El inventor cayó al suelo, Alejandro levantó los brazos y cerró los ojos para sentir nuevamente el morboso éxtasis de la muerte, semejante al que sentían los antiguos sacerdotes, cuando clavaban el puñal en el corazón de algún hombre o mujer sacrificados para aplacar la ira de los dioses.
Traduction temporaire :
L'inventeur tomba à terre, Alejandro leva les bras et ferma les yeux pour sentir de nouveau l'extase morbide de la mort, semblable à celle qu'éprouvaient les anciens prêtres quand ils plantaient leur poignard dans le cœur d'un homme ou d'une femme, sacrifiés pour apaiser la colère des dieux.
L'inventeur tomba à terre, Alejandro leva les bras et ferma les yeux pour sentir de nouveau l'extase morbide de la mort, semblable à celle qu'éprouvaient les anciens prêtres quand ils plantaient leur poignard dans le cœur d'un homme ou d'une femme, sacrifiés pour apaiser la colère des dieux.
L'inventeur tomba par terre, Alejandro leva les bras et ferma les yeux pour sentir de nouveau l'extase morbide de la mort, semblable à celle qu'éprouvaient les anciens prêtres, quand ils plantaient leur couteau dans le cœur d'un homme ou d'une femme sacrifiés pour apaiser la colère des dieux.
RépondreSupprimer["poignard", je rectifierai au prochain commentaire]
RépondreSupprimerL'inventeur tomba [ou « glissa » ? Comme tu veux…] par terre, Alejandro leva les bras et ferma les yeux pour sentir de nouveau l'extase morbide de la mort, semblable à celle qu'éprouvaient les anciens prêtres, quand ils plantaient leur poignard dans le cœur d'un homme ou d'une femme [virgule ?] sacrifiés pour apaiser la colère des dieux.
RépondreSupprimerL'inventeur tomba à terre [avec "glissa" je trouve que ça donne l'impression qu'il dérape], Alejandro leva les bras et ferma les yeux pour sentir de nouveau l'extase morbide de la mort, semblable à celle qu'éprouvaient les anciens prêtres, quand ils plantaient leur poignard dans le cœur d'un homme ou d'une femme, sacrifiés pour apaiser la colère des dieux.
RépondreSupprimerL'inventeur tomba à terre, Alejandro leva les bras et ferma les yeux pour sentir de nouveau l'extase morbide de la mort, semblable à celle qu'éprouvaient les anciens prêtres quand ils plantaient leur poignard dans le cœur d'un homme ou d'une femme, sacrifiés pour apaiser la colère des dieux.
RépondreSupprimerOK.