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vendredi 25 octobre 2013

Projet Céline / Sonita 3 – phrases 6-9

Te he visto regresar en uno de esos trenes. Te has sentado a mi lado, como entonces, para mirar la hierba que brota entre las vías. Y has dicho aquella frase, que tanto me gustaba antes sentir, para llenarme de una definitiva tristeza: “De una manera u otra, la vida siempre se abre paso”.

Traduction temporaire :
Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».

12 commentaires:

  1. Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as pronocé cette phrase, que j'aimais tant sentir avant, pour me couvrir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie nous ouvre toujours un chemin ».

    ***
    Là encore, on ne peut pas savoir si l'interlocuteur du narrateur est un homme ou une femme. Mais bon, si on part du principe que c'est une narratrice, il n'est peut-être pas totalement farfelu de penser que ce "tú" est un homme.

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  2. Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as pronocé [coquille] cette phrase, que j'aimais tant sentir [« éprouver »] [virgule] avant, pour me couvrir [FS] d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie nous [« la vida siempre SE »] ouvre toujours un chemin ».

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  3. Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour me remplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».

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  4. Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour me remplir [« m'emplir »] d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».

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  5. Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».

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  6. Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».

    OK.

    Céline ?

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  7. Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver [est-ce que ça ne peut pas être simplement dans le sens de « oír » ?], avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».

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  8. Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver [est-ce que ça ne peut pas être simplement dans le sens de « oír » ? J'hésite… car il peut y avoir un jeu volontaire…], avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».

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  9. Je pense que ce "sentir" est vraiment de l'ordre du sentiment...

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  10. Dans ce cas, OK…

    Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».

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  11. Je t'ai vu revenir à bord de l'un de ces trains. Tu t'es assis à côté de moi, comme jadis, pour regarder l'herbe qui pousse entre les voies. Et tu as prononcé cette phrase, que j'aimais tant éprouver, avant, pour m'emplir d'une tristesse définitive : « D'une façon ou d'une autre, la vie s'ouvre toujours un chemin ».

    OK.

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