Nadie ha conseguido suicidarse en quinientos años, quiero intentarlo, ¡imagínese!, saldremos en el noticiero de la media madrugada. ¿Por qué no será mejor dos arterias y una vena?”
Traduction temporaire :
Vu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai bien envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans le journal du matin ! Pourquoi la vie aurait-elle plus de valeur que deux artères et une veine ?
Vu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai bien envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans le journal du matin ! Pourquoi la vie aurait-elle plus de valeur que deux artères et une veine ?
Personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai envie d'essayer, vous imaginez, on serait dans le journal au petit matin ! Pourquoi ça ne sera pas le meilleur moyen de toucher deux artères et une veine ?
RépondreSupprimerCommence par « Vu que… » ; ça simplifiera la suite.
RépondreSupprimerMets un point après « essayer ».
« petit matin » ne va pas ici. Tu ne dirais jamais ça pour un journal. Attention de bien toujours te poser la question de l'usage (par-delà la trad littérale).
La fin de la phrase n'est pas compréhensible – pense à la l'usage du futur dans les hyptohèses.
Vu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans l'édition du matin ! Pourquoi la meilleure solution ne consisterait pas à toucher deux artères et une veine ?
RépondreSupprimerVu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai [BIEN ; vois, en fonction des deux ou trois phrases qui précèdent, si on peut ajouter cette cheville] envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans l'édition du matin [Il fait quand même que tu cases journal… La solution est le passage par l'adjectif « matinal »] ! Pourquoi la meilleure solution ne consisterait pas à toucher deux artères et une veine ?
RépondreSupprimerEn fait, je ne comprends pas la dernière phrase. Toi qui as tout le texte en tête, explique-moi.
Vu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai bien envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans le journal du matin ! Pourquoi la meilleure solution ne consisterait pas à toucher deux artères et une veine ?
RépondreSupprimerJe pense qu'elle s'interroge sur le "meilleur moyen" de se suicider.
Vu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai bien envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans le journal du matin ! Pourquoi la meilleure solution ne consisterait pas à toucher deux artères et une veine ?
RépondreSupprimerJ'attends l'avis de Perrine sur cette dernière phrase… et je te mets la suite.
Je pense qu'elle fait référence au cordon ombilical qui est formé de deux artères et d'une veine comme elle l'explique précédemment, et qu'elle se demande si la vie a plus de valeur que deux artères et une veine. Qu'en pensez-vous ?
RépondreSupprimerJe vous propose donc :
Vu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai bien envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans le journal du matin ! Pourquoi la vie aurait-elle plus de valeur que deux artères et une veine ?
Vu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai bien envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans le journal du matin ! Pourquoi la vie aurait-elle plus de valeur que deux artères et une veine ?
RépondreSupprimerJustine, qu'en penses-tu ?
Vu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai bien envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans le journal du matin ! Pourquoi la vie aurait-elle plus de valeur que deux artères et une veine ?
RépondreSupprimerOK pour moi.
Franchement, je ne suis pas du tout certaine de l'interprétation de cette dernière phrase et je vous demande de la re-regarder de près quand vous relirez… avec l'ensemble sous les yeux.
RépondreSupprimerEn y re-réfléchissant, je me dis que cette question n'aurait pas de sens… Je m'explique : Si elle fait effectivement référence au cordon ombilical, elle ne peut pas demander pourquoi il aurait plus de valeur que la vie elle-même, sachant que c'est un élément essentiel au début de la vie…
RépondreSupprimerMoi, je serais tentée de revenir à ma première interprétation à savoir qu'elle se demande quel serait le meilleur moyen de se suicider, ça me semble plus logique, non ?
Vu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai bien envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans le journal du matin ! Pourquoi la meilleure solution ne consisterait pas à toucher deux artères et une veine ?
Je laisse Perrine répondre à tes remarques…
RépondreSupprimerAprès relecture de ce passage, je rejoins l'avis de Justine, elle cherche le meilleur moyen de se suicider.
RépondreSupprimerVu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai bien envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans le journal du matin ! Pourquoi la meilleure solution ne consisterait pas à toucher deux artères et une veine ?
Vu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai bien envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans le journal du matin ! Pourquoi la meilleure solution ne consisterait pas à toucher deux artères et une veine ?
RépondreSupprimerLe problème que j'ai est le suivant : croyez-vous qu'un lecteur francophone lambda comprendra ? Et n'est-il pas nécessaire d'expliciter ? Faites un test autour de vous…, en demandant à vos proches ou, Perrine, à ton chat ;-)
Nouvelle proposiurion :
RépondreSupprimerVu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai bien envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans le journal du matin ! Pourquoi la meilleure solution pour ne pas se louper ne consisterait pas à toucher deux artères et une veine ?
Vu que personne n'a réussi à se suicider en cinq-cent ans, j'ai bien envie d'essayer. Vous imaginez, on serait dans le journal du matin ! Pourquoi la meilleure solution pour ne pas se louper ne consisterait pas à toucher deux artères et une veine ?
RépondreSupprimerJe te propose de demander son avis à Elena sur ce dernier morceau de phrase, qui me fait vraiment douter… Tu lui envoies un mail ?