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mercredi 24 avril 2013

Projet Elena 3 – phrases 7-8

A solas, Luis pensaba, “¡pobre Federico! ¡Ni Dios te salva!” En un sucio, oscuro y lóbrego despacho de Gobierno Civil, José Valdés Guzmán, su ocupante, hablaba por teléfono:

Traduction temporaire :
Seul, Luís se désespérait, « mon pauvre Federico ! Dieu même ne pourrait pas te sauver ! » Dans un bureau sale, sombre et lugubre du Gouvernement Civil, son occupant, José Valdés Guzmán, parlait au téléphone :

8 commentaires:

  1. Seul, Luís pensait, « mon pobre Federico ! Même Dieu serait incapable de te sauver ! » Dans un sale, sombre et lugubre bureau du Gouvernement Civil, José Valdés Guzmán, celui qui l'occupait, parlait au téléphone :

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  2. Seul, Luís pensait [tu as déjà « pensées » dans la phrase d'avant], « mon pobre [allô ??????!!!!!] Federico ! Même Dieu serait incapable de [« ne pourrait pas »] te sauver ! » Dans un sale, sombre et lugubre bureau [avance-le] du Gouvernement Civil, José Valdés Guzmán, celui qui l'occupait [pourquoi tu changes ?], parlait au téléphone :

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  3. Seul, Luís méditait, « mon pauvre Federico ! Même Dieu ne pourrait pas te sauver ! » Dans un bureau sale, sombre et lugubre du Gouvernement Civil, José Valdés Guzmán, son occupant, parlait au téléphone :

    ou "réfléchissait"

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  4. Seul, Luís méditait [« se désespérait »], « mon pauvre Federico ! Même Dieu [inverse] ne pourrait pas te sauver ! » Dans un bureau sale, sombre et lugubre du Gouvernement Civil, José Valdés Guzmán, son occupant [à mon avis, c'est inutile ; on supprime ?], parlait au téléphone :

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  5. Seul, Luís se désespérait, « mon pauvre Federico ! Dieu même ne pourrait pas te sauver ! » Dans un bureau sale, sombre et lugubre du Gouvernement Civil, José Valdés Guzmán parlait au téléphone :

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  6. Seul, Luís se désespérait, « mon pauvre Federico ! Dieu même ne pourrait pas te sauver ! » Dans un bureau sale, sombre et lugubre du Gouvernement Civil, José Valdés Guzmán parlait au téléphone :

    OK.

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  7. Ou alors attends – histoire de tout conserver :

    Seul, Luís se désespérait, « mon pauvre Federico ! Dieu même ne pourrait pas te sauver ! » Dans un bureau sale, sombre et lugubre du Gouvernement Civil, son occupant, José Valdés Guzmán parlait au téléphone :

    Qu'en penses-tu ?

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