Non, toujours pas… Je te demande quelque chose de beaucoup plus simple, mais que tu ne trouves pas parce que tu ne lis pas la phrase à voix haute – le secret pour réussir les dialogues.
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1) J’ai traduit « dudas » par «ambiguïté», car on a déjà utilisé «doutes» à deux reprises.
RépondreSupprimer2) Il faudrait mettre Poseídas en italiques, merci.
Il n’y avait aucune ambiguïté, Poseídas lui appartenait, c’était son roman.
No había dudas de que “Poseídas” era suya, su novela.
RépondreSupprimerDébrouille-toi pour faire plus synthétique – car plus catégorique (dans l'esprit du personnage).
Aucune ambiguïté possible : Poseídas lui appartenait, c'était son roman.
RépondreSupprimerOui, et même…, je crois que tu peux ajouter encore un petit quelque chose à la fin pour insister. Je t'écoute.
RépondreSupprimerAucune ambiguïté possible : Poseídas lui appartenait, c'était son roman, il en était l'auteur.
RépondreSupprimerNon, Justine ; quelque chose de beaucoup plus simple.
RépondreSupprimerAucune ambiguïté possible : Poseídas lui appartenait, c'était son roman, ni plus ni moins.
RépondreSupprimerNon, toujours pas… Je te demande quelque chose de beaucoup plus simple, mais que tu ne trouves pas parce que tu ne lis pas la phrase à voix haute – le secret pour réussir les dialogues.
RépondreSupprimerAucune ambiguïté possible : Poseídas lui appartenait, c'était son roman, un point c'est tout.
RépondreSupprimerJ'ai presque envie de te faire lanterner encore, mais allez, je t'aide :
RépondreSupprimerAucune ambiguïté : Poseídas lui appartenait, c'était son roman à lui !
OK ?
Je valide.
RépondreSupprimerAucune ambiguïté possible : Poseídas lui appartenait, c'était son roman à lui !