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jeudi 22 février 2018

Projet Justine / Elena – texte 183

La plegaria

Viene en contramano, toma mal una curva, derrapa, se desbarranca y cae en el patio de la vieja casona familiar. Construcción solitaria, hoy derruida, de la que salió huyendo treinta años antes nada más que por sentirle el gusto al afuera y ser su único, permisivo, jefe, y buscar lo que de todas maneras habría encontrado porque era su destino. De todo lo que tuvo sólo resta un gato azul, y ambos se acomodan en el último, infecto cuartucho.  Cada atardecer hunde el rostro en ese azul inefable y, por unos instantes, se apropia de lo perdido: aquellas risas, las únicas que hallaban eco en su corazón, aquellas caricias que amaba.  No recuerda cómo fue que hoy logró conseguir las mandarinas que componen su cena mientras su compañero sale de correría. Cigarrillos siempre tiene, eso sí. Fuma sin descanso. Cuando ve que el cielo comienza a clarear por alguna de sus puntas, vacía la taza que usó de cenicero y ventila el cuarto. Al gato no le gusta el olor a humo y volverá marcharse si oye esa tos cavernosa que le ahoga.  De pronto ve que la silueta felina se recorta, elegante e impasible, contra la ventana abierta.  Respira lenta, cuidadosamente.  —Un atardecer más —suplica.  Suplica, sí, y sin embargo su actitud no es la del suplicante. Nadie podría adivinar tras esa calma, ese dominio de la situación que muestra aún cuando nadie ve (y quizá más aún cuando nadie, excepto él, ve), la enormidad de su nostalgia.  El gato permanece en el alféizar.  Sin impaciencia (con un esbozo de sonrisa incluso, como quien entiende que la realidad es sólo un juego) comprueba lo que ya sabe: las mandarinas se acabaron anoche. 

Traduction temporaire :

La prière

Il arrive à contresens, prend mal un virage, dérape, chute et atterrit dans le jardin de la vieille demeure familiale. Construction solitaire, aujourd'hui en ruines, dont il s'était enfui trente ans plus tôt rien que pour sentir le goût de dehors, être son seul chef, un chef permissif, et chercher ce qu'il aurait de toute façon trouvé parce ce que c'était son destin. Sur tout ce qui lui avait appartenu, il ne reste qu'un chat bleu, et le duo s'installe dans la dernière piaule infecte. Chaque crépuscule, il enfouit son visage dans ce bleu ineffable et, l'espace d'un instant, se réapproprie ce qu'il a perdu : ces rires, les seuls qui trouvaient écho dans son cœur, ces caresses qu'il aimait. Il ne se rappelle pas comment aujourd'hui, il a réussi à obtenir les mandarines qui composent son repas, tandis que son compagnon part faire une escapade. Il a toujours des cigarettes, ça, oui ! Il fume sans relâche. Quand il voit que le ciel commence à s'éclaircir d'un côté, il vide la tasse qu'il a utilisée comme cendrier et aère la pièce. Son chat n'aime pas l'odeur de la fumée et repartira s'il entend cette toux caverneuse qui l'étouffe. Soudain, il voit que la silhouette féline se découpe, élégante et impassible, contre la fenêtre ouverte. Il respire lentement, prudemment. — Encore un crépuscule, supplie-t-il. Oui, il supplie, alors même que son attitude n'est pas celle d'un suppliant. Derrière son calme apparent et la maîtrise de la situation qu'il affiche même quand personne ne regarde (et peut-être plus encore quand personne ne regarde, sauf lui), personne ne pourrait deviner l'énormité de sa nostalgie. Le chat reste sur le rebord de la fenêtre. Sans la moindre impatience (esquissant même un sourire, comme celui qui comprend que la réalité n'est qu'un jeu), il constate ce qu'il sait déjà : les mandarines ont été terminées hier soir.

73 commentaires:

  1. La plegaria

    Viene en contramano, toma mal una curva, derrapa, se desbarranca y cae en el patio de la vieja casona familiar.

    La prière

    Il arrive à contresens, prend mal un virage, dérape, chute et atterrit dans le patio de la vieille demeure familiale.

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  2. La plegaria

    Viene en contramano, toma mal una curva, derrapa, se desbarranca y cae en el patio de la vieja casona familiar.

