Ni el cura se atrevió a decirle nada a don Tálamo, sólo escuchó lo sucedido y decidió entrar nuevamente a la iglesia de madera, debido a que la sotana negra lo estaba cocinando vivo.
Traduction temporaire :
Le curé lui-même n’osa rien dire à don Tálamo, s'en tenant à entendre la relation des faits avant de décider de rentrer dans l'église en bois, car il étouffait littéralement sous sa soutane noire.
Le curé lui-même n’osa rien dire à don Tálamo, s'en tenant à entendre la relation des faits avant de décider de rentrer dans l'église en bois, car il étouffait littéralement sous sa soutane noire.
Ni el cura se atrevió a decirle nada a don Tálamo, sólo escuchó lo sucedido y decidió entrar nuevamente a la iglesia de madera, debido a que la sotana negra lo estaba cocinando vivo.
RépondreSupprimerLe curé non plus n’osa rien dire à don Tálamo, il s'en tint à la relation des faits et décida de rentrer dans l'église en bois, car il étouffait littéralement sous sa soutane noire.
Je pense qu'il faut rendre ce « Ni » du début – qui a du poids.
RépondreSupprimerJe l'ai rendu par "non plus". Faut-il chercher autre chose ?
RépondreSupprimerOui… Je pense que là, l'idée est que même lui…
RépondreSupprimerMême le curé n’osa rien dire à don Tálamo, il s'en tint à la relation des faits et décida de rentrer dans l'église en bois, car il étouffait littéralement sous sa soutane noire.
RépondreSupprimerMême le curé n’osa rien dire à don Tálamo, il s'en tint à la relation des faits et décida de rentrer dans l'église en bois, car il étouffait littéralement sous sa soutane noire.
RépondreSupprimerJe te propose :
Le curé lui-même n’osa rien dire à don Tálamo, s'en tenant à entendre la relation des faits avant de décider de rentrer dans l'église en bois, car il étouffait littéralement sous sa soutane noire.
OK ?
C'est ok !
RépondreSupprimerElena ?
RépondreSupprimerOui, très bien.
RépondreSupprimer