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mardi 20 mars 2018

Projet Justine / Elena – texte 201

Cuadrojo

Vierte agua en el cantero de los rosales. Mañana cortará los pimpollos para llevárselos a ella. Serán las bodas de oro y es el único modo de comu- nicación que la vida, o la muerte (quién podría decidirlo), ha dejado. Son las siete treinta de la tarde: falta una hora. Aníbal no lo sabe.  Tanda publicitaria, violencia y horror sin solución de continuidad. El dolor lo vuelve intolerante, apaga el televisor. Sus ojos se quedan fijos sobre la pantalla negra hasta que, por solidaridad tal vez, bajan hacia la palma izquierda. Es raro, no es su vieja artrosis, no son los huesos que duelen. Es la piel, las venas ennegrecidas que se hinchan y trazan un dibujo. Desde los bordes aparecen líneas, un laberinto cuyo centro es un hombre que duerme en posición fetal.  —Un cuadro. Alguien. Un cuadrojo.  No ha tomado alcohol, no sueña, no delira. Ha inventado una palabra, eso sí. Ha designado al hombre dormido como un cuadrojo, quizá porque su senectud haya fundido en una palabra la idea, poco elegante y engorrosa, de “veo un cuadro inexplicable en mi palma izquierda con mis propios ojos”.  El cuadrojo dormido le inspira temor, no porque lo intuya malo, sino poderoso. Quizá, si le regalara una rosa, si ahuecara la mano y depositase allí la flor en prenda de amistad, lo tendría de su lado. No, las rosas son de ella.  Ocho treinta. El cuadrojo cambia de posición. Aníbal contiene el aliento.

Traduction temporaire :

Tablœil

Il verse de l'eau sur le parterre des rosiers. Demain, comme ce sera leur noces d'or, il coupera les boutons pour les lui apporter. C'est le seul moyen de communication que la vie, ou la mort (qui pourrait en décider), leur a laissé. Il est sept heures et demie : plus qu'une heure. Anibal l'ignore. Page publicitaire, violence et horreur sans solution de continuité. La douleur le rend intolérant, il éteint la télévision. Ses yeux restent fixés sur l'écran noir, jusqu'à ce qu'ils se baissent vers sa paume gauche, peut-être par solidarité. Bizarre, ni sa vieille arthrose, ni ses os le font souffrir, mais sa peau, ses veines noircies qui gonflent et forment un dessin. Sur les bords apparaissent des lignes, un labyrinthe dont le centre est un homme endormi, en position fœtale. – Un tableau. Quelqu'un. Un tablœil. Il n'a pas bu d'alcool, ne rêve pas, ne délire pas. Il a inventé un mot, ça, oui. Il a choisi le terme tablœil pour désigner l'homme endormi, peut-être parce que sa vieillesse a fondu dans un mot l'idée, peu élégante et ennuyeuse, de « je vois de mes yeux vu un tableau inexplicable dans ma paume gauche ».  Le tablœil endormi lui inspire de la crainte, non parce qu'il le soupçonne d'être méchant, mais puissant. Peut-être que s'il lui offrait une rose, s'il déposait la fleur au creux de sa main en signe d'amitié, il l'aurait de son côté. Non, les roses sont à elle. Huit heures et demie. Le tablœil change de position. Aníbal retient son souffle.

51 commentaires:

  1. Cuadrojo
    Vierte agua en el cantero de los rosales.

    Tablœil [il s'agit d'un néologisme né de la fusion entre « cuadro » et « ojo » et explicité dans le texte]

    Il verse de l'eau sur le parterre des rosiers.

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  2. Cuadrojo
    Vierte agua en el cantero de los rosales.

    Tablœil

    Il verse de l'eau sur le parterre des rosiers.

    OK.

    Elena ?

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  3. Tablœil

    Il verse de l'eau sur le parterre des rosiers.

    OK.

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  4. Mañana cortará los pimpollos para llevárselos a ella. Serán las bodas de oro y es el único modo de comu- nicación que la vida, o la muerte (quién podría decidirlo), ha dejado.

    Demain, il coupera les boutons pour les lui apporter. Ils célébreront [pour éviter un « ce »]leurs noces d'or et c'est le seul moyen de communication que la vie, ou la mort (qui pourrait en décider), leur a laissé.

