Pages

lundi 24 février 2014

Projet Joana / Sarah – phrases 102-108

Cuando llegué al depar, me sorprendió ver que no había demasiada gente. Saludé con todos y me quedé conversando un rato con Magda.
— Se había deteriorado tanto estas últimas semanas.
— Sí, lo sé. Yo lo llamé la semana pasada y apenas pudo hablarme.
— ¿Sabes de qué murió?
— De problemas respiratorios, ¿no?

Traduction temporaire :
En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il n'y avait peu de gens. Je saluai tout le monde et bavardai un moment avec Magda.
— Son état s'était terriblement aggravé ces dernières semaines.
— Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
— Tu sais de quoi il est mort ?

— De problèmes respiratoires, non ?

6 commentaires:

  1. En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il y avait peu de gens. Je saluai tout le monde et restai converser un moment avec Magda.
    — Son état s'était tant aggravé ces dernières semaines.
    — Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
    — Tu sais de quoi il est mort ?
    — De problèmes respiratoires, non ?

    RépondreSupprimer
  2. En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il y avait peu de gens. Je saluai tout le monde et conversai un moment avec Magda.
    — Son état s'était tant aggravé ces dernières semaines.
    — Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
    — Tu sais de quoi il est mort ?
    — De problèmes respiratoires, non ?

    RépondreSupprimer
  3. En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il y avait peu de gens [ou « pas grand-monde » ?]. Je saluai tout le monde et conversai [naturel ?] un moment avec Magda.
    — Son état s'était tant [naturel ? « terriblement » ?] aggravé ces dernières semaines.
    — Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
    — Tu sais de quoi il est mort ?
    — De problèmes respiratoires, non ?

    RépondreSupprimer
  4. En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il n'y pas grand-monde. Je saluai tout le monde et bavardai un moment avec Magda.
    — Son état s'était terriblement aggravé ces dernières semaines.
    — Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
    — Tu sais de quoi il est mort ?
    — De problèmes respiratoires, non ?

    RépondreSupprimer
  5. En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il n'y avait pas grand-monde. Je saluai tout le monde et bavardai un moment avec Magda.
    — Son état s'était terriblement aggravé ces dernières semaines.
    — Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
    — Tu sais de quoi il est mort ?
    — De problèmes respiratoires, non ?

    RépondreSupprimer
  6. En arrivant dans le salon, je fus surprise de voir qu'il n'y avait peu de gens. Je saluai tout le monde et bavardai un moment avec Magda.
    — Son état s'était terriblement aggravé ces dernières semaines.
    — Oui, je sais. Je l'ai appelé la semaine dernière et il pouvait à peine me parler.
    — Tu sais de quoi il est mort ?
    — De problèmes respiratoires, non ?

    J'ai remis « peu de gens » ; je n'avais pas fait attention à la répétition de « monde ».

    RépondreSupprimer

Les commentaires sont bienvenus. Ils seront modérés par l'auteure de ce blog. Les propos injurieux, racistes, diffamatoires ou hors sujet en seront évidemment exclus.