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lundi 26 novembre 2012

Les Pikimachay – phrases 175-176

Entonces, poco a poco nuestras dudas fueron desapareciendo, porque sabíamos lo sagrada que era tu madre para ti, que con ella nunca te jugabas. Y continuaste.

Traduction temporaire :
Après ça, peu à peu, on n'a plus douté, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.

9 commentaires:

  1. Après ça, petit à petit, nos doutes ont disparu, parce qu'on savait bien à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as repris.

    On a déjà "continuer" plusieurs fois dans le texte.

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  2. Après ça, petit à petit [ou « peu à peu »], nos doutes ont disparu, parce qu'on savait bien [pas besoin] à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as repris [ou « poursuivre » ?].

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  3. Après ça, peu à peu, nos doutes ont disparu, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.

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  4. Après ça, peu à peu, nos doutes ont disparu, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.

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  5. Après ça, peu à peu, nos doutes ont disparu, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.

    Il y avait un petit truc que je ne trouvais pas naturel ; je vous propose :

    Après ça, peu à peu, on a arrêté de douter, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.

    OK ?

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  6. Après ça, peu à peu, on a arrêté de douter, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.

    On a déjà pas mal de fois "arrêter" dans les phrases précédentes... Je tente autre chose :

    Après ça, peu à peu, on n'a plus douté, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.

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  7. Après ça, peu à peu, on n'a plus douté, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.

    OK.

    Julie ?

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  8. Après ça, peu à peu, on n'a plus douté, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.

    Ok :)

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  9. Après ça, peu à peu, on n'a plus douté, parce qu'on savait à quel point ta mère était sacrée pour toi, qu'avec elle, tu plaisantais jamais. Et t'as poursuivi.

    Ok!

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