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mardi 22 janvier 2013

Projet Sonita 5 – phrases 48-49

 "¿Estás loca?", me dice, y que ya no le contesto. ¡Nombre!, para qué te cuento.

Traduction temporaire :
« Tu es folle ? », me dit-il et moi, pour la peine, je ne lui réponds pas. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.

7 commentaires:

  1. « Tu es folle ? », me demande-t-il et moi, je ne le calcule plus. Oh, et puis zut ! Pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.

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  2. « Tu es folle ? », me demande-t-il [non, parce que ça n'est pas une vraie question] et moi, je ne le calcule plus [??????????????]. Oh, et puis zut ! [cheville : « Je me demande bien »] Pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.

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  3. « Tu es folle ? », me dit-il et moi, je ne lui réponds plus. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.

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  4. « Tu es folle ? », me dit-il et moi, [je ne comprends pas le « y que » de l'espagnol] je ne lui réponds plus. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.

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  5. J'ai l'impression que cet "y que", très utilisé à l'oral, au Mexique, est un tic du langage et c'est pourquoi j'ai opté pour ne pas le traduire...
    Maintenant que tu me le demandes, je pense que c'est peut-être un "alors". C'est bizarre de le mettre dans cette phrase, je crois.

    Un essai.

    ***
    « Tu es folle ? », me dit-il et moi, alors, je ne lui réponds plus. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.

    ***
    Si on part du fait que le "y que" représente une conséquence on pourrait peut-être opter pour "pour la peine" ?

    *
    « Tu es folle ? », me dit-il et moi, pour la peine, je ne lui réponds plus. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.

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  6. Ok pour cette version avec un mini-changement :

    « Tu es folle ? », me dit-il et moi, pour la peine, je ne lui réponds pas. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.

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  7. OK.

    « Tu es folle ? », me dit-il et moi, pour la peine, je ne lui réponds pas. Oh, et puis zut ! Je me demande bien pourquoi je te le raconte, d’ailleurs.

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