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lundi 21 mai 2012

Les Pachacamac – phrases 25-30

—Ya calla, le decía Rogelio a Pablo, doblándose de risa por el chiste de turno de su hermano.
—Sí, Roger, eso escuché en la radio. Los “otros” nos dicen motelitos allá en la ciudad. Yo les digo a ellos, guacamayos.
—¿Por qué?
—Porque son de todos los colores y cotorrean como loros.

Traduction temporaire :
— Allez, arrête maintenant Pablo, suppliait Rogelio, que la blague de son frère faisait se tordre de rire.
— Si, Roger, je t'assure, je l'ai entendu à la radio. Les « autres », là-bas, en ville, ils disent qu'on est des tortues. Eh bien moi, du coup, je les traite de perroquets.
— Pourquoi ?
— Parce qu'ils sont de toutes les couleurs et passent leur temps à jacasser.

6 commentaires:

  1. — Ça suffit Pablo, suppliait Rogelio en se tordant de rire à propos de la blague de service de son frère.
    — Oui, Roger, j'ai entendu ça à la radio. Les « autres » nous traitent de petites tortues, là-bas, à la ville. Eh bien moi, je les traite d'Aras.
    — Pourquoi ?
    — Parce qu'ils sont de toutes les couleurs et asent comme des perroquets.

    Je ne vois pas comment traduire « chiste de turno »

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  2. 1) « Ça suffit » est trop impératif et mal contextualisé par rapport au reste.

    2) « à propos » ne va pas du tout.

    3) « blague de service » ???????? Ça ne veut rien dire. Attention aux traductions plaquées du dictionnaire bilingue. Garde du recul et ton jugement critique !!!!!

    4) « Oui » ; je pense que là, c'est un petit FS.

    5) « J'ai entendu ÇA… » fait partie du petit FS en question.

    6) « petites tortues »… Sûres ?

    7) « en ville », je pense…

    8) « aras »… bof… pas très parlant et, en l'occurrence, pas très marrant. Or tu es supposée illustrer l'idée qu'il est amusant.

    9) « asent » ?

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  3. — Arrête maintenant Pablo, suppliait Rogelio en se tordant de rire à la blague de son frère.
    — Si, Roger, je l'ai entendu à la radio. Les « autres » nous traitent de petites tortues, là-bas, en ville. Eh bien moi, je les traite d'oiseaux des îles.
    — Pourquoi ?
    — Parce qu'ils sont de toutes les couleurs et jacassent comme des perroquets.

    "Motelo" est une espèce de tortue visiblement

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  4. Quelques modifs :

    — Allez, arrête maintenant Pablo, suppliait Rogelio, que la blague de son frère faisait se tordre de rire.
    — Si, Roger, je t'assure, l'ai entendu à la radio. Les « autres », là-bas, en ville, ils disent qu'on est des tortues. Eh bien moi, du coup, moi, je les traite de perroquets.
    — Pourquoi ?
    — Parce qu'ils sont de toutes les couleurs et passent leur temps à jacasser.

    OK ?

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  5. — Allez, arrête maintenant Pablo, suppliait Rogelio, que la blague de son frère faisait se tordre de rire.
    — Si, Roger, je t'assure, l'ai entendu à la radio. Les « autres », là-bas, en ville, ils disent qu'on est des tortues. Eh bien moi, du coup, moi, je les traite de perroquets.
    — Pourquoi ?
    — Parce qu'ils sont de toutes les couleurs et passent leur temps à — Allez, arrête maintenant Pablo, suppliait Rogelio, que la blague de son frère faisait se tordre de rire.
    — Si, Roger, je t'assure, l'ai entendu à la radio. Les « autres », là-bas, en ville, ils disent qu'on est des tortues. Eh bien moi, du coup, moi, je les traite de perroquets.
    — Pourquoi ?
    — Parce qu'ils sont de toutes les couleurs et passent leur temps à jacasser.

    jacasser.

    Ok, mais je crois que dans ce morceau de phrase : « — Si, Roger, je t'assure, l'ai entendu à la radio.», il manque un « l' » et que dans cet autre morceau de phrase : «Eh bien moi, du coup, moi, je les traite de perroquets.
    », il y a un « moi » en trop.

    Ce qui donnerait :

    — Allez, arrête maintenant Pablo, suppliait Rogelio, que la blague de son frère faisait se tordre de rire.
    — Si, Roger, je t'assure, je l'ai entendu à la radio. Les « autres », là-bas, en ville, ils disent qu'on est des tortues. Eh bien moi, du coup, je les traite de perroquets.
    — Pourquoi ?
    — Parce qu'ils sont de toutes les couleurs et passent leur temps à jacasser.

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  6. — Allez, arrête maintenant Pablo, suppliait Rogelio, que la blague de son frère faisait se tordre de rire.
    — Si, Roger, je t'assure, je l'ai entendu à la radio. Les « autres », là-bas, en ville, ils disent qu'on est des tortues. Eh bien moi, du coup, je les traite de perroquets.
    — Pourquoi ?
    — Parce qu'ils sont de toutes les couleurs et passent leur temps à jacasser.

    Perrine ?

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