lundi 8 octobre 2012

Les Lunes – phrase 269

La sujeté por la muñeca y tiré de ella; apreté el paso como quien desea salvar su vida.

Traduction temporaire :
Je l'attrapai par le poignet et la tirai à moi ; je pressai le pas, comme quelqu'un qui cherche à sauver sa vie.

7 commentaires:

Unknown a dit…

Je l'attrapai par le poignet et je le lui retirai ; je pressai le pas comme quelqu'un qui veut sauver sa vie.

Tradabordo a dit…

« et je le lui retirai »… ; ça ne va pas. Visualise la scène.

Virgule avant « comme » ?

« veut » ou « cherche à » ?

Unknown a dit…

Je l'attrapai par le poignet et je la tirai vers moi ; je pressai le pas, comme quelqu'un qui cherche à sauver sa vie.

Tradabordo a dit…

Je l'attrapai par le poignet et je [crois-tu que ce deuxième « je » est vraiment nécessaire ?] la tirai vers [« vers » ou « à » ?] – moi ; je pressai le pas, comme quelqu'un qui cherche à sauver sa vie.

Unknown a dit…

Je l'attrapai par le poignet et la tirai à moi ; je pressai le pas, comme quelqu'un qui cherche à sauver sa vie.

J'hésite encore pour "vers moi" / "à moi".
Et non, ce "je" n'est pas nécessaire, j'ai ce petit défaut à répéter les pronoms, il faut que je m'en sépare vite !

Tradabordo a dit…

Je l'attrapai par le poignet et la tirai à moi ; je pressai le pas, comme quelqu'un qui cherche à sauver sa vie.

Validation d'une autre Lune, svp.

Hélène a dit…

Je l'attrapai par le poignet et la tirai à moi ; je pressai le pas, comme quelqu'un qui cherche à sauver sa vie.


Ok.