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  5. Mañana cortará los pimpollos para llevárselos a ella. Serán las bodas de oro y es el único modo de comu- nicación que la vida, o la muerte (quién podría decidirlo), ha dejado.

    Demain, il coupera les boutons pour les lui apporter. Ils célébreront [non, tu vas plutôt fusionner les deux phrases… Mets ça après « demain »] leurs noces d'or et c'est le seul moyen de communication que la vie, ou la mort (qui pourrait en décider), leur a laissé.

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  6. Mañana cortará los pimpollos para llevárselos a ella. Serán las bodas de oro y es el único modo de comu- nicación que la vida, o la muerte (quién podría decidirlo), ha dejado.

    Demain, ce sera leur noces d'or, il coupera les boutons pour les lui apporter. C'est le seul moyen de communication que la vie, ou la mort (qui pourrait en décider), leur a laissé.

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  7. Mañana cortará los pimpollos para llevárselos a ella. Serán las bodas de oro y es el único modo de comu- nicación que la vida, o la muerte (quién podría decidirlo), ha dejado.

    Demain, [« comme »] ce sera leur noces d'or, il coupera les boutons pour les lui apporter. C'est le seul moyen de communication que la vie, ou la mort (qui pourrait en décider), leur a laissé.

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  8. Mañana cortará los pimpollos para llevárselos a ella. Serán las bodas de oro y es el único modo de comu- nicación que la vida, o la muerte (quién podría decidirlo), ha dejado.

    Demain, comme ce sera leur noces d'or, il coupera les boutons pour les lui apporter. C'est le seul moyen de communication que la vie, ou la mort (qui pourrait en décider), leur a laissé.

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  9. Mañana cortará los pimpollos para llevárselos a ella. Serán las bodas de oro y es el único modo de comu- nicación que la vida, o la muerte (quién podría decidirlo), ha dejado.

    Demain, comme ce sera leur noces d'or, il coupera les boutons pour les lui apporter. C'est le seul moyen de communication que la vie, ou la mort (qui pourrait en décider), leur a laissé.

    OK.

    Elena ?

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  10. Demain, comme ce sera leur noces d'or, il coupera les boutons pour les lui apporter. C'est le seul moyen de communication que la vie, ou la mort (qui pourrait en décider), leur a laissé.

    OK.

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  11. Son las siete treinta de la tarde: falta una hora. Aníbal no lo sabe.

    Il est sept heures et demie : plus qu'une heure. Anibal l'ignore.

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  12. Son las siete treinta de la tarde: falta una hora. Aníbal no lo sabe.

    Il est sept heures et demie : plus qu'une heure. Anibal l'ignore.

    OK.

    Elena ?

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  13. Il est sept heures et demie : plus qu'une heure. Anibal l'ignore.

    OK.

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  14. Tanda publicitaria, violencia y horror sin solución de continuidad. El dolor lo vuelve intolerante, apaga el televisor. Sus ojos se quedan fijos sobre la pantalla negra hasta que, por solidaridad tal vez, bajan hacia la palma izquierda.

    Page publicitaire, violence et horreur sans solution de continuité. La douleur le rend intolérant, il éteint la télévision. Ses yeux restent fixés sur l'écran noir, jusqu'à ce que peut-être par solidarité, ils se baissent vers sa paume gauche.

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  15. Tanda publicitaria, violencia y horror sin solución de continuidad. El dolor lo vuelve intolerante, apaga el televisor. Sus ojos se quedan fijos sobre la pantalla negra hasta que, por solidaridad tal vez, bajan hacia la palma izquierda.

    Page [tu as bien vérifié ? Je ne dis pas que c'est faux…] publicitaire, violence et horreur sans solution de continuité. La douleur le rend intolérant, il éteint la télévision. Ses yeux restent fixés sur l'écran noir, jusqu'à ce que peut-être par solidarité [à la fin ? Essaie et vois ce que ça donne], ils se baissent vers sa paume gauche.

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  16. Tanda publicitaria, violencia y horror sin solución de continuidad. El dolor lo vuelve intolerante, apaga el televisor. Sus ojos se quedan fijos sobre la pantalla negra hasta que, por solidaridad tal vez, bajan hacia la palma izquierda.

