Sentía el líquido bajar por sus piernas, rozar las rodillas y hacerse cosquillas tibias. El pantalón le pesaba en la entrepierna, era una bolsa de harina.
Traduction temporaire :
Il sentait le liquide descendre le long de ses jambes, frôler ses genoux et devenir un chatouillement tiède. Son pantalon était lourd à l’entrejambe, un vrai sac de farine.
Il sentait le liquide descendre le long de ses jambes, frôler ses genoux et devenir un chatouillement tiède. Son pantalon était lourd à l’entrejambe, un vrai sac de farine.
Il sentait le liquide descendre le long de ses jambes, frôler ses genoux et lui chatouiller les tibias. Le pantalon était lourd dans l’entrejambe, c’était un sac de farine.
RépondreSupprimerOu bien : comme un sac de farine... j'ai hésité.
RépondreSupprimerIl sentait le liquide descendre le long de ses jambes, frôler ses genoux et lui chatouiller les tibias. Le [?] pantalon était lourd dans [incorrect] l’entrejambe, c’était [« comme »] un sac de farine.
RépondreSupprimer« un vrai sac de farine »
RépondreSupprimerIl sentait le liquide descendre le long de ses jambes, frôler ses genoux et lui chatouiller les tibias. Son pantalon était lourd à l’entrejambe, un vrai sac de farine.
RépondreSupprimerIl sentait le liquide descendre le long de ses jambes, frôler ses genoux et lui chatouiller les tibias. Son pantalon était lourd à l’entrejambe, un vrai sac de farine.
RépondreSupprimerOK.
Je crois que j'ai fait un CS. ;-(
RépondreSupprimerIl sentait le liquide descendre le long de ses jambes, frôler ses genoux et devenir un chatouillement tiède. Son pantalon était lourd à l’entrejambe, un vrai sac de farine.
Je corrige…………
RépondreSupprimerMerci !
RépondreSupprimerOn constate l'importance d'une bonne relecture.