blanca tan linda y ahora salta para el lado nuestro.
    Lo alzo, es tibio y suave.
    —Tocalo papi, no tengas miedo.

    Il regarde mon petit lapin qui s'est couvert de ce si beau duvet blanc et qui bondit maintenant à côté de nous.
    Je le soulève, il est tiède et doux.
    — Touche-le, papa, n'aie pas peur.

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  48. Mira mi conejito que se ha llenado de esa pelusa blanca tan linda y ahora salta para el lado nuestro.
    Lo alzo, es tibio y suave.
    —Tocalo papi, no tengas miedo.

    Il regarde mon petit lapin qui s'est couvert de ce si beau duvet blanc et qui bondit maintenant à côté de nous.
    Je le soulève, il est tiède et doux.
    — Touche-le, papa, n'aie pas peur.

    OK.

    Elena ?

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  49. Il regarde mon petit lapin qui s'est couvert de ce si beau duvet blanc et qui bondit maintenant à côté de nous.
    Je le soulève, il est tiède et doux.
    — Touche-le, papa, n'aie pas peur.

    OK.

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  50. Il regarde mon petit lapin qui s'est couvert de ce si beau duvet blanc et qui bondit maintenant à côté de nous.
    Je le soulève, il est tiède et doux.
    — Touche-le, papa, n'aie pas peur.

    OK.

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