    Page [tu as bien vérifié ? / Oui] publicitaire, violence et horreur sans solution de continuité. La douleur le rend intolérant, il éteint la télévision. Ses yeux restent fixés sur l'écran noir, jusqu'à ce qu'ils se baissent vers sa paume gauche, peut-être par solidarité.

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  17. Tanda publicitaria, violencia y horror sin solución de continuidad. El dolor lo vuelve intolerante, apaga el televisor. Sus ojos se quedan fijos sobre la pantalla negra hasta que, por solidaridad tal vez, bajan hacia la palma izquierda.

    Page publicitaire, violence et horreur sans solution de continuité. La douleur le rend intolérant, il éteint la télévision. Ses yeux restent fixés sur l'écran noir, jusqu'à ce qu'ils se baissent vers sa paume gauche, peut-être par solidarité.

    OK.

    Elena ?

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  18. Page publicitaire, violence et horreur sans solution de continuité. La douleur le rend intolérant, il éteint la télévision. Ses yeux restent fixés sur l'écran noir, jusqu'à ce qu'ils se baissent vers sa paume gauche, peut-être par solidarité.

    OK.

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  19. Es raro, no es su vieja artrosis, no son los huesos que duelen. Es la piel, las venas ennegrecidas que se hinchan y trazan un dibujo.

    C'est bizarre, ce n'est pas sa vieille arthrose, ce n'est pas ses os qui le font souffrir. C'est sa peau, ses veines noircies qui gonflent et forment un dessin.

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  20. Es raro, no es su vieja artrosis, no son los huesos que duelen. Es la piel, las venas ennegrecidas que se hinchan y trazan un dibujo.

    C'est bizarre, ce n'est [c'est + ce n'est + un c'est pour débuter la phrase d'après] pas sa vieille arthrose, ce n'est pas ses os qui le font souffrir. C'est sa peau, ses veines noircies qui gonflent et forment un dessin.

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  21. Es raro, no es su vieja artrosis, no son los huesos que duelen. Es la piel, las venas ennegrecidas que se hinchan y trazan un dibujo.

    Bizarre, ni sa vieille arthrose, ni ses os le font souffrir. C'est sa peau, ses veines noircies qui gonflent et forment un dessin.

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  22. *** Ou peut-être mieux :

    Es raro, no es su vieja artrosis, no son los huesos que duelen. Es la piel, las venas ennegrecidas que se hinchan y trazan un dibujo.

    Bizarre, ni sa vieille arthrose, ni ses os le font souffrir, mais sa peau, ses veines noircies qui gonflent et forment un dessin.

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  23. Es raro, no es su vieja artrosis, no son los huesos que duelen. Es la piel, las venas ennegrecidas que se hinchan y trazan un dibujo.

    Bizarre, ce n'est pas sa vieille arthrose, pas ses os qui le font souffrir. Mais sa peau, ses veines noircies qui gonflent et forment un dessin.

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  24. Es raro, no es su vieja artrosis, no son los huesos que duelen. Es la piel, las venas ennegrecidas que se hinchan y trazan un dibujo.

    Bizarre, ni sa vieille arthrose, ni ses os le font souffrir, mais sa peau, ses veines noircies qui gonflent et forment un dessin.

    OK.

    Justine ?

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  25. Es raro, no es su vieja artrosis, no son los huesos que duelen. Es la piel, las venas ennegrecidas que se hinchan y trazan un dibujo.

    Bizarre, ni sa vieille arthrose, ni ses os le font souffrir, mais sa peau, ses veines noircies qui gonflent et forment un dessin.

    OK.

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  26. Desde los bordes aparecen líneas, un laberinto cuyo centro es un hombre que duerme en posición fetal.
    —Un cuadro. Alguien. Un cuadrojo. No ha tomado alcohol, no sueña, no delira. Ha inventado una palabra, eso sí.

    Depuis les bords apparaissent des lignes, un labyrinthe dont le centre est un homme qui dort en position fœtale.
    – Un tableau. Quelqu'un. Un tablœil. Il n'a pas bu d'alcool, ne rêve pas, ne délire pas. Il a inventé un mot, ça, oui.

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  27. Desde los bordes aparecen líneas, un laberinto cuyo centro es un hombre que duerme en posición fetal.
    —Un cuadro. Alguien. Un cuadrojo. No ha tomado alcohol, no sueña, no delira. Ha inventado una palabra, eso sí.

