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vendredi 22 mars 2013

Projet Nadia 2 – phrase 153

Hasta que poco a poco el sueño le iba invadiendo, se tumbaba sobre la cama y se dejaba ir como se deja ir un barco cuando se le corta la amarra.

Traduction temporaire :
Jusqu'à ce que, peu à peu, le sommeil l'envahisse ; là, il s'allongeait sur son lit et se laissait aller, tel un bateau quand on largue les amarres.

7 commentaires:

  1. Jusqu'à ce que peu à peu, le sommeil l'envahisse, il s'allongeait alors sur son lit et se laissait aller comme se laisse aller un bateau quand on largue les amarres.

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  2. Jusqu'à ce que [virgule] peu à peu, le sommeil l'envahisse, [ou « ; là, » ?] il s'allongeait alors [sans, du coup] sur son lit et se laissait aller comme se laisse aller [ou simplement « tel » ?] un bateau quand on largue les amarres.

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  3. Jusqu'à ce que, peu à peu, le sommeil l'envahisse; là, il s'allongeait sur son lit et se laissait aller tel un bateau quand on largue les amarres.

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  4. Jusqu'à ce que, peu à peu, le sommeil l'envahisse ; là, il s'allongeait sur son lit et se laissait aller [virgule ?] tel un bateau quand on largue les amarres.

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  5. Jusqu'à ce que, peu à peu, le sommeil l'envahisse ; là, il s'allongeait sur son lit et se laissait aller, tel un bateau quand on largue les amarres.

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  6. Jusqu'à ce que, peu à peu, le sommeil l'envahisse ; là, il s'allongeait sur son lit et se laissait aller, tel un bateau quand on largue les amarres.

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  7. Jusqu'à ce que, peu à peu, le sommeil l'envahisse ; là, il s'allongeait sur son lit et se laissait aller, tel un bateau quand on largue les amarres.

    OK.

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