Pages

lundi 5 novembre 2012

Projet Elena – phrase 6

Así que mis pasos terminaron llevándome al cementerio de la ciudad donde las bancas vacías, de tanto en tanto ocupadas por algún jubilado, vagabundo o solitario, brillaban bajo el cielo del verano.

Traduction temporaire :
Voilà comment mes pas finirent par me conduire au cimetière de la ville, où les bancs vides, occupés de temps à autre par quelque retraité, vagabond ou solitaire, brillaient sous le soleil estival.

5 commentaires:

  1. Si bien que mes pas finirent par me conduire jusqu’au cimetière de la ville où les bancs vides, de temps à autre occupés par quelque retraité, vagabond ou solitaire, brillaient sous le soleil de l’été.

    RépondreSupprimer
  2. Si bien que [passe par « ainsi » ; on évitera un « que »] mes pas finirent par me conduire [ici, on dirait « porter »] jusqu’au [pourquoi « jusque » ?] cimetière de la ville [virgule] où les bancs vides, de temps à autre occupés par quelque retraité, vagabond ou solitaire, brillaient sous le soleil de l’été [ou avec l'adjectif ?].

    RépondreSupprimer
  3. Nous avons un "ainsi" au tout début : J'avais arpenté la ville toute la matinée, cherchant ainsi à repousser mon retour et la dispute qui s'en suivrait.

    De cette manière mes pas finirent par me conduire au cimetière de la ville, où les bancs vides, de temps à autre occupés par quelque retraité, vagabond ou solitaire, brillaient sous le soleil estival.

    RépondreSupprimer
  4. De cette manière mes pas finirent par me conduire au cimetière de la ville, où les bancs vides, de temps à autre occupés par quelque retraité, vagabond ou solitaire, brillaient sous le soleil estival.

    Je te propose :

    Voilà comment mes pas finirent par me conduire au cimetière de la ville, où les bancs vides, occupés de temps à autre par quelque retraité, vagabond ou solitaire, brillaient sous le soleil estival.

    OK ?

    RépondreSupprimer
  5. Voilà comment mes pas finirent par me conduire au cimetière de la ville, où les bancs vides, occupés de temps à autre par quelque retraité, vagabond ou solitaire, brillaient sous le soleil estival.

    OK !

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.