    Depuis [« Sur » ?] les bords apparaissent des lignes, un labyrinthe dont le centre est un homme qui dort [« endormi, » ?] en position fœtale.
    – Un tableau. Quelqu'un. Un tablœil. Il n'a pas bu d'alcool, ne rêve pas, ne délire pas. Il a inventé un mot, ça, oui.

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  28. Desde los bordes aparecen líneas, un laberinto cuyo centro es un hombre que duerme en posición fetal.
    —Un cuadro. Alguien. Un cuadrojo. No ha tomado alcohol, no sueña, no delira. Ha inventado una palabra, eso sí.

    Sur les bords apparaissent des lignes, un labyrinthe dont le centre est un homme endormi en position fœtale.
    – Un tableau. Quelqu'un. Un tablœil. Il n'a pas bu d'alcool, ne rêve pas, ne délire pas. Il a inventé un mot, ça, oui.

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  29. Desde los bordes aparecen líneas, un laberinto cuyo centro es un hombre que duerme en posición fetal.
    —Un cuadro. Alguien. Un cuadrojo. No ha tomado alcohol, no sueña, no delira. Ha inventado una palabra, eso sí.

    Sur les bords apparaissent des lignes, un labyrinthe dont le centre est un homme endormi en position fœtale.
    – Un tableau. Quelqu'un. Un tablœil. Il n'a pas bu d'alcool, ne rêve pas, ne délire pas. Il a inventé un mot, ça, oui.

    OK.

    Justine ?

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  30. Desde los bordes aparecen líneas, un laberinto cuyo centro es un hombre que duerme en posición fetal.
    —Un cuadro. Alguien. Un cuadrojo. No ha tomado alcohol, no sueña, no delira. Ha inventado una palabra, eso sí.

    Sur les bords apparaissent des lignes, un labyrinthe dont le centre est un homme endormi, en position fœtale.
    – Un tableau. Quelqu'un. Un tablœil. Il n'a pas bu d'alcool, ne rêve pas, ne délire pas. Il a inventé un mot, ça, oui.

    OK.

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  31. Ha designado al hombre dormido como un cuadrojo, quizá porque su senectud haya fundido en una palabra la idea, poco elegante y engorrosa, de “veo un cuadro inexplicable en mi palma izquierda con mis propios ojos”.

    Il a désigné l'homme endormi comme un tablœil, peut-être parce que sa vieillesse a fondu dans un mot l'idée peu élégante et ennuyeuse de « j'ai vu de mes yeux vu un tableau inexplicable dans ma paume gauche ».

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  32. Ha designado al hombre dormido como un cuadrojo, quizá porque su senectud haya fundido en una palabra la idea, poco elegante y engorrosa, de “veo un cuadro inexplicable en mi palma izquierda con mis propios ojos”.

    Il a désigné l'homme endormi comme un [clair ?] tablœil, peut-être parce que sa vieillesse a fondu dans un mot l'idée peu élégante et ennuyeuse de « j'ai vu [temps] de mes yeux vu un tableau inexplicable dans ma paume gauche ».

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  33. Ha designado al hombre dormido como un cuadrojo, quizá porque su senectud haya fundido en una palabra la idea, poco elegante y engorrosa, de “veo un cuadro inexplicable en mi palma izquierda con mis propios ojos”.

    Il a choisi le terme tablœil pour désigner l'homme endormi, peut-être parce que sa vieillesse a fondu dans un mot l'idée peu élégante et ennuyeuse de « je vois de mes yeux vu un tableau inexplicable dans ma paume gauche ».

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  34. Ha designado al hombre dormido como un cuadrojo, quizá porque su senectud haya fundido en una palabra la idea, poco elegante y engorrosa, de “veo un cuadro inexplicable en mi palma izquierda con mis propios ojos”.

    Il a choisi le terme tablœil pour désigner l'homme endormi, peut-être parce que sa vieillesse a fondu dans un mot l'idée peu élégante et ennuyeuse de « je vois de mes yeux vu un tableau inexplicable dans ma paume gauche ».

    OK.

    Elena ?

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  35. Il a choisi le terme tablœil pour désigner l'homme endormi, peut-être parce que sa vieillesse a fondu dans un mot l'idée, peu élégante et ennuyeuse, de « je vois de mes yeux vu un tableau inexplicable dans ma paume gauche ».

