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lundi 25 mars 2013

Projet Élodie – phrase 99

Según Salé, Aira sabía mucho de ficción argentina y de ensayo francés, pero conocía el Quijote “por arriba”, y no tenía “ni noticias de lo geniales que era las Novelas ejemplares”.

Traduction temporaire :
D'après Salé, Aira possédait une grande érudition en matière de fiction argentine et pour les essais français, mais ne connaissait le Quichotte que superficiellement et n'avait « pas la moindre idée de combien les Nouvelles exemplaires étaient géniales. »

6 commentaires:

  1. D'après Salé, Aira possédait un grand savoir en matière de fiction argentine et d'essai français, mais il ne connaissait le Quichotte que très rapidement et il n'avait « pas la moindre idée du génie des Novelas ejemplares ».

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  2. D'après Salé, Aira possédait un grand savoir [passe par « érudition », dans ce cas-là] en matière de fiction argentine et d'essai [bizarre au singulier, non ?] français, mais il [supprime] ne connaissait le Quichotte que très rapidement [« superficiellement » ?] et il [supprime] n'avait « pas la moindre idée du génie des [pas tout à fait comme ça qu'il le formule] Novelas ejemplares [tu ne traduis pas ?] ».

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  3. D'après Salé, Aira possédait une grande érudition en matière de fiction argentine et d'essais français, mais ne connaissait le Quichotte que superficiellement et n'avait « pas la moindre idée de combien les Romans exemplaires étaient géniaux. »

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  4. D'après Salé, Aira possédait une grande érudition en matière de fiction argentine et d'[un doute ; ici, est-ce que ce ne serait pas mieux avec « pour » ? Essaie et dis-moi…] essais français, mais ne connaissait le Quichotte que superficiellement et n'avait « pas la moindre idée de combien les Romans exemplaires [tu as vérifié ?] étaient géniaux. »

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  5. D'après Salé, Aira possédait une grande érudition en matière de fiction argentine et pour les essais français, mais ne connaissait le Quichotte que superficiellement et n'avait « pas la moindre idée de combien les Nouvelles exemplaires étaient géniales. »

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  6. D'après Salé, Aira possédait une grande érudition en matière de fiction argentine et pour les essais français, mais ne connaissait le Quichotte que superficiellement et n'avait « pas la moindre idée de combien les Nouvelles exemplaires étaient géniales. »

    OK.

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