    La prière

    Il arrive à contresens, prend mal un virage, dérape, chute et atterrit dans le patio de la vieille demeure familiale.

    OK.

    Elena ?

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  3. La prière

    Il arrive à contresens, prend mal un virage, dérape, chute et atterrit dans le patio [ Ici, plutôt "jardin"] de la vieille demeure familiale.

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  4. La prière

    Il arrive à contresens, prend mal un virage, dérape, chute et atterrit dans le jardin de la vieille demeure familiale.

    OK.

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  5. Construcción solitaria, hoy derruida, de la que salió huyendo treinta años antes nada más que por sentirle el gusto al afuera y ser su único, permisivo, jefe, y buscar lo que de todas maneras habría encontrado porque era su destino.

    Construction solitaire, aujourd'hui en ruines, dont il s'était enfui trente ans plus tôt rien que pour sentir le goût de dehors, être son seul chef permissif, et chercher ce qu'il aurait de toute façon trouver parce ce que c'était son destin.

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  6. Construcción solitaria, hoy derruida, de la que salió huyendo treinta años antes nada más que por sentirle el gusto al afuera y ser su único, permisivo, jefe, y buscar lo que de todas maneras habría encontrado porque era su destino.

    Construction solitaire, aujourd'hui en ruines, dont il s'était enfui trente ans plus tôt rien que pour sentir le goût de dehors, être son seul chef [« , un chef »] permissif, et chercher ce qu'il aurait de toute façon trouver parce ce que c'était son destin.

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  7. Construcción solitaria, hoy derruida, de la que salió huyendo treinta años antes nada más que por sentirle el gusto al afuera y ser su único, permisivo, jefe, y buscar lo que de todas maneras habría encontrado porque era su destino.

    Construction solitaire, aujourd'hui en ruines, dont il s'était enfui trente ans plus tôt rien que pour sentir le goût de dehors, être son seul chef, un chef permissif, et chercher ce qu'il aurait de toute façon trouver parce ce que c'était son destin.

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  8. Construcción solitaria, hoy derruida, de la que salió huyendo treinta años antes nada más que por sentirle el gusto al afuera y ser su único, permisivo, jefe, y buscar lo que de todas maneras habría encontrado porque era su destino.

    Construction solitaire, aujourd'hui en ruines, dont il s'était enfui trente ans plus tôt rien que pour sentir le goût de dehors, être son seul chef, un chef permissif, et chercher ce qu'il aurait de toute façon trouver parce ce que c'était son destin.

    OK.

    Elena ?

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  9. Construction solitaire, aujourd'hui en ruines, dont il s'était enfui trente ans plus tôt rien que pour sentir le goût de dehors, être son seul chef, un chef permissif, et chercher ce qu'il aurait de toute façon trouvé parce ce que c'était son destin.

    J'ai corrigé une coquille et OK.

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  10. Construction solitaire, aujourd'hui en ruines, dont il s'était enfui trente ans plus tôt rien que pour sentir le goût de dehors, être son seul chef, un chef permissif, et chercher ce qu'il aurait de toute façon trouvé parce que c'était son destin.

    OK.

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  11. De todo lo que tuvo sólo resta un gato azul, y ambos se acomodan en el último, infecto cuartucho.

    De tout ce qu'il lui avait appartenu, il ne reste qu'un chat bleu, et ils s'installent tous les deux dans la dernière piaule infecte.

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  12. De todo lo que tuvo sólo resta un gato azul, y ambos se acomodan en el último, infecto cuartucho.

    De [j'hésite] tout ce qu'il [« qui »] lui avait appartenu, il ne reste qu'un chat bleu, et ils s'installent tous les deux dans la dernière piaule infecte.

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  13. De todo lo que tuvo sólo resta un gato azul, y ambos se acomodan en el último, infecto cuartucho.

    Sur tout ce qui lui avait appartenu, il ne reste qu'un chat bleu, et ils s'installent tous les deux dans la dernière piaule infecte.

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  14. De todo lo que tuvo sólo resta un gato azul, y ambos se acomodan en el último, infecto cuartucho.

    Sur tout [zut : tout / tous] ce qui lui avait appartenu, il ne reste qu'un chat bleu, et ils s'installent tous les deux dans la dernière piaule infecte.

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  15. De todo lo que tuvo sólo resta un gato azul, y ambos se acomodan en el último, infecto cuartucho.