    OK.

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  36. El cuadrojo dormido le inspira temor, no porque lo intuya malo, sino poderoso. Quizá, si le regalara una rosa, si ahuecara la mano y depositase allí la flor en prenda de amistad, lo tendría de su lado. No, las rosas son de ella.
    Ocho treinta. El cuadrojo cambia de posición. Aníbal contiene el aliento.

    Le tablœil endormi lui inspire de la crainte, non pas parce qu'il le pressent méchant, mais puissant. Peut-être que s'il lui offrait une rose, s'il déposait la fleur au creux de sa main en signe d'amitié, il l'aurait de son côté. Non, les roses sont à elle.
    Huit heures et demie. Le tablœil change de position. Anibal retient son souffle.

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  37. El cuadrojo dormido le inspira temor, no porque lo intuya malo, sino poderoso. Quizá, si le regalara una rosa, si ahuecara la mano y depositase allí la flor en prenda de amistad, lo tendría de su lado.

    Le tablœil endormi lui inspire de la crainte, non pas parce qu'il le devine méchant, mais puissant. Peut-être que s'il lui offrait une rose, s'il déposait la fleur au creux de sa main en signe d'amitié, il l'aurait de son côté.

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  38. El cuadrojo dormido le inspira temor, no porque lo intuya malo, sino poderoso. Quizá, si le regalara una rosa, si ahuecara la mano y depositase allí la flor en prenda de amistad, lo tendría de su lado.

    Le tablœil endormi lui inspire de la crainte, non pas [nécessaire ?] parce qu'il le devine [naturel ?] méchant, mais puissant. Peut-être que s'il lui offrait une rose, s'il déposait la fleur au creux de sa main en signe d'amitié, il l'aurait de son côté.

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  39. El cuadrojo dormido le inspira temor, no porque lo intuya malo, sino poderoso. Quizá, si le regalara una rosa, si ahuecara la mano y depositase allí la flor en prenda de amistad, lo tendría de su lado.

    Le tablœil endormi lui inspire de la crainte, non parce qu'il le soupçonne d'être méchant, mais puissant. Peut-être que s'il lui offrait une rose, s'il déposait la fleur au creux de sa main en signe d'amitié, il l'aurait de son côté.

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  40. El cuadrojo dormido le inspira temor, no porque lo intuya malo, sino poderoso. Quizá, si le regalara una rosa, si ahuecara la mano y depositase allí la flor en prenda de amistad, lo tendría de su lado.

    Le tablœil endormi lui inspire de la crainte, non parce qu'il le soupçonne d'être méchant, mais puissant. Peut-être que s'il lui offrait une rose, s'il déposait la fleur au creux de sa main en signe d'amitié, il l'aurait de son côté.

    OK.

    Elena ?

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  41. Le tablœil endormi lui inspire de la crainte, non parce qu'il le soupçonne d'être méchant, mais puissant. Peut-être que s'il lui offrait une rose, s'il déposait la fleur au creux de sa main en signe d'amitié, il l'aurait de son côté.

    OK.

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  42. No, las rosas son de ella.
    Ocho treinta. El cuadrojo cambia de posición. Aníbal contiene el aliento.

    Non, les roses sont à elle.
    Huit heures et demie. Le tablœil change de position. Anibal retient son souffle.

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  43. No, las rosas son de ella.
    Ocho treinta. El cuadrojo cambia de posición. Aníbal contiene el aliento.

    Non, les roses sont à elle.
    Huit heures et demie. Le tablœil change de position. Anibal [l'accent] retient son souffle.

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  44. No, las rosas son de ella.
    Ocho treinta. El cuadrojo cambia de posición. Aníbal contiene el aliento.

    Non, les roses sont à elle.
    Huit heures et demie. Le tablœil change de position. Aníbal retient son souffle.

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  45. No, las rosas son de ella.
    Ocho treinta. El cuadrojo cambia de posición. Aníbal contiene el aliento.

    Non, les roses sont à elle.
    Huit heures et demie. Le tablœil change de position. Aníbal retient son souffle.

    OK.

    Elena ?

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  46. Non, les roses sont à elle.
    Huit heures et demie. Le tablœil change de position. Aníbal retient son souffle.

    OK.

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