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samedi 11 mai 2013

Projet Pascaline – phrases 46-48

—Bueno, bueno: me debe cien pesos, señora.
—¿Por cinco minutos?
—Claro, pero ahora sabe dónde escondió él la platita, ¿eh?

Traduction temporaire :
— Alors, voyons, vous me devez cent pesos, madame.
— Pour cinq minutes ?
— Absolument ! Sauf que maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?
à

7 commentaires:

  1. calou12 mai 2013 à 16:52

    - Bien, bien : vous me devez cent pesos, madame.
    - Pour cinq minutes ?
    - Evidemment ; mais maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

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  2. Tradabordo14 mai 2013 à 06:19

    - Bien, bien : [pas de deux points dans les dialogues + sûre que « bien » soit le plus adapté ici ?] vous me devez cent pesos, madame.
    - Pour cinq minutes ?
    - Evidemment [naturel ?] ; [pas de « ; » dans les dialogues] mais maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

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  3. calou14 mai 2013 à 19:24

    - Alors, voyons, vous me devez cent pesos, madame.
    - Pour cinq minutes ?
    - Et comment ! Mais maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

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  4. Tradabordo14 mai 2013 à 20:34

    - Alors, voyons, vous me devez cent pesos, madame.
    - Pour cinq minutes ?
    - Et comment [« absolument » ?] ! Mais [« sauf que » ?] maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

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  5. Tradabordo14 mai 2013 à 20:34

    - Alors, voyons, vous me devez cent pesos, madame.
    - Pour cinq minutes ?
    - Et comment [« absolument » ?] ! Mais [« sauf que » ?] maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

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  6. calou14 mai 2013 à 20:47

    - Alors, voyons, vous me devez cent pesos, madame.
    - Pour cinq minutes ?
    - Absolument ! Sauf que maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

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  7. Tradabordo14 mai 2013 à 22:56

    - Alors, voyons, vous me devez cent pesos, madame.
    - Pour cinq minutes ?
    - Absolument ! Sauf que maintenant, vous savez où il a planqué le blé, non ?

    OK.

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