Si bien esa noche en que nos contaste guardamos un poco el matiz serio que trataste de darle a tu relato, el sábado siguiente todo cambió, sólo hablamos de lo que te atreviste a contarnos y te fastidiamos harto con eso.
Traduction temporaire :
Et si cette nuit-là, où tu nous as raconté tout ça, on a un peu gardé le ton sérieux que t'as voulu donner à ton récit, le samedi d'après, ça a changé : on n'a parlé que de ce que t'avais osé nous raconter et on s'est bien foutus de toi avec ça.
Et si cette nuit-là, où tu nous as raconté tout ça, on a un peu gardé le ton sérieux que t'as voulu donner à ton récit, le samedi d'après, ça a changé : on n'a parlé que de ce que t'avais osé nous raconter et on s'est bien foutus de toi avec ça.
Et même si à cette soirée où tu nous as raconté ton histoire on a gardé le ton sérieux que t'as tenté de lui donner, le samedi suivant, tout a changé : on n'a parlé que de ce que t'avais osé nous raconter et on t'a bien saoulé avec ça.
RépondreSupprimerEt même [le « même » est-il nécessaire ?] si à cette soirée [pourquoi tu changes ?] où tu nous as raconté ton histoire [virgule] on a gardé [et « un poco » ?] le ton sérieux que t'as tenté de lui donner [et « tu relato » ?], le samedi suivant [ou « d'après » ?], tout a changé : on n'a parlé que de ce que t'avais osé nous raconter et on t'a bien saoulé [« foutu de toi » / « pris la tête » / « charrier » ?] avec ça.
RépondreSupprimerEt si cette nuit-là, où tu nous as raconté ton histoire, on a un peu gardé le ton sérieux que t'as tenté de donner à ton récit, le samedi d'après, tout a changé : on n'a parlé que de ce que t'avais osé nous raconter et on s'est bien foutus de toi avec ça.
RépondreSupprimerEn fait, j'avais traduit "relato" mais je l'ai mis avant. Parce qu'en espagnol, on a qu'une seule fois "relato". On doit le mettre deux fois en français? J'avais cherché une tournure qui évitait la répétition.
RépondreSupprimerEt si cette nuit-là, où tu nous as raconté ton histoire, on a un peu gardé le ton sérieux que t'as tenté [ou « voulu » ?] de donner à ton récit, le samedi d'après, tout [on devrait supprimer] a changé : on n'a parlé que de ce que t'avais osé nous raconter et on s'est bien foutus de toi avec ça.
RépondreSupprimerEt si cette nuit-là, où tu nous as raconté ton histoire, on a un peu gardé le ton sérieux que t'as voulu donner à ton récit, le samedi d'après, tout a changé : on n'a parlé que de ce que t'avais osé nous raconter et on s'est bien foutus de toi avec ça.
RépondreSupprimerDu coup on garde "histoire" + "récit" ?
Je n'ai pas compris ce qu'il fallait supprimer ? Le "tout" ?
Et si cette nuit-là, où tu nous as raconté ton histoire [« tout ça » ?], on a un peu gardé le ton sérieux que t'as voulu donner à ton récit, le samedi d'après, tout [« ça » ?] a changé : on n'a parlé que de ce que t'avais osé nous raconter et on s'est bien foutus de toi avec ça.
RépondreSupprimerEt si cette nuit-là, où tu nous as raconté tout ça, on a un peu gardé le ton sérieux que t'as voulu donner à ton récit, le samedi d'après, ça a changé : on n'a parlé que de ce que t'avais osé nous raconter et on s'est bien foutus de toi avec ça.
RépondreSupprimerEt si cette nuit-là, où tu nous as raconté tout ça, on a un peu gardé le ton sérieux que t'as voulu donner à ton récit, le samedi d'après, ça a changé : on n'a parlé que de ce que t'avais osé nous raconter et on s'est bien foutus de toi avec ça.
RépondreSupprimerOK.
Manon ?