No, él no podía arriesgarse a ganar semejante fama, el calificativo de loco era el peor que podían endilgarle a un barbero porque después ¿quién iba a querer ponerle el cuello a su navaja?
Traduction temporaire :
Non, il ne pouvait pas se risquer à gagner une telle réputation : il n’y avait rien de pire pour un barbier que d’être catalogué comme fou, car ensuite, qui accepterait de présenter son cou à son rasoir ?
Non, il ne pouvait pas se risquer à gagner une telle réputation : il n’y avait rien de pire pour un barbier que d’être catalogué comme fou, car ensuite, qui accepterait de présenter son cou à son rasoir ?
Non, il ne pouvait pas se risquer à gagner une telle réputation, la qualification de fou était la pire chose qui pouvait arriver à un barbier car ensuite, qui allait accepter d’offrir son cou à son rasoir ?
RépondreSupprimerNo, él no podía arriesgarse a ganar semejante fama, el calificativo de loco era el peor que podían endilgarle a un barbero porque después ¿quién iba a querer ponerle el cuello a su navaja?
RépondreSupprimerNon, il ne pouvait pas se risquer à gagner une telle réputation, [ou « : » ?] la qualification [ou simplement « adjectif » ?] de fou était la pire chose [tu feras sans « chose »] qui pouvait arriver à un barbier [virgule] car ensuite, qui allait accepter [ou « accepterait » ?] d’offrir [ou « présenter » ?] son cou à son rasoir ?
Non, il ne pouvait pas se risquer à gagner une telle réputation : le qualificatif de fou était le pire qui pouvait arriver à un barbier, car ensuite, qui accepterait de présenter son cou à son rasoir ?
RépondreSupprimerNon, il ne pouvait pas se risquer à gagner une telle réputation : le qualificatif de fou était le pire qui pouvait arriver [un « qualificatif » « n'arrive » pas à quelqu'un] à un barbier, car ensuite, qui accepterait de présenter son cou à son rasoir ?
RépondreSupprimerNon, il ne pouvait pas se risquer à gagner une telle réputation : il n’y avait rien de pire pour un barbier que d’être catalogué comme fou, car ensuite, qui accepterait de présenter son cou à son rasoir ?
RépondreSupprimerNon, il ne pouvait pas se risquer à gagner une telle réputation : il n’y avait rien de pire pour un barbier que d’être catalogué comme fou, car ensuite, qui accepterait de présenter son cou à son rasoir ?
RépondreSupprimerOK.