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mercredi 31 octobre 2012

Les Lituma – phrase 158

Aquel cuerpo que en algún momento sonrió y se enamoró, pero también increpó y odió, se convierte en un territorio abandonado a su suerte, invadido por hordas salvajes que reclaman derecho de ciudadanía ahí donde ya no queda más vida.

Traduction temporaire :
Ce corps qui, à un moment donné, a souri et est tombé amoureux, mais qui a aussi injurié et haï,  devient un territoire abandonné à son sort,  envahi par des hordes sauvages qui réclament le droit de cité là où la vie a disparu.

9 commentaires:

  1. Ce corps qui, à un moment, avait souri et était tombé amoureux, mais qui avait aussi injurié et haï, devient un territoire abandonné à son sort, envahi par des hordes sauvages qui réclame le droit de cité, là où il ne reste plus de vie.

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  2. Ce corps qui, à moment donné, a souri et est tombé amoureux, mais qui a aussi injurié et a haï, devient un territoire abandonné à son sort, envahi par des hordes sauvages qui réclament un droit de citoyenneté, là où il n’y a plus de vie.

    ***
    J'ai choisi de rendre ce "pretérito" par un passé composé car il ne fait pas partie du temps de la narration.

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  3. Non, là, Justine a raison de mettre le PQP – car cela fait référence à des événements antérieurs au temps du récit (le passé).

    « , à moment donné, » ; oui, pourquoi pas ?

    « qui réclament » ; oui, évidemment… Justine relis-toi !!!!!!

    « droit de cité » ou « citoyenneté » ? Vérifiez… en fonction du sens, surtout.

    Pas besoin de la virgule avant « là ».

    « où la vie a disparu ».

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  4. Ce corps qui, à un moment donné, avait souri et était tombé amoureux, mais qui avait aussi injurié et haï, devient un territoire abandonné à son sort, envahi par des hordes sauvages qui réclament le droit de cité là où la vie a disparu.

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  5. Ce corps qui, à un moment donné, avait souri et était tombé amoureux, mais qui avait aussi injurié et haï, devient un territoire abandonné à son sort, envahi par des hordes sauvages qui réclament le droit de cité là où la vie a disparu.

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  6. Ce corps qui, à un moment donné, avait souri et était tombé amoureux, mais qui avait aussi injurié et haï, devient un territoire abandonné à son sort, envahi par des hordes sauvages qui réclament le droit de cité là où la vie a disparu.

    Un doute de dernière minute : il fait référence au corps de son ami précisément (auquel cas : OK pour le PQP) ou au corps en général (auquel cas, c'était Sonita qui avait raison et il faut revenir au passé composé) ?

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  7. Je pense que là c'est au corps en général

    Ce corps qui, à un moment donné, a souri et est tombé amoureux, mais qui a aussi injurié et haï, devient un territoire abandonné à son sort, envahi par des hordes sauvages qui réclament le droit de cité là où la vie a disparu.

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  8. Ce corps qui, à un moment donné, a souri et est tombé amoureux, mais qui a aussi injurié et haï, devient un territoire abandonné à son sort, envahi par des hordes sauvages qui réclament le droit de cité là où la vie a disparu.

    OK.

    Validation d'une autre Lituma, svp.

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  9. Ce corps qui, à un moment donné, a souri et est tombé amoureux, mais qui a aussi injurié et haï, devient un territoire abandonné à son sort, envahi par des hordes sauvages qui réclament le droit de cité là où la vie a disparu.

    OK.

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