    Sur tout ce qui lui avait appartenu, il ne reste qu'un chat bleu, et le duo s'installe dans la dernière piaule infecte.

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  16. De todo lo que tuvo sólo resta un gato azul, y ambos se acomodan en el último, infecto cuartucho.

    Sur tout ce qui lui avait appartenu, il ne reste qu'un chat bleu, et le duo s'installe dans la dernière piaule infecte.

    OK.

    Elena ?

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  17. Sur tout ce qui lui avait appartenu, il ne reste qu'un chat bleu, et le duo s'installe dans la dernière piaule infecte.

    OK.

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  18. Cada atardecer hunde el rostro en ese azul inefable y, por unos instantes, se apropia de lo perdido: aquellas risas, las únicas que hallaban eco en su corazón, aquellas caricias que amaba.

    Chaque crépuscule, il enfouit son visage dans ce bleu ineffable et, l'espace d'un instant, se réapproprie ce qu'il a perdu : ces rires, les seuls qui trouvaient écho en son cœur, ces caresses qu'il aimait.

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  19. Cada atardecer hunde el rostro en ese azul inefable y, por unos instantes, se apropia de lo perdido: aquellas risas, las únicas que hallaban eco en su corazón, aquellas caricias que amaba.

    Chaque crépuscule, il enfouit son visage dans ce bleu ineffable et, l'espace d'un instant, se réapproprie ce qu'il a perdu : ces rires, les seuls qui trouvaient écho en [« dans » ?] son cœur, ces caresses qu'il aimait.

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  20. Cada atardecer hunde el rostro en ese azul inefable y, por unos instantes, se apropia de lo perdido: aquellas risas, las únicas que hallaban eco en su corazón, aquellas caricias que amaba.

    Chaque crépuscule, il enfouit son visage dans ce bleu ineffable et, l'espace d'un instant, se réapproprie ce qu'il a perdu : ces rires, les seuls qui trouvaient écho dans son cœur, ces caresses qu'il aimait.

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  21. Cada atardecer hunde el rostro en ese azul inefable y, por unos instantes, se apropia de lo perdido: aquellas risas, las únicas que hallaban eco en su corazón, aquellas caricias que amaba.

    Chaque crépuscule, il enfouit son visage dans ce bleu ineffable et, l'espace d'un instant, se réapproprie ce qu'il a perdu : ces rires, les seuls qui trouvaient écho dans son cœur, ces caresses qu'il aimait.

    OK.

    Elena ?

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  22. Chaque crépuscule, il enfouit son visage dans ce bleu ineffable et, l'espace d'un instant, se réapproprie ce qu'il a perdu : ces rires, les seuls qui trouvaient écho dans son cœur, ces caresses qu'il aimait.

    OK.

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  23. No recuerda cómo fue que hoy logró conseguir las mandarinas que componen su cena mientras su compañero sale de correría.

    Il ne se rappelle pas comment il a réussi aujourd'hui à obtenir les mandarines qui composent son repas, alors que son compagnon part faire une escapade.

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  24. No recuerda cómo fue que hoy logró conseguir las mandarinas que componen su cena mientras su compañero sale de correría.

    Il ne se rappelle pas comment il a réussi aujourd'hui [syntaxe ?] à obtenir les mandarines qui composent son repas, alors que [je trouve pas cela très clair / Elena, le sens ?] son compagnon part faire une escapade.

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  25. No recuerda cómo fue que hoy logró conseguir las mandarinas que componen su cena mientras su compañero sale de correría.

    Il ne se rappelle pas comment aujourd'hui il a réussi à obtenir les mandarines qui composent son repas, tandis que son compagnon part faire une escapade.

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  26. No recuerda cómo fue que hoy logró conseguir las mandarinas que componen su cena mientras su compañero sale de correría.

    Il ne se rappelle pas comment aujourd'hui [virgule] il a réussi à obtenir les mandarines qui composent son repas, tandis que son compagnon [« ami » / « camarade » ? J'hésite] part faire une escapade.

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  27. No recuerda cómo fue que hoy logró conseguir las mandarinas que componen su cena mientras su compañero sale de correría.

    Il ne se rappelle pas comment aujourd'hui, il a réussi à obtenir les mandarines qui composent son repas, tandis que son compagnon [« ami » / « camarade » ? J'hésite / C'est un chat.] part faire une escapade.

