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dimanche 8 septembre 2013

Projet Manon / Nancy – phrases 50-52

Tras eso, Josefina y yo comimos hasta empacharnos. Naturalmente, fui yo quien devoró la mayor parte del cerebro de su hijo Director. No sé qué tienen los Sánchez-Navarro pero en el fondo, créame, son más insípidos de lo que aparentan.

Traduction temporaire :
Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Bien entendu, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais en vérité, ils sont plus insipides qu'ils n'y paraît, je vous assure.

19 commentaires:

  1. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Naturellement, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Directeur. J'ignore ce qui se passe avec les Sánchez-Navarro mais en réalité, croyez-moi, ils sont plus insipides qu'ils n'en ont l'air.

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  2. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Naturellement, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, [cheville : « Monsieur le » ?] Directeur. J'ignore ce qui se passe avec [pas très naturel] les Sánchez-Navarro mais en réalité [« à la vérité » ?], croyez-moi [« je vous assure »], ils sont plus insipides qu'ils n'en ont l'air.

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  3. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété [est-ce que ce n'est pas carrément "saturation" ?]. Naturellement, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais à la vérité, je vous assure, ils sont plus insipides qu'ils n'en ont l'air["qu'ils n'y paraissent" ? On a déjà "avoir l'air"].

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  4. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété [est-ce que ce n'est pas carrément "saturation" ? Peut-être l'idée, oui, mais alors je ne trouve pas que ce soit bien dit. Nancy, ton avis ?]. Naturellement, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais à la vérité, je vous assure, ils sont plus insipides qu'ils n'en ont l'air["qu'ils n'y paraissent" ? On a déjà "avoir l'air" / OK… mais qu'il n'y ou qu'il y ?].

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  5. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété [est-ce que ce n'est pas carrément "saturation" ? Peut-être l'idée, oui, mais alors je ne trouve pas que ce soit bien dit. Nancy, ton avis ?/ Je préfère "à satiété" dans le sens de manger au point d'être dégoûté]. Naturellement, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais à la vérité, je vous assure, ils sont plus insipides qu'ils n'y paraissent [je maintiendrais le "n'", Manon ?].

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  6. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Naturellement, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais à la vérité [naturel ? Est-ce qu'on ne devrait pas carrément supprimer ?], je vous assure, ils sont plus insipides qu'ils n'y paraissent [je maintiendrais le "n'", Manon ? Non, mais là, il faut vérifier dans une grammaire… Pas de l'ordre de l'avis].

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  7. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Naturellement [on a un adverbe en -ment juste avant, on le remplace par "bien sûr" ?], c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais à la vérité [naturel ? Est-ce qu'on ne devrait pas carrément supprimer ?/ ou "à dire vrai" ?], je vous assure, ils sont plus insipides qu'ils n'y paraissent [je maintiendrais le "n'", Manon ? Non, mais là, il faut vérifier dans une grammaire… Pas de l'ordre de l'avis./Oui, j'ai vérifié : il s'utilise dans la langue soutenue mais n'est pas obligatoire].

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  8. Je te propose :

    Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Bien entendu, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais pour tout vous dire, je vous assure, ils sont plus insipides qu'ils n'y paraissent.

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  9. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Bien entendu [on a déjà "bien entendu" au début mais il faudra le changer car on a "bien" dans la même phrase donc OK pour ici], c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais pour tout vous dire [on a "de toute façon" juste au-dessus. Et "en vérité" ?], je vous assure, ils sont plus insipides qu'ils n'y paraissent.

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  10. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Bien entendu, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais pour tout vous dire, je vous assure, ils sont plus insipides qu'ils n'y paraissent.

    OK pour moi !

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  11. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Bien entendu, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais pour tout vous dire, je vous assure [ou à la fin ? Car c'est un peu bizarre « pour tout vous dire, je vous assure », non ?], ils sont plus insipides qu'ils n'y paraissent.

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  12. Oui, c'est mieux à la fin :

    Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Bien entendu, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais pour tout vous dire, ils sont plus insipides qu'ils n'y paraissent, je vous assure.

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  13. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Bien entendu, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais pour tout vous dire, ils sont plus insipides qu'ils n'y paraissent, je vous assure.

    OK.

    Nancy ?

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  14. OK pour "je vous assure" à la fin mais on a "de toute façon" juste au-dessus donc on ne peut pas mettre "pour tout vous dire", "en vérité" peut être ?

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  15. Mets-le en situation… Là, ça ne nous dit rien.

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  16. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Bien entendu, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais en vérité, ils sont plus insipides qu'ils n'y paraissent, je vous assure.

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  17. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Bien entendu, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais en vérité, ils sont plus insipides qu'ils n'y paraissent [là, je mettrais « qu'il n'y paraît »…], je vous assure.

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  18. Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Bien entendu, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais en vérité, ils sont plus insipides qu'ils n'y paraît, je vous assure.

    OK pour moi.

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  19. OK !

    Ensuite, Josefina et moi avons mangé à satiété. Bien entendu, c'est moi qui ai dévoré la majeure partie du cerveau de votre fils, Monsieur le Directeur. J'ignore ce qu'ont les Sánchez-Navarro, mais en vérité, ils sont plus insipides qu'ils n'y paraît, je vous assure.

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