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lundi 4 mars 2013

Projet Nadia 2 – phrases 141-142

Levantándose y girando el dial, buscando una voz que no se quebrase nunca. Ayer, sin ir más lejos,  Rinzetti hablaba de Oliverio Girondo y, en concreto, de su poema ‘Cansancio’.

Traduction temporaire :
Des gens qui se lèvent et tournent la mollette,  à la recherche d'une voix qui ne se casse jamais. Hier, sans aller plus loin, Rinzetti parlait de Oliverio Girondo, concrètement de son poème "Fatigue".

6 commentaires:

  1. Se lever et tourner le cadran, chercher une voix qui ne se casse jamais. Hier, sans aller plus loin, Rinzetti parlait de Oliverio Girondo et, concrètement, de son poème "Fatigue".

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  2. Se lever et tourner le cadran [« mollette » pour une radio, non ?], chercher [ou « à la recherche de » ? Comme tu veux…] une voix qui ne se casse jamais. Hier, sans aller plus loin, Rinzetti parlait de Oliverio Girondo et [supprime le « et »], concrètement, [supprime] de son poème "Fatigue".

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  3. Se lever et tourner la mollette, à la recherche d'une voix qui ne se casse jamais. Hier, sans aller plus loin, Rinzetti parlait de Oliverio Girondo, concrètement de son poème "Fatigue".

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  4. Se lever et tourner [au fait, je n'avais pas fait attention au gérondif, évidemment lié aux insomniaques de la phrase précédente…] la mollette, à la recherche d'une voix qui ne se casse jamais. Hier, sans aller plus loin, Rinzetti parlait de Oliverio Girondo, concrètement de son poème "Fatigue".

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  5. Dans la phrase précédente, je n'ai pas utilisé le gérondif pour "mirando". Dois-je répéter "des gens qui" ?

    Des gens qui se lèvent et tournent la mollette, à la recherche d'une voix qui ne se casse jamais. Hier, sans aller plus loin, Rinzetti parlait de Oliverio Girondo, concrètement de son poème "Fatigue".

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  6. Des gens qui se lèvent et tournent la mollette, à la recherche d'une voix qui ne se casse jamais. Hier, sans aller plus loin, Rinzetti parlait de Oliverio Girondo, concrètement de son poème "Fatigue".

    OK.

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