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  28. No recuerda cómo fue que hoy logró conseguir las mandarinas que componen su cena mientras su compañero sale de correría.

    Il ne se rappelle pas comment aujourd'hui, il a réussi à obtenir les mandarines qui composent son repas, tandis que son compagnon [« ami » / « camarade » ? J'hésite // Moi aussi, mais pour un animal, je n'ai pas trouvé mieux...] part faire une escapade.

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  29. Non, dans ce cas, « compagnon », c'est le mieux.

    No recuerda cómo fue que hoy logró conseguir las mandarinas que componen su cena mientras su compañero sale de correría.

    Il ne se rappelle pas comment aujourd'hui, il a réussi à obtenir les mandarines qui composent son repas, tandis que son compagnon part faire une escapade.

    OK.

    VPC.

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  30. Cigarrillos siempre tiene, eso sí. Fuma sin descanso. Cuando ve que el cielo comienza a clarear por alguna de sus puntas, vacía la taza que usó de cenicero y ventila el cuarto.

    Il a toujours des cigarettes, ça, oui ! Il fume sans relâche. Quand il voit que le ciel commence à s'éclaircir d'un côté, il vide la tasse qu'il a utilisée comme cendrier et aère la pièce.

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  31. Cigarrillos siempre tiene, eso sí. Fuma sin descanso. Cuando ve que el cielo comienza a clarear por alguna de sus puntas, vacía la taza que usó de cenicero y ventila el cuarto.

    Il a toujours des cigarettes, ça, oui ! Il fume sans relâche. Quand il voit que le ciel commence à s'éclaircir d'un côté, il vide la tasse qu'il a utilisée comme cendrier et aère la pièce.

    OK.

    Elena ?

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  32. Il a toujours des cigarettes, ça, oui ! Il fume sans relâche. Quand il voit que le ciel commence à s'éclaircir d'un côté, il vide la tasse qu'il a utilisée comme cendrier et aère la pièce.

    OK.

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  33. Al gato no le gusta el olor a humo y volverá marcharse si oye esa tos cavernosa que le ahoga.

    Son chat n'aime pas l'odeur de la fumée et repartira s'il entend cette toux caverneuse qui l'étouffe.

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  34. Justine a dit...

    Al gato no le gusta el olor a humo y volverá marcharse si oye esa tos cavernosa que le ahoga.

    Son chat n'aime pas l'odeur de la fumée et repartira s'il entend cette toux caverneuse qui l'étouffe.

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  35. Al gato no le gusta el olor a humo y volverá marcharse si oye esa tos cavernosa que le ahoga.

    Son chat n'aime pas l'odeur de la fumée et repartira s'il entend cette toux caverneuse qui l'étouffe.

    OK.

    Elena ?

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  36. Son chat n'aime pas l'odeur de la fumée et repartira s'il entend cette toux caverneuse qui l'étouffe.

    OK.

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  37. De pronto ve que la silueta felina se recorta, elegante e impasible, contra la ventana abierta. Respira lenta, cuidadosamente.

    Soudain, il voit que la silhouette féline se découpe, élégante et impassible, sur la fenêtre ouverte. Il respire lentement, prudemment.

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  38. De pronto ve que la silueta felina se recorta, elegante e impasible, contra la ventana abierta. Respira lenta, cuidadosamente.

    Soudain, il voit que la silhouette féline se découpe, élégante et impassible, sur [littéral ?] la fenêtre ouverte. Il respire lentement, prudemment.

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  39. De pronto ve que la silueta felina se recorta, elegante e impasible, contra la ventana abierta. Respira lenta, cuidadosamente.

    Soudain, il voit que la silhouette féline se découpe, élégante et impassible, contre la fenêtre ouverte. Il respire lentement, prudemment.

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  40. De pronto ve que la silueta felina se recorta, elegante e impasible, contra la ventana abierta. Respira lenta, cuidadosamente.

    Soudain, il voit que la silhouette féline se découpe, élégante et impassible, contre la fenêtre ouverte. Il respire lentement, prudemment.

    OK.

    Elena ?

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  41. Soudain, il voit que la silhouette féline se découpe, élégante et impassible, contre la fenêtre ouverte. Il respire lentement, prudemment.

    OK.

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  42. —Un atardecer más —suplica. Suplica, sí, y sin embargo su actitud no es la del suplicante.

