Cuando llegué al depar, me sorprendió ver que no había demasiada gente. Saludé con todos y me quedé conversando un rato con Magda.
— Se había deteriorado tanto estas últimas semanas.
— Sí, lo sé. Yo lo llamé la semana pasada y apenas pudo hablarme.
— ¿Sabes de qué murió?
— De problemas respiratorios, ¿no?
Traduction temporaire :
En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il n'y avait peu de gens. Je saluai tout le monde et bavardai un moment avec Magda.
— Son état s'était terriblement aggravé ces dernières semaines.
— Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
— Tu sais de quoi il est mort ?
— De problèmes respiratoires, non ?
En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il y avait peu de gens. Je saluai tout le monde et restai converser un moment avec Magda.
RépondreSupprimer— Son état s'était tant aggravé ces dernières semaines.
— Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
— Tu sais de quoi il est mort ?
— De problèmes respiratoires, non ?
En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il y avait peu de gens. Je saluai tout le monde et conversai un moment avec Magda.
RépondreSupprimer— Son état s'était tant aggravé ces dernières semaines.
— Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
— Tu sais de quoi il est mort ?
— De problèmes respiratoires, non ?
En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il y avait peu de gens [ou « pas grand-monde » ?]. Je saluai tout le monde et conversai [naturel ?] un moment avec Magda.
RépondreSupprimer— Son état s'était tant [naturel ? « terriblement » ?] aggravé ces dernières semaines.
— Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
— Tu sais de quoi il est mort ?
— De problèmes respiratoires, non ?
En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il n'y pas grand-monde. Je saluai tout le monde et bavardai un moment avec Magda.
RépondreSupprimer— Son état s'était terriblement aggravé ces dernières semaines.
— Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
— Tu sais de quoi il est mort ?
— De problèmes respiratoires, non ?
En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il n'y avait pas grand-monde. Je saluai tout le monde et bavardai un moment avec Magda.
RépondreSupprimer— Son état s'était terriblement aggravé ces dernières semaines.
— Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
— Tu sais de quoi il est mort ?
— De problèmes respiratoires, non ?
En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il n'y avait peu de gens. Je saluai tout le monde et bavardai un moment avec Magda.
RépondreSupprimer— Son état s'était terriblement aggravé ces dernières semaines.
— Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
— Tu sais de quoi il est mort ?
— De problèmes respiratoires, non ?
J'ai remis « peu de gens » ; je n'avais pas fait attention à la répétition de « monde ».