“Maestro, ¿a quién se le debe Guérnica? ¿A Picasso o al Nazismo que lanzó las bombas que destruirán la ciudad mártir y darían nacimiento a ese cuadro muriéndose, desangrándose?
Traduction temporaire :
“Maître, à qui doit-on Guernica ? À Picasso ou au Nazisme, qui lança les bombes qui allaient détruire la ville martyre et donneraient naissance à ce tableau agonisant, se vidant de son sang ?
“Maître, à qui doit-on Guernica ? À Picasso ou au Nazisme, qui lança les bombes qui allaient détruire la ville martyre et donneraient naissance à ce tableau agonisant, se vidant de son sang ?
“Maître, à qui doit-on Guernica ? A Picasso ou au Nazisme qui lança les bombes qui détruiraient la ville martyre et donneraient naissance à ce tableau qui se meurt, qui se vide de son sang ?
RépondreSupprimer“Maître, à qui doit-on Guernica ? A [accentue les majuscules] Picasso ou au Nazisme [virgule] qui lança les bombes qui détruiraient [« allaient détruire » ?] la ville martyre et donneraient naissance à ce tableau qui se meurt, qui se vide de son sang ?
RépondreSupprimer“Maître, à qui doit-on Guernica ? À Picasso ou au Nazisme, qui lança les bombes qui allaient détruire la ville martyre et donneraient naissance à ce tableau qui se meurt, qui se vide de son sang ?
RépondreSupprimer“Maître, à qui doit-on Guernica ? À Picasso ou au Nazisme, qui lança les bombes qui allaient détruire la ville martyre et donneraient naissance à ce tableau qui se meurt, qui se vide de son sang ?
RépondreSupprimerUn moyen de faire sans l'enchaînement des deux « qui » – un peu problématique en ce qu'ils ne sont pas sur le même plan ?
“Maître, à qui doit-on Guernica ? À Picasso ou au Nazisme, qui lança les bombes qui allaient détruire la ville martyre et donneraient naissance à ce tableau qui se meurt, en se vidant de son sang ?
RépondreSupprimer“Maître, à qui doit-on Guernica ? À Picasso ou au Nazisme, qui lança les bombes qui allaient détruire la ville martyre et donneraient naissance à ce tableau qui se meurt, en se vidant de son sang ?
RépondreSupprimerJe te propose pour éviter tous ces « qui » :
“Maître, à qui doit-on Guernica ? À Picasso ou au Nazisme, qui lança les bombes qui allaient détruire la ville martyre et donneraient naissance à ce tableau agonisant, se vidant de son sang ?
Qu'en penses-tu ?
Oui, c'est bien.
RépondreSupprimer“Maître, à qui doit-on Guernica ? À Picasso ou au Nazisme, qui lança les bombes qui allaient détruire la ville martyre et donneraient naissance à ce tableau agonisant, se vidant de son sang ?