    — Encore un crépuscule, supplie-t-il. Oui, il supplie, pourtant son attitude n'est pas celle d'un suppliant.

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  43. —Un atardecer más —suplica. Suplica, sí, y sin embargo su actitud no es la del suplicante.

    — Encore un crépuscule, supplie-t-il. Oui, il supplie, pourtant [« alors même que »] son attitude n'est pas celle d'un suppliant.

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  44. —Un atardecer más —suplica. Suplica, sí, y sin embargo su actitud no es la del suplicante.

    — Encore un crépuscule, supplie-t-il. Oui, il supplie, alors même que son attitude n'est pas celle d'un suppliant.

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  45. —Un atardecer más —suplica. Suplica, sí, y sin embargo su actitud no es la del suplicante.

    — Encore un crépuscule, supplie-t-il. Oui, il supplie, alors même que son attitude n'est pas celle d'un suppliant.

    OK.

    Elena ?

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  46. — Encore un crépuscule, supplie-t-il. Oui, il supplie, alors même que son attitude n'est pas celle d'un suppliant.

    OK.

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  47. — Encore un crépuscule, supplie-t-il. Oui, il supplie, alors même que son attitude n'est pas celle d'un suppliant.

    OK.

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  48. Nadie podría adivinar tras esa calma, ese dominio de la situación que muestra aún cuando nadie ve (y quizá más aún cuando nadie, excepto él, ve), la enormidad de su nostalgia.

    Derrière son calme apparent, personne ne pourrait deviner cette maîtrise de la situation qui montre encore quand personne ne voit (et peut-être plus encore quand personne ne voit, sauf lui) l'énormité de sa nostalgie.

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  49. Nadie podría adivinar tras esa calma, ese dominio de la situación que muestra aún cuando nadie ve (y quizá más aún cuando nadie, excepto él, ve), la enormidad de su nostalgia.

    Derrière son calme apparent, personne ne pourrait deviner cette maîtrise de la situation qui montre encore quand personne ne voit [? Super lourd] (et peut-être plus encore quand personne ne voit, sauf lui) l'énormité de sa nostalgie.

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  50. Nadie podría adivinar tras esa calma, ese dominio de la situación que muestra aún cuando nadie ve (y quizá más aún cuando nadie, excepto él, ve), la enormidad de su nostalgia.

    Derrière son calme apparent, personne ne pourrait deviner cette maîtrise de la situation qui, quand personne ne voit (et peut-être plus encore quand personne ne voit, sauf lui) montre l'énormité de sa nostalgie.

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  51. Nadie podría adivinar tras esa calma, ese dominio de la situación que muestra aún cuando nadie ve (y quizá más aún cuando nadie, excepto él, ve), la enormidad de su nostalgia.

    Derrière son calme apparent, personne ne pourrait deviner cette maîtrise de la situation qui, [et le « aun » ?] quand personne ne voit (et peut-être plus encore quand personne ne voit, sauf lui) montre l'énormité de sa nostalgie.

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  52. Nadie podría adivinar tras esa calma, ese dominio de la situación que muestra aún cuando nadie ve (y quizá más aún cuando nadie, excepto él, ve), la enormidad de su nostalgia.

    Derrière son calme apparent, de cette maîtrise de la situation qu'il affiche même quand on ne voit pas (et peut-être plus encore quand personne ne voit, sauf lui), personne ne pourrait deviner l'énormité de sa nostalgie.

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  53. Nadie podría adivinar tras esa calma, ese dominio de la situación que muestra aún cuando nadie ve (y quizá más aún cuando nadie, excepto él, ve), la enormidad de su nostalgia.

    Derrière son calme apparent, de [? pbs de construction] cette maîtrise de la situation qu'il affiche même quand on ne voit pas (et peut-être plus encore quand personne ne voit, sauf lui), personne ne pourrait deviner l'énormité de sa nostalgie.

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  54. Nadie podría adivinar tras esa calma, ese dominio de la situación que muestra aún cuando nadie ve (y quizá más aún cuando nadie, excepto él, ve), la enormidad de su nostalgia.

    Derrière son calme apparent et cette maîtrise de la situation qu'il affiche même quand on ne voit pas (et peut-être plus encore quand personne ne voit, sauf lui), personne ne pourrait deviner l'énormité de sa nostalgie.

