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lundi 20 janvier 2014

Projet Marie-G. 3 – phrases 5-6

El sol, el perrito que me ladra, las chicharras, las voces y el tintineo de los cubiertos en el muelle de enfrente: todo se funde. Aflojo las tiras de la bikini, abro un ojo y veo a Fabi sentada en el borde, allá arriba.

Traduction temporaire :
Le soleil, le petit chien qui m'aboie dessus, les cigales, les voix et le tintement des couverts sur le quai d’en face : tout se confond. Je desserre les bretelles de mon bikini, j’ouvre un œil et vois Fabi, assise sur le bord, là-bas, en haut.

11 commentaires:

  1. Le soleil, le chien qui aboie à mon encontre, les cigales, les voix et le tintement des couverts du quai d’en face : tout se confond. Je desserre mes bretelles de maillot de bain, j’ouvre un œil et vois Fabi, assise sur le bord, là-bas.

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  2. Le soleil, le chien [et le « ito » ?] qui aboie à mon encontre [????????????????], les cigales, les voix et le tintement des couverts du [« du » ne va pas] quai d’en face : tout se confond. Je desserre mes bretelles de maillot de bain, j’ouvre un œil et vois Fabi, assise sur le bord, là-bas.

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  3. Le soleil, le petit chien qui m'aboie dessus, les cigales, les voix et le tintement des couverts sur le quai d’en face : tout se confond. Je desserre mes bretelles de maillot de bain, j’ouvre un œil et vois Fabi, assise sur le bord, là-bas.

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  4. Le soleil, le petit chien qui m'aboie dessus, les cigales, les voix et le tintement des couverts sur le quai d’en face : tout se confond [ou « se mêle » ? Comme tu veux]. Je desserre mes [« les »] bretelles de [« mon »] maillot de bain, j’ouvre un œil et vois Fabi, assise sur le bord, là-bas [et « arriba » ?].

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  5. Le soleil, le petit chien qui m'aboie dessus, les cigales, les voix et le tintement des couverts sur le quai d’en face : tout se confond. Je desserre les bretelles de mon maillot de bain, j’ouvre un œil et vois Fabi, assise sur le bord, là-bas en hauteur.

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  6. Le soleil, le petit chien qui m'aboie dessus, les cigales, les voix et le tintement des couverts sur le quai d’en face : tout se confond. Je desserre les bretelles de mon [cheville : « haut de » ?] maillot de bain, j’ouvre un œil et vois Fabi, assise sur le bord, là-bas en hauteur [ou « , en haut » ?].

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  7. Le soleil, le petit chien qui m'aboie dessus, les cigales, les voix et le tintement des couverts sur le quai d’en face : tout se confond. Je desserre les bretelles du haut de mon maillot de bain, j’ouvre un œil et vois Fabi, assise sur le bord, là-bas en hauteur.

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  8. Le soleil, le petit chien qui m'aboie dessus, les cigales, les voix et le tintement des couverts sur le quai d’en face : tout se confond. Je desserre les bretelles du haut de mon maillot de bain [au fait, ça va pas «bikini » ?], j’ouvre un œil et vois Fabi, assise sur le bord, là-bas en hauteur [ou « là-bas, en haut » ?].

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  9. Le soleil, le petit chien qui m'aboie dessus, les cigales, les voix et le tintement des couverts sur le quai d’en face : tout se confond. Je desserre les bretelles de mon bikini, j’ouvre un œil et vois Fabi, assise sur le bord, là-bas, en haut.

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  10. Le soleil, le petit chien qui m'aboie dessus, les cigales, les voix et le tintement des couverts sur le quai d’en face : tout se confond. Je desserre les bretelles de mon bikini, j’ouvre un œil et vois Fabi, assise sur le bord, là-bas, en haut.

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  11. Le soleil, le petit chien qui m'aboie dessus, les cigales, les voix et le tintement des couverts sur le quai d’en face : tout se confond. Je desserre les bretelles de mon bikini, j’ouvre un œil et vois Fabi, assise sur le bord, là-bas, en haut.

    OK.

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