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  55. Nadie podría adivinar tras esa calma, ese dominio de la situación que muestra aún cuando nadie ve (y quizá más aún cuando nadie, excepto él, ve), la enormidad de su nostalgia.

    Derrière son calme apparent et cette maîtrise de la situation qu'il affiche même quand on ne voit pas [c'est mieux, mais à partir de « même… », on ne comprend pas bien] (et peut-être plus encore quand personne ne voit, sauf lui), personne ne pourrait deviner l'énormité de sa nostalgie.

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  56. Nadie podría adivinar tras esa calma, ese dominio de la situación que muestra aún cuando nadie ve (y quizá más aún cuando nadie, excepto él, ve), la enormidad de su nostalgia.

    Derrière son calme apparent et la maîtrise de la situation qu'il affiche même quand personne ne regarde (et peut-être plus encore quand personne ne regarde, sauf lui), personne ne pourrait deviner l'énormité de sa nostalgie.

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  57. Nadie podría adivinar tras esa calma, ese dominio de la situación que muestra aún cuando nadie ve (y quizá más aún cuando nadie, excepto él, ve), la enormidad de su nostalgia.

    Derrière son calme apparent et la maîtrise de la situation qu'il affiche même quand personne ne regarde (et peut-être plus encore quand personne ne regarde, sauf lui), personne ne pourrait deviner l'énormité de sa nostalgie.

    OK.

    Elena ?

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  58. Derrière son calme apparent et la maîtrise de la situation qu'il affiche même quand personne ne regarde (et peut-être plus encore quand personne ne regarde, sauf lui), personne ne pourrait deviner l'énormité de sa nostalgie.

    OK.

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  59. El gato permanece en el alféizar. Sin impaciencia (con un esbozo de sonrisa incluso, como quien entiende que la realidad es sólo un juego) comprueba lo que ya sabe: las mandarinas se acabaron anoche.

    Le chat reste sur le rebord de la fenêtre. Sans la moindre impatience ( même en esquissant un sourire, comme celui qui comprend que la réalité n'est qu'un jeu), il constate ce qu'il sait déjà : les mandarines ont été terminées hier soir.

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  60. El gato permanece en el alféizar. Sin impaciencia (con un esbozo de sonrisa incluso, como quien entiende que la realidad es sólo un juego) comprueba lo que ya sabe: las mandarinas se acabaron anoche.

    Le chat reste sur le rebord de la fenêtre. Sans la moindre impatience ( même en esquissant un sourire, comme celui qui comprend que la réalité n'est qu'un jeu), il constate ce qu'il sait déjà : les mandarines ont été terminées hier soir.

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  61. El gato permanece en el alféizar. Sin impaciencia (con un esbozo de sonrisa incluso, como quien entiende que la realidad es sólo un juego) comprueba lo que ya sabe: las mandarinas se acabaron anoche.

    Le chat reste sur le rebord de la fenêtre. Sans la moindre impatience ( [espace en trop]même en esquissant [syntaxe] un sourire, comme celui qui comprend que la réalité n'est qu'un jeu), il constate ce qu'il sait déjà : les mandarines ont été terminées hier soir.

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  62. El gato permanece en el alféizar. Sin impaciencia (con un esbozo de sonrisa incluso, como quien entiende que la realidad es sólo un juego) comprueba lo que ya sabe: las mandarinas se acabaron anoche.

    Le chat reste sur le rebord de la fenêtre. Sans la moindre impatience (esquissant même un sourire, comme celui qui comprend que la réalité n'est qu'un jeu), il constate ce qu'il sait déjà : les mandarines ont été terminées hier soir.

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  63. El gato permanece en el alféizar. Sin impaciencia (con un esbozo de sonrisa incluso, como quien entiende que la realidad es sólo un juego) comprueba lo que ya sabe: las mandarinas se acabaron anoche.

    Le chat reste sur le rebord de la fenêtre. Sans la moindre impatience (esquissant même un sourire, comme celui qui comprend que la réalité n'est qu'un jeu), il constate ce qu'il sait déjà : les mandarines ont été terminées hier soir.

    OK.

    Elena ?

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  64. Le chat reste sur le rebord de la fenêtre. Sans la moindre impatience (esquissant même un sourire, comme celui qui comprend que la réalité n'est qu'un jeu), il constate ce qu'il sait déjà : les mandarines ont été terminées hier soir